Browsing Category

Goody/Bady

Goody/Bady Paname estival-hivernal Voyages

Un été à Paris…

01/09/2013

Un été à Paris. J’ai passé mon premier été ici, dans cette ville que l’on chérit tant l’année, mais que l’on fuit désespérément en août. Et bien figurez-vous, que j’ai beaucoup apprécié l’expérience. Les rues calmes, la douce lumière, les dîners à la cool, les balades romantiques, les petits îlots de verdure disséminés çà et là, l’amabilité des quelques rescapés parisiens… Toutes ces petites choses, tous ces délicieux souvenirs de vacances, m’ont incitée à mettre de côté mon billet « …je n’ai pas aimé », pour vous dresser une carte postale de mes vacances. J’espère qu’elle vous plaira!

xx.

La jolie  boutique  Dante & Maria.
Un cabinet de curiosités qui propose des bijoux, et aussi d’autres objets malicieux (e-shop).

3 rue de la grange aux belles, 75010 Paris
Ouvert du Mardi au Samedi de 11H30 à 19h00

La terrasse du Nuba. Belle cuisine, sur un rooftop ensoleillé toute la journée.

Je me suis découverte une nouvelle passion: chasser le papillon (avec l’appareil photo bien sûr!).

J’ai adoré  parcourir la Cité de la Mode et du Design, à la recherche des photographies en noir et blanc de l’Expo photo Parisienne en été.
Une bien belle rétrospective de la vie parisienne en saison estivale (photos prises de 1880 et 1960).

Du 21 juin au 6 octobre 2013 à la Cité de la Mode et du Design.
34 quai d’Austerlitz, 75013 Paris
Entrée libre

J’ai mangé une tonne de glaces! Ici, un petit pot de chez Amorino, mais aussi Raimo, le plus ancien glacier parisien.

J’ai essayé M.O.B, le spécialiste du burger vegan. Et pour tout vous dire c’était quand même mieux avant!
Plus petit, plus chaleureux, plus délicat, plus gourmet… Mais ça reste pas mal dans le genre.

Lézarder au soleil sur la terrasse du Perchoir, avec vue sur Montmartre.

De longues balades dans les rues de Paris.

J’ai investi les nouvelles Berges de Seine.
Des jeux, de la musique, des parcours sportifs, un soupçon de verdure, et quelques terrasses très agréables.

La tête dans les nuages, j’ai photographié chaque jour, le ciel de Paris, depuis mon balcon.

J’ai mangé mexicain à la Candelaria, pour me rappeler, qu’il y a tout juste un an, je tombais amoureuse du Mexique.

J’ai observé les sillons que traçaient les avions dans le ciel.

J’ai observé le soleil de la Fête Foraine des Tuileries.

Je me suis gavée de salades de fruits exotiques tout l’été. La recette ici.

Le coucher de soleil!! (les couleurs sont naturelles, je n’ai rien retouché).

Goody/Bady

En juillet, je n’ai pas aimé…

01/08/2013

Bon 1er août mes canards! Bon je crois que l’heure des vacances a vraiment sonné cette fois-ci. Ciel bleu, températures estivales, et Paris qui se vide (pour mon plus grand bonheur). C’est aussi, pour moi, le moment de faire un petit bilan du mois de juillet, avec ma rubrique préférée: « …, je n’ai pas aimé… » Et oui, ça fait du bien de pouvoir jouer les mauvaises langues une fois par mois. En tous cas, n’hésitez pas à me dire ce que vous aussi, en avait pensé. Qui sait, cela pourrait bien me faire changer d’avis. C’est parti!

4. Le sunday de chez M.O.B.

M.O.B, vous ne pouvez pas passer à côté, depuis qu’il a pris ses quartiers à la maintenant très prisée Cité de la Mode et du Design. C’est un fast-food végétalien, crée par un français, et tout droit venu de New-York… Pour la petite histoire je serai brève, car je prépare un article un peu plus long sur « Maimonide Of Brooklyn » (oui, c’est son vrai nom). Je m’y suis rendue il y a peu, pour jeter un oeil aux nouveaux locaux. En dessert, j’ai essayé le « sunday M.O.B et son topping ». Miam! J’en ai eu l’eau à la bouche. Sauf qu’en le goûtant, et ben, grosse déception! Où est passé le « topping »? Pas de sauce chocolat ou caramel? Non pas de sauce, mais un cookie aussi sucré que la glace. D’ailleurs, cette dernière avait une texture si étrange… Au final, j’ai dû boire un litre d’eau pour dégorger tout le sucre qui était en moi.

3. Le Royal Baby

« Il est né le divin enfant! » Ah, je pensais ne jamais en finir avec la grossesse de Princesse Kate: « Les 10 looks de Kate enceinte », « Comment prépare-t-elle la venue du bébé? »… Ouf! Non, non, ne vous réjouissez pas trop vite. Maintenant, on a le droit à des articles qui touchent le fond: « Relevons les points communs entre Kate et Lady Di. » Le magazine Elle a même pousser le bouchon en nous offrant la semaine dernière, un dossier spécial intitulé « Elle Info Royal ». De l’info, oui! Entre la flopée de décryptages et la pléiade de clichés, on referme la magazine aussi vite, en regrettant d’avoir payé le « prix spécial été » (1,70€). Mais, si vous faites partie de ceux qui souhaitent savoir comment elle va « préserver son bonheur et gérer la pression », passez la prendre à la maison; C’est CADEAU!

2. La Maison Bonnet, lunetier

Je suis tombée sur le site par hasard, en me cherchant une belle paire de lunettes pour cet été. Maison Bonnet, lunetier. Plutôt pas mal comme nom. À chaque fois que j’entend le mot « maison », il y a comme une petite voix dans ma tête, qui me murmure: « c’est un gage de qualité ». Oui, de l’excellence. Mais à quel prix? 1200 euros la paire. C’est-à-dire? Ah oui! Au prix de tortues marines menacées chaque jour d’extinction. Rassurez vous, je ne me suis pas transformée en fille spirituelle de Brigitte Bardot, mais je pense que le luxe manque cruellement d’âme. Je vous laisse réfléchir avec cette magnifique phrase extraite de leur site: « La véritable écaille de tortue est une matière noble et vivante convoitée par quelques initiés… » Quel est le sens de cette phrase? Il n’y en a aucun, c’est le luxe version Maison Bennet, euh Bonnet!

1. Les Bonnes Soeurs

Conseil d’amie. Lorsqu’on ne sait pas trop où aller bruncher, il faut éviter de se fier aux forums ou sites répertoriant les « sois disant » meilleurs brunchs de paris. Ce dimanche là, je me suis dit que le brunch des Bonnes soeurs avait l’air plutôt pas mal. Jus de fruits pressé, corbeille de pains variés, assiette salée, etc… Bon et copieux quoi! Et non! En arrivant, le serveur-hipster nous demande d’attendre. Certes, le resto est prisé. Enfin assis, je constate que les tables et murs sont sales, et que le sol est maculé de restes. On nous sert vite: du jus de premier prix (où sont passés les fruits pressés?), de la confiture transparente, des pancakes chimiques et graisseux, et une assiette écoeurante. En effet, le « cuistot » a eu la bonne idée de poser le saumon sur l’oeuf. Chauffé à souhait, on ressentait encore plus le manque de saveur du pauvre poisson. Suite à cette mésaventure culinaire, je n’ai pas réussi à manger de la journée. Décidément, je ne comprend vraiment pas l’engouement pour certains restaurants parisiens!

Goody/Bady

En juin, je n’ai pas aimé…

30/06/2013

Depuis que j’ai ouvert le blog, je me suis demandée comment je pouvais parler des choses que je n’aimais pas. Certain(es) me diront que dans ce cas, il est préférable de ne pas en parler, parce que « les goûts et les couleurs ne se discutent pas »… Oui, mais… Je veux quand même en parler, car je pense qu’au même titre qu’un coup de coeur, le coup de gueule mérite d’être entendu. Pour ne pas que ce blog ne se transforme en bureau des réclamations, je me suis dit qu’une fois par mois, je rédigerai un petit billet d’humeur listant mes déceptions et mes désaccords (si on peut appeler ça comme ça). Et si on commençait tout-de-suite, avec ce que je n’ai pas aimé en juin?

4.Le Café Pinson

Encensé par la presse, les critiques gastro et les blogueuses, le Café Pinson m’a semblé l’endroit idéal pour une pause gourmande. L’ambiance y est cosy, avec le grand bar central, des sièges confortables et des petites niches faisant office de bibliothèques… Je n’ai rien à redire de ce petit bijou de déco, signé Dorothée Meilichzon. Le problème majeur a été l’accueil. Personne n’a daigné nous dire que la commande se faisait au bar. Les serveurs papotaient entre eux sans prêter attention à nous. Je comprend très bien la situation. Nous sommes venues à la fin du service déjeuner. Dans ce cas, pourquoi ne ferment-ils pas une heure ou deux, histoire de souffler un peu? Nous avons pris une part de cake aux amandes, miel et basilic. Une part pour deux donc. Nous avons mangé sur une table sale, sans serviette, avec une seule cuillère… Elle aurait pu faire un effort non? Même le petit italien de mon quartier pense à mettre deux cuillères. Côté food, le café y est excellent, mais j’ai été un peu incommodée par le trop plein de basilic. C’est avec ce goût de pesto en bouche que j’ai quitté le Café Pinson. Vu que je ne suis pas rancunière, j’y retournerai pour voir si cette expérience n’a pas été le fruit de la malchance.

3. La salopette

La salopette, une tendance qui ressuscite tous les deux ans. Que dire? Je n’aime pas, je n’ai jamais aimé et je n’aimerai jamais. Elle ne met en valeur personne, pas même une jolie fille. Alors pour une énième fois, je dis NON. (Là, il s’agit d’un goût très personnel).

 

2. Les sandales de curé

Les sandales de curé! WTF? Alors, là je ne comprend pas du tout! Après les chapelets entortillés autour du coup, voici venu le temps de la tatane religieuse. Je ne vois pas grand chose de beau là dedans (je ne critique pas la religion, mais ce que la mode en fait). Et oser trouver des qualités esthétiques aux Birkenstock relève du crime! Voilà c’est dit. Bon, au final, il est possible de trouver quelques modèles sympathiques, mais on s’éloigne pas mal du monastique quand même.

1. Bioboa

J’ai vraiment été déçue par cette adresse. Bioboa, c’est pour certains, l’un des meilleurs restos gourmets bio de Paris. Et bien, si le bio a ce goût, moi je dis « Biobeurk » alors. Pour commencer, le serveur a proposé le plat du jour uniquement à quelques privilégiés. Une fois la commande passée, je me suis attardée sur la décoration. Chaises noires, tables blanches et un assortiment de lustres viennent orner l’endroit blanc, épuré, un peu fade à mon goût. J’ai choisi de goûter à la limonade, « la spécialité de la maison ». Un vague goût de citron, relevé par un peu de gingembre. Rien de transcendant. J’ai pris ensuite, un veggie burger aux champignons. L’assiette arrivée presque dans les cinq minutes ayant suivies la commande, j’ai commencé à me poser des questions sur la fraicheur des produits. Préparent-ils les assiettes à l’avance? Au final, le « steak » emprisonné entre les deux buns sucrés, était sec et sans saveur. La très fine tranche de fromage semblait tatouée sur le pain. En accompagnement, un peu de laitue et une tomate coupée en deux… Ouais, on a vu mieux. Après avoir mangé sur une table bancale en réclamant l’attention du serveur, j’ai préféré fuir cet endroit en demandant l’addition. 55€ pour deux plats, une limonade et deux café! Une raison de plus de fuir.