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Mon Training Diary #1

17/08/2015

Aujourd’hui, c’était la RENTRÉE -pour moi- ! #stressée 😀 Si je vous parle à nouveau (cf l’article Ma petite parenthèse de 11 mois) de « rentrée », c’est parce que je suis en contrat de professionnalisation. Le matin, je suis en cours (théorique ou pratique) à partir d’aujourd’hui, et l’après-midi j’applique l’enseignement qui m’a été donné dans une structure d’accueil*. L’école nous a demandé d’intégrer notre club un peu plus tôt, pour nous familiariser avec la clientèle, et pour observer/suivre les cours proposés, etc. Autrement dit, pendant ces deux dernières semaines, je me suis glissée dans la peau d’un éducateur sportif « titulaire »; En immersion totale, quoi ! 😀

Du coup, j’ai pensé revenir sur quelques points/moments forts de ces derniers jours, en inaugurant une nouvelle rubrique: « Mon Training Diary ». Mon Training Diary sera mon journal de bord durant cette année de formation (« training » signifie aussi bien « entraînement » que « formation »). Je vous dévoilerai mon quotidien de coach stagiaire, je vous parlerai de ce que j’ai vu, appris, et je glisserai aussi des petites anecdotes croustillantes sur les « dessous du métier de coach sportif ». 😉 Bref, j’ai envie de partager cette expérience avec vous !

Il y a deux semaines donc, j’effectuais ma rentrée en tant que coach stagiaire ! Et mes premiers jours ont été WOUAH ! J’étais toute excitée à l’idée d’apprendre à nouveau. C’est d’ailleurs ce qui me plaisait tant avec mon ancien métier de journaliste: continuer à apprendre chaque jour… À mon arrivée au club, je me suis sentie gênée; Moi qui rêvais de « passer de l’autre côté », j’avais du mal à me persuader que j’étais coach. Et puis, ce sont les adhérents qui ont fini de me convaincre: « Bonjour. Excusez-moi, est-ce que vous pourriez me dire si le cours de Body Pump de ce soir est maintenu ? ». Pas un moment, ils n’ont douté de ma fonction… Pour eux, j’étais vraiment coach sportif !

Après avoir rencontré toute l’équipe du club, fait un point avec mon directeur, écouté les conseils avisés de ma tutrice, etc., j’ai commencé à suivre certains cours. Parfois je participais au même titre que les adhérents, et d’autres fois, je me contentais d’observer et de prendre des notes. J’ai vraiment trouvé ça drôle, de voir comment la personnalité du coach influe sur l’ambiance générale de son cours. Il y a des coachs doux et calmes, d’autres plus autoritaires, et puis il y a les « GI Joe » ou les blagueurs, … Chaque cours est le reflet de ce que le prof. veut bien donner (les conseils de placement, l’animation, etc.) à ses adhérents. S’il se sent bien, s’il a envie de partager son amour pour le sport/bien-être, s’il est GÉNÉREUX donc, il trouvera en face, des personnes disposées à l’écouter, et à l’encenser lorsqu’il le faut ! J’essayais de m’imaginer quel éducatrice je serais, tout en notant chaque bonne idée d’exercice ou de phrase « motivante » à donner dans un futur proche…

Lorsque je ne suivais pas de cours, je faisais un tour du « plateau » cardio/de musculation, pour ranger et conseiller/corriger les postures des pratiquants. Ce n’est pas le poste le plus glamour du métier de coach, mais je l’ai trouvé plutôt sympathique. Pendant ces petites « rondes », j’ai fait la connaissance de ceux qui allaient être mes cobayes ! Hihi ! 😀 J’ai appris à les connaître, j’ai observé leurs habitudes, et j’ai donné mes premiers conseils techniques à certains. C’était vraiment cool de voir leur envie de comprendre, d’apprendre à aimer/à contrôler leur propre corps… Le « plateau » est vraiment un lieu de vie important pour le coach et l’adhérent. C’est pourquoi, je ne peux que vous conseiller d’oser demander de l’aide à l’éducateur sportif qui s’y trouve, au moment de votre séance. Il est là pour vous, et n’attend que votre feu vert, pour vous aiguiller et engager la conversation ! En tous cas, en ce qui me concerne ! 😉

Pour résumer, pendant ces deux premières semaines, j’ai pris la température de ma salle -ce terrain de jeu-, qui sera mon quotidien pendant au moins 1 an ! J’ai fait du sport, encore du sport, beaucoup de sport, à ne plus pouvoir déplier les bras/les jambes… Et j’ai observé, noté tous les petits conseils « éclairés » de mes collègues coachs. Néanmoins, suivre plusieurs cours par jour à 100% (il faut bien faire bonne figure devant les adhérents 😉 !), et s’entraîner pendant ses heures de pause n’est pas si facile que cela; Être coach sportif, c’est mettre son corps à rude épreuve au quotidien, et le mien me l’a bien fait remarquer. En semaine, je donnais tout pour motiver les personnes qui étaient à mes côtés (et ils ne se privaient pas de me faire remarquer qu’ils sautaient plus haut ou plus loin que moi !!!!), et le week-end, je m’écroulais de fatigue; Je n’avais plus une goutte d’énergie disponible pour pratiquer une activité « extra » !

La morale ? En fait, il y en a deux. La première est, qu’il n’y a pas de mauvais élève, il n’y a que de professeurs moins bons/investis; J’espère être l’un des ces bons professeurs, un jour… Qui sait ? 😉 Et, si tu as encore envie de t’entraîner alors qu’il s’agit de ton jour de repos, c’est que tu n’as pas TOUT donné lors de tes entraînements. Grâce à cette immersion de 15 jours, j’ai enfin compris ce que le mot repos voulait dire. S’entraîner 7/7J, c’est s’avouer que l’on garde de l’énergie en réserve, que l’on est un peu « grippe-sueur » pendant l’effort. Si vous voulez un bon conseil, lâchez prise !

Je vous embrasse très fort mes beautés, et je vous donne rendez-vous dans deux semaines, pour un nouveau volet de My Training Diary ! ♥

xx. ◊ Christelle

* Je sais que beaucoup d’entre vous souhaitent savoir/essaient de deviner dans quelle structure je suis mon alternance. Je travaille dans un CMG Sports Club, mais je ne souhaite pas -pour le moment- révéler le lieu exact de ma salle. J’espère que vous comprendrez et respecterez cette décision ! 🙂

Photos: MTC.

Je porte: Brassière Pro Classic Nike – Top Session Loose Strap Racerback CasallBrassière Longue Drylite Active MizunoShort One Series Elite Reebok (soldé ici) – Chaussures de Training Free TR 5 Breathe Nike.

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Il était une fois l’Orient-Express…

09/05/2014

Mes Beautés. Je passe en coup de vent pour vous parler de voyage, à travers ma visite de l’exposition « Il était une fois l’Orient-Express « .
Je trouve ce titre très bien trouvé! Il me ramène aux mystères et légendes, qui ont toujours entouré la locomotive depuis sa construction en 1883, par l’ingénieur belge Georges Nagelmackers. Il me rappelle mes lectures d’adolescente, lorsque je dévorais l’excellent Crime de l’OrientExpress d’Agatha Christie. Il me donne envie de voyager pour le voyage, plus que la destination… Alors, je vous emmène pour quelques minutes, à bord du mythique Orient-Express!

Depuis le 4 avril, l’Orient-Express fait une halte remarquée sur le parvis de l’Institut du Monde Arabe. Embarquement immédiat!
On se retrouve d’abord sur ce quai de gare entièrement reconstitué… Sur le côté, la locomotive et les trois wagons d’époque attendent patiemment le visiteur-voyageur. On commence par l’atmosphère luxueuse et feutrée de la voiture Salon Pullman – Flèche d’Or n° 4159. La magie opère immédiatement! Pierre Michel, le conducteur lance un appel, la locomotive souffle, on entend les conversations de Marlene Dietrich, de Lawrence d’Arabie…
Les silhouettes des voyageurs prestigieux d’autrefois habitent encore les lieux. Un veston brodé ici, un collier de perles, une montre posée là, un petit carnet en cuir… Et la vaisselle, les valises, un jeu de carte, cette machine à écrire… Toutes ces incroyables pièces d’époques, retracent l’univers fantasmatique d’un luxe désormais révolu…
En quelques minutes, on quitte Paris, direction Istambul, à la recherche d’une nouvelle allégorie du voyage!

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Il était une fois l’Orient-Express
Du 4 avril au 31 août 2014
Institut du Monde Arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard 
Place Mohammed-V 75005 Paris
Mardi, Mercredi et Jeudi, de 10h à 18h.

Vendredi, de 10h à 21h30.
Le week-end et les jours fériés, de 10h à 19h.
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J’espère que cette petite balade à bord de l’Orient-Express, vous aura donné envie d’en voir plus!
J’ai volontairement trié mes photos, et écarté certaines d’entre elles, pour ne pas tout dévoiler… Cela gâcherait la surprise d’une belle découverte.

Enfin, je vous recommande fortement d’acheter vos billets en amont (il est possible de réserver en ligne ici), sous peine de passer votre journée à attendre! Il faut déjà compter 30 minutes à 1 heure d’attente pour accéder à la locomotive… Mais je vous promets qu’en y entrant, tout ce temps passé à quai s’envole en un instant!

Je vous souhaite un joli week-end mes Beautés… J’espère juste que le temps nous sera plus clément! xx. Ceedjay.

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L’Art des Indiens des Plaines

23/04/2014

Lorsque j’étais gamine, je m’imaginais toujours en Pocahontas. Je rêvais d’aventures en Amérique avec les Cheyennes ou les Sioux des Grandes plaines. Le dimanche après-midi, je regardais l’un de ces vieux westerns hollywoodiens avec John Wayne. Les Indiens y étaient représentés comme des sauvages alcooliques, voleurs de femmes, et opportunistes.   Pourtant, je les aimais quand-même. J’étais attirée par l’histoire et la spiritualité de ce peuple des Grandes plaines, d’herbes hautes et de vent, qui s’étendent des provinces canadiennes du Saskatchewan jusqu’au Texas, et du bassin du Mississipi jusqu’aux Montagnes rocheuses…

Aujourd’hui, le Musée du quai Branly leur consacre une exposition, bien éloignée de cette image d’épinal, véhiculée par les stéréotypes du cinéma américain. Il s’agit ici, de mieux faire connaître leurs traditions esthétiques et de montrer la complexité d’une histoire artistique qui se poursuit aujourd’hui. L’exposition rassemble un ensemble de 133 objets et œuvres d’art reprenant, dans leur continuité, les traditions esthétiques au fil d’une longue histoire (du 16ème au 20ème siècle).

On rencontre Sioux, Cheyenne, Blackfoot, Comanche, Pawnee autour d’un calumet orné de plumes d’aigles. On apprend que la fumée du tabac constitue une offrande accompagnant les prières pour la paix ou la guérison.
Puis, on revisite les stéréotypes de l’Indien dans la salle de cinéma. John Ford, qui aimait fréquenter les tribus indiennes et tourner sur leurs territoires, ne les représentait pas moins comme des agresseurs sans pitié dans La Chevauchée fantastique (1939), avant de faire acte de contrition avec Les Cheyennes (1964) sur l’extinction d’une race.
Enfin, on admire les ornements des robes, le travail du cuir et du bois, les premiers dessins sur papiers…
Toutes ces oeuvres transcendent les frontières culturelles et frappent par leur beauté, leur mystère et leur expressivité. Elles nous ouvrent enfin à l’Indien!

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Indiens des Plaines
 Du 8 avril au 27 juillet 2014
 Musée du quai Branly
 37, qui Branly 75007 Paris
 Mardi, Mercredi et Dimanche, de 11h à 19h.
 Jeudi, Vendredi et  Samedi, de 11h à 21h.

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L’exposition est organisée en sept parties :

1. Le renouveau artistique dans la vie contemporaine, 1965-2014
Ma partie préférée! L’exposition s’ouvre avec cet espoir pour l’avenir; L’espoir d’un renouveau démographique (ils avaient presque disparu), politique, identitaire, et artistique (l’Art Amérindien n’a jamais été aussi prolifique qu’aujourd’hui).
2. Communautés et diaspora, 1910-1965
3. Peuples anciens, Pré-contact
4. La vie dans les Grandes Plaines, 1700-1820
L’histoire de la vie quotidienne. On y découvre de nombreux objets insolites.
5. L’épanouissement d’une culture, 1820-1860
L’arrivée du cheval marque un tournant dans l’histoire des Indiens des Plaines. La chasse est plus facile, ils peuvent se déplacer sur des territoires plus étendus… Ils deviennent ces Indiens-guerriers des Westerns.
6. La mort du bison, 1860-1880
7. Dans les vestiges des terres ancestrales, 1880-1910

Il s’agit, bien entendu, d’un aperçu de l’exposition Indiens des Plaines… J’espère que cette petite balade vous donnera l’envie d’en voir plus! Ça se croque avec les yeux et ça se voit avec le coeur!
Des baisers. Ceedjay.

Dans l’ordre:

L’Esprit du Vent (vers 1955) – Blackbear Bosin, Tsate Kongia (1921-1980), artiste comanche-kiowa, Oklahoma.
Dessin (vers 1830) – Attribué à Wacochachi – Artiste mesquakie, Iowa. Il s’agit de l’une des premières oeuvres amérindiennes sur papier.
Robe de femme avec accessoires (2005) – Jodi Gillette (1959-) – Artiste lakota hunkpapa (sioux teton) Dakota du Nord. (Peau tannée, perles de verre et de métal, soie, coquillages, piquants de porc-épic…)
Coiffe à cornes (vers 1830) – Artistes osages, Kansas. (Corne de vache – perles de verre – crin de cheval – peau tannée…)
Éventail servant aux rites amoureux (vers 1840) – Artiste dakota (sioux de l’est), Minnesota. (Bois (pin), pigments)
Bride (vers 1860) – Artiste comanche, Texas. (Maillechort – cuir industriel – boucles métalliques)

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Un matin avec Robert Adams

18/03/2014

Je voulais publier ce billet un dimanche matin… Parce qu’il se lit volontiers devant un café, et en grignotant des tartines… Et, par manque de temps, je l’ai mis de côté… En attendant le moment seyant…
Un dimanche, j’ai décidé de faire l’impasse sur le traditionnel brunch dominical, pour profiter de Paris au petit matin. Il y avait quelques touristes perdus dans le Jardin des Tuileries, le passage d’une ou deux voitures, et une belle lumière de printemps. Et puis, cette expo du photographe Robert Adams, que je voulais absolument voir!

Le Jeu de Paume désert, j’entre et découvre « L’endroit ou nous vivons » dans un silence quasi-religieux. Je vois ces pans de murs, formant un labyrinthe de photographies de petit format (beaucoup n’excèdent pas 15 x 15 cm)… Des tirages réalisés et choisis par Robert Adams. Un travail de quatre décennies, mené sur le paysage américain. Je vois cet horizon grandiose, ces plaines majestueuses qui s’entrechoquent par la main de l’homme, avec ces stations services, ces autoroutes. Et d’un côté, les grands peupliers du sud, disséqués, feuille par feuille, dans le moindre détail. En face, des paysages dégradés et le désespoir des banlieues…

À travers ses photographies, Robert Adams décrit cette relation tragique qui unit l’homme et la nature; Une relation complexe, pleine de contradictions. « L’endroit où nous vivons » présente, en 250 tirages et 21 séries distinctes, L’Ouest américain, transformé par le passage de l’activité humaine. La série Our Lives and Our Children, révèle ces « portraits d’une tendresse désarmante, de gens ordinaires vaquant à leur quotidien à l’ombre d’une centrale nucléaire ». Los Angeles Spring, expose les images d’un paradis jadis verdoyant, victime de la violence et de la pollution… Et ces Nuits d’été lyriques et mélancoliques à la fois…

J’ai été frappée par l’approche humaniste de la photographie Robert Adams. Une photographie banale, mais qui trouve échos en chacun de nous.  Il s’agit avant-tout d’un appel à la responsabilisation en matière d’environnement… Et je tenais à le partager avec vous…

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 Robert Adams. L'endroit ou nous vivons
 Du 11 février au 18 mai 2014
 Jeu de Paume
 1 Place de la Concorde 75008 Paris
 Du Mercredi au Dimanche de 11h à 19h.
 Nocturne le Mardi jusque 21h.

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J’espère que cette parenthèse Arty vous aura plue! Je n’ai pas le temps d’en faire plus souvent ici (il n’y a que 7 jours dans la semaine), mais j’essaie d’en parler de temps à autre… Je vous embrasse fort, et vous dis à demain! xx. Ceedjay.

Dans l’ordre:

Redlands, California, 1983
Réaménagement d’une ancienne exploitation d’agrumes, Highland, 1983
Longmont, Colorado, 1973-1974
Berthoud, Colorado, 1976
Vue sur les montagnes dans le smog, comté de Weld, Colorado, 1983
Security, Colorado, 1971
Profitant du vent à l’est de Keota, Colorado, 1979

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Mille et Une Orchidées

20/02/2014

Lundi dernier, je suis allée me réfugier dans l’atmosphère chaude et humide de la Grande serre du Jardin des Plantes… L’occasion idéale, pour toucher du doigt l’été qui nous manque tant!

Il y avait cette exposition sur les orchidées que je voulais voir. Ma mère les collectionne depuis ma plus tendre enfance. Dès que l’une d’entre elles fleurit, elle la pose sur sa table d’extérieur, la prend en photo, et veille tout particulièrement à son bien-être…

Je voulais donc voir ces quelques mille espèces sauvages, sélectionnées pour leur beauté et leur exotisme. Et puis, je me suis rendue compte que cette année, la Nouvelle-Calédonie était à l’honneur!* On parle du maquis minier, de fougères arborescentes… J’entend un scientifique expliquer à son groupe que sur « l’Île aux Pins »… « Euh non Monsieur, c’est l’Île DES Pins »!!! C’est fou le nombre de bêtises que l’on peut entendre sur son pays, lorsqu’on le connaît de l’intérieur…

Avec son élégante scénographie, la Grande serre cantŭs animalis nous plonge dans une grande forêt tropicale. C’est beau et reposant. On hume avec bonheur cet air humide, et l’odeur délicates de ces belles fleurs. L’illusion tropicale est renforcée par un système sonore simulant la faune… Quel bonheur!

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Mille et Une Orchidées
Du 13 février au 10 mars 2014
Muséum national d’Histoire Naturelle – Jardin des Plantes
Dans les Grandes serres
57, rue Cuvier 75005 Paris
Tous les jours de 10h à 17h (sauf le mardi)

Tarif: 6€ ou 4€ (réduit)

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Cette belle parenthèse, m’a permis de prendre la pause en tenue légère. Et cela fait tellement de bien! L’occasion aussi de vous montrer un petit look au passage*…

J’espère que cette petite visite vous plaira autant qu’à moi!

Des Baisers. Ceedjay.

 * Je vous le promets, je ne l’ai pas fait exprès!
* Les détails de la tenue sont -comme d’ordinaire- à la fin du billet.

Top Imprimé - Samsoe & Samsoe (soldes H13)
Gilet Long - American Vintage - (ancien)
Jean DEBRA - Samsoe & Samsoe
Soutien-gorge Bandeau - Princesse tam.tam - (ancien)
Bottines Camel - Zara - (soldes H13)
Collier "Number One Love" - Mimilamour
Bagues Fines - Zara

 

Arty Le bloc-notes

Clichés!

14/02/2014

Hello mes Amours!

Bon la Saint-Valentin, on en a déjà parlé hier… Je ne m’étendrai pas sur le sujet. Je laisse aux « pro- » et « anti- » le soin de se lâcher en 140 caractères sur Twitter*…

Aujourd’hui, je vais certes, vous parler d’amour, mais surtout de « clichés ». De clichés amoureux. L’Amour est tellement difficile à définir… Il est presqu’impossible d’en dessiner les contours. Et pourtant on le sent, on le ressent, et parfois, on le voit. On le voit surtout dans ces clichés, ces moments volés…
À la Saint-Valentin, j’adore collectionner ces « clichés » amoureux. Désormais, grâce à Pinterest, j’agrafe, je décolle, je re-fixe ces photographies. Et ça donne ça!

Et si cette année, on fêtait la Fête de l’Amour en images? Vous pourrez retrouver toutes ces photos (et les crédits) sur mon tableau Pinterest « LOVE ».

Et pour ceux qui voudraient se faire tirer le portrait, Harcourt, le célèbre Studio Photo, propose aux usagers de la RATP d’immortaliser leur amour, sur un cliché paré du célèbre halo!*

Kisses et bon week-end! Ceedjay.

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*D’ailleurs, je vous encourage à regarder tous les tweets #SaintValentin; Ça vaut son pesant de cacahuètes!
* 5 Cabines Studio Harcourt seront placées aux stations Gare de Lyon, Denfert-Rochereau, La Motte Picquet Grenelle, Jaurès, et Villejuif-Louis Aragon.