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Playlist #4: Les 10KM Paris Centre

06/10/2014

Dimanche, vous n’avez pas pu échapper -à Paris et sur les réseaux sociaux- à la « vague 10KM Paris Centre » organisée par Nike! Au petit matin, on pouvait voir dans le métro, des centaines de joggeurs/coureurs prêts à inonder le centre de la capitale. Enfin des milliers, puisque cette 11ème édition a rassemblé plus de 10,000 personnes!

10,000 mètres. 10,000 coureurs. 10,000 victoires. (formule empruntée à Nike)

Ma première victoire a été de me motiver à sortir du lit! Franchement, je n’avais pas envie… Avec ma blessure et ma petite forme, ces 10 km me paraissaient insurmontable. Ma deuxième victoire a été de sortir de chez moi! Quel froid! Comment peut-on perdre 10° en si peu de temps? Et ma troisième victoire a été de franchir la ligne d’arrivée en 49″18! Un exploit, compte tenu des circonstances.

J’ai tenu le cap, grâce à une playlist ultra motivante (pour moi), et à un équipement au top! Les chansons choisies étaient quasiment toutes des Power Songs (chansons ultra-motivantes), et j’ai eu l’impression de voler avec mes nouvelles LunarGlides 6. En un mot, maintien, stabilité, confort, et légèreté. Je vous les conseille vraiment!

Donc, mes conseils pour un 10 km « en forme » lorsqu’on a pas la forme sont:

1/ Une bonne paire de runnings… Adaptée à vos besoins! Pour moi, maintien et stabilité.
2/ Partir détendu(e). La pression a tendance à me crisper. C’est lorsque je n’attend/n’espère rien que je m’amuse.
3/ Une playlist pensée en amont. J’ai toujours tendance à avoir un coup de mou au 6ème km… Il faut donc penser à placer une power song à ce moment-là.
4/ Sprinter sur tout le parcours. Un 10 km c’est long et court à la fois. Si l’on veut battre son record, il faut être à 60-70% de sa VMA (Vitesse Maximale Aérobie) pendant les 8 premiers km, et à 80% sur les deux derniers.

Malgré les blessures et/ou la fatigue, vous verrez que ces petits conseils feront la différence! En tous cas, ça a marché pour moi!

Je vous propose -comme je l’avais fait pour la course We Own The Night 2014-, de dresser un petit bilan, sous forme de questions-réponses…

Pourquoi les 10KM Paris Centre ? Pour la vue (Opéra, rue de Rivoli…), pour le fun, et pour avoir la chance de fouler les plus belles rues de Paris!

La course / le parcours ? J’ai trouvé le parcours de cette 11ème édition très agréable, et plutôt accessible à tous! Pas trop de difficultés, excepté quelques faux plats (Boulevard Bonne Nouvelle…), et les virages qu’il faut anticiper, sous peine de se faire rapidement éjecter/ralentir. Et, quel beau spectacle de courir dans les rues de Paris!

La préparation ? Aucune! Mon dernier « vrai » run remontait à il y a 3 semaines. Après plus rien, à cause d’une blessure à la plante du pied. Et puis, un petit rhume une semaine avant la course… Le Top, quoi!

Ma Power Song ? Khaled – C’est la vie. Incroyable mais vrai!

Le moment le plus impressionnant ? Le départ; Lorsque tout le monde semble sprinter vers cette ligne d’arrivée, encore très loin!

Le moment le plus drôle ? Quand Denis Brogniart demande à Karl Lewis s’il aime courir! LOL!

Le moment le plus dur ? Lorsqu’il a fallu abandonner mon coupe-vent aux vestiaires! Je me suis rendue compte qu’on avait perdu 10° en 1 jour, et que l’automne/l’hiver était bien là!

Le moment où j’ai eu peur ? Comme toujours, en passant devant le point de ravitaillement; Au bout de 5 km, on voit de l’eau jaillir de partout, et des verres en plastique joncher le sol! Le meilleur moyen pour glisser…

Mon plus grand regret ? Pas de regrets cette fois-ci. J’y suis allée pour le fun! Je pense d’ailleurs que cette décontraction a joué en ma faveur; Ma foulée était relâchée, souple… J’avais envie de me faire plaisir -sans souffrir-, tout simplement!

Mon temps ? 49″18! Très fière, compte tenu des des circonstances!

Le petit plus ? Carl Lewis qui donne le départ de la course.

Le petit moins ? Le point de ravitaillement de fin, un peu éloigné de la ligne d’arrivée. Ou les mecs « rageux » qui pensent que « slalomer » signifie « pousser »!

L’organisation Nike ? Comme à son habitude, Nike a vu les choses en grand! Pas d’attente aux consignes, un photocall pour garder un souvenir de la course, la possibilité de personnaliser son t-shirt, Carl Lewis en invité d’honneur, une course dans les plus belles rues de Paris… Une course au top!

Le mot de la fin ? C’est quand la 12ème édition?

Je vous laisse avec la playlist musicale que j’ai utilisée pour cette course! Il y a de tout: du vieux, du neuf, de l’improbable… Mais c’est cette petite bombe (bpm > 140) qui m’a permis de maintenir le cap!

Des Baisers sportifs pour ce début de semaine! xx. ◊ Ceedjay

Et vous, quelles sont les musiques qui vous donnent la « patate »? Avez-vous des Power Songs à me conseiller?

Pour retrouver toutes mes playlists musicales, rendez-vous sur mon profil Whyd!

Vous aimerez aussi:
We Own The Night 2014: le Bilan

Sports

La Spartan Race: On l’a fait!

19/09/2014

Samedi dernier, j’ai retrouvé Anne, Camille, Claire et Florence (le #dubndiducrew, que j’ai rejoint en août!), pour relever le challenge de la Reebok Spartan Race! J’avais eu l’occasion d’en discuter avec Anne, et lorsque j’ai appris qu’il restait une petite place, je n’ai pas/plus hésité; J’allais me mesurer à la Spartan Race.
Maintenant que cette course est loin derrière moi (une semaine déjà), je suis fière, mais surtout heureuse de l’avoir affrontée en team. Je me rends compte que je n’aurais pas pu et voulu la faire seule. Nous nous sommes dépassées, aidées, motivées les unes les autres… C’était un moment un peu dingue, où tout se bouscule, et où l’on comprend vraiment le sens du mot « spartiate ». C’était dur, intense, parfois comique, épuisant, long, excitant… Mais au final,  on l’a toutes su à la fin (« You will know at the finish line » est la devise de la Spartan Race); On l’a fait, on a relevé le défi ensemble!

J’attendais les photos officielles pour vous rédiger un compte-rendu illustré. Je n’aurais peut-être pas dû… Il y en a très peu, et de mauvaise qualité!

La Spartan Race, quésako?

La Reebok Spartan Race est une course à obstacles assez intense, complètement « folle », et un brin « primitive »! D’ailleurs l’appellation « Spartan » a été choisie pour rappeler les « spartiates », ces guerriers aguerris de la Grèce Antique.
Elle est présente partout dans le monde (en 2013, 60 évènements ont rassemblé plus d’un million de participants aux États-Unis, en Australie, en Corée du Sud…), et est destinée à tester la détermination-force-résistance-ingéniosité-instinct animal! Pour résumer, la Spartan Race est un « évènement d’endurance complet qui procure une bonne dose d’adrénaline »!

Il existe plusieurs formats de courses selon les niveaux ou les styles de course. SPRINT, BEAST, JUNIOR… Ou SUPER (13 km + 21 obstacles).

Qui sont les Spartiates?

Les spartiates sont -pour la plupart- de vrais athlètes! Il faut être entraîné à la course, et pratiquer une activité physique régulière. Je ne vois pas d’autre alternative pour finir cette course! D’ailleurs la plupart des personnes que l’on a pu croiser étaient sur-entraînées! Les hommes (95% des participants) avaient le profil « pompier réserviste » sportif et macho, et les femmes ne ressemblaient plus à des femmes! Je grossis volontairement les traits, hein! 

Le parcours?

Lors de l’inscription, on nous avait annoncé un parcours de 13 km, semé de 21 obstacles. Mais au final, on a dû franchir plus de 26 obstacles sur je-ne-sais-combien de kilomètres!

Pour s’échauffer, on a dû enjamber un premier mur en bois. Derrière, une foule de spartiates remontés comme des pendules! Le chef spartiate nous fait rouler dans la paille, puis réciter une « profession de foi » avant de partir. Le départ est donné.
On commence à courir sur le chemin accidenté (trous, boue, herbes hautes…)! Puis, le premier obstacle arrive très vite: courir dans de la vase sans tomber! Les mecs nous poussent, font exprès de nous éclabousser! Ok, c’est la guerre. Puis, un deuxième obstacle encore plus boueux… Les obstacles s’enchaînent vite. On patauge dans des piscines de boue, on hisse des poids, porte des sceaux de gravier, on escalade des murs arrosés d’eau, on s’essaye au lancer de javelot, on rampe dans la boue sous les barbelés, on nage… Entre chacun de ces défis, on continue de courir vers l’inconnu, vers le prochain challenge, toujours plus dur… Jusqu’au bouquet final, le mur de braises qui symbolise la ligne d’arrivée!

Lorsque l’obstacle n’est pas validé par le jury-volontaire, il faut faire 30 burpees! Et croyez moi, sur la fin ça tire!

L’ambiance?

Comme je le disais précédemment, l’ambiance était plutôt masculine et « spartiate ». Un poil machos les spartiates 2014! Mais pas sûre qu’ils soient si différents de ceux de l’Antiquité… Du coup, on a joué le jeu en devenant -lorsqu’il le fallait- de vraies Amazones! Mais sur notre chemin, on a quand même eu la chance de tomber sur quelques gentlemen, prêts à nous offrir leurs bras pour un peu d’aide…

Les résultats?

Je suis fière de dire que le #dubndiducrew a relevé « haut la main » ce challenge de la Reebok Spartan Race! Notre crew a fini 174 sur les 404 inscrits, et en individuel, environ 1130 sur sur les 5140 participants!
De mon côté, j’ai raté deux obstacles (le javelot qui s’est décroché de la cible à la dernière minute, et la corde trop boueuse pour que je puisse me hisser), mais je suis fière d’avoir franchi les Monkey Bars! Je me suis entraînée tout l’été, et je n’y arrivais toujours pas avant la course.

Mon avis

Je redoutais cette Spartan Race! Je ne savais pas trop à quoi m’attendre… J’étais fatiguée, blessée, et un poil nauséeuse le matin de la course. J’avais tout simplement peur de ne pas être à la hauteur.
Au final, j’y suis arrivée. En y repensant, ce n’était pas si dur! Bref, j’étais bien entourée, et je crois que c’est ce qui a compté! Je suis repartie avec ma médaille de finisher pleine de boue, beaucoup de jolis souvenirs, et la sensation d’être plus forte physiquement et mentalement!

#lannéeprochainejeremetsca

Quelques conseils

Former une équipe: La course est plus fun et facile en équipe! De plus, le prix exorbitant de la place (environ 82€) est divisé par le nombre de personnes du crew. C’est tout-de-suite beaucoup plus sympa!
Être véhiculé: La base de loisirs de Jablines est à plus de 400 km de Paris; Une vraie galère en transports en commun (merci Florence)!
Arriver une heure avant sa « vague de départ »: Les départs se font toutes les 15 mins. Avant de commencer, il faut récupérer son dossard, et déposer ses affaires à la consigne…
Se couvrir: Ne pas faire l’erreur de venir en mini short (ce que je voulais faire)! Lorsque l’on traverse « les barbelés », la boue contient des millions de petits cailloux qui se frottent, coupent, et font très mal. D’ailleurs les gants de protection sont aussi les bienvenus!
Porter des vêtements/chaussures en fin de vie: Impossible de récupérer mes baskets, mes chaussettes, et j’ai troué mon legging sur l’un des toboggans boueux!
Se pré-doucher sur place: Inutile de préciser pourquoi! Les photos parlent d’elles-même!
Se ramener des provisions: Il semblerait que le spartiate ne boive/mange pas; Trois verres d’eau et un morceau de banane en guise de récompense!

Pour finir, je vous invite à aller lire l’article d’Anne sur le sujet! Il est très complet, et son copain Mathieu, du blog Frenchfuel, a réalisé une petite vidéo très sympa (on nous voit à un moment)!

xx. Et bon week-end sportif les Beautés. ◊ Ceedjay ◊

Êtes vous tenté(e)s par ce genre de course?
Si oui, vous pouvez toujours vous inscrire aux prochaines Spartan Races!

Sports

Quand courir = plaisir

10/04/2014

Je n’aime pas courir. C’est ce que je me dis souvent! Et puis parfois, je ressens ce besoin de courir… Une fois par an en général. Mais (re)commencer à courir c’est dur, éprouvant, parfois sans fin… Pourquoi courrons-nous? Après m’être posée ces questions existentielles, j’ai enfin trouvé! La vraie question est plutôt: Après quoi courrons-nous?

Pour certains, il s’agit de s’évader, voir au delà de l’horizon. Pour d’autres, c’est plutôt une envie de se lancer des défis; Perdre du poids par exemple. Et pour quelques-uns, cela devient addictif, obsessionnel, une performance, un dépassement de soi.
De mon côté, je ne sais pas faire les choses à moitié. Je me lance souvent des défis, puis cela se transforme vite en passion démesurée. Et plouf! Plus rien… Je suis insatisfaite, et j’aime le changement. Lorsque j’étais petite, les adultes critiquaient vivement ce manque de constance. « Elle ne finit jamais ce qu’elle entreprend… », « Il faut aller au bout des choses!« , me répétaient-ils!

Mais au final, je suis heureuse d’être cette éternelle insatisfaite. Je suis curieuse et m’ouvre à plein de choses. Et dans ma pratique du sport, ce trait de caractère me sert plutôt bien!
Il faut savoir que le corps est une fabuleuse machine, qui s’habitue à tout, très vite! Pratiquer les mêmes activités, tout le temps, n’est pas conseillé, si l’on veut obtenir des résultats probants. Changer de routine sportive tous les trimestres est important. Il faut se faire violence, souffrir un peu, pour mieux apprécier par la suite.

Après ma routine « tablette de chocolat » de mars -que je suis toujours-, j’ai décidé de me (re)mettre au running… Oui, aujourd’hui le running a le vent en poupe! Pourquoi?

1. Il ne coûte qu’une paire de basket!
2. Il se pratique partout et gratuitement (rue, parcs, jardins…).
3. Il fait perdre du poids très vite.
4. Il est mesurable (mettre un chiffre -5km, 10km, en 20 mn ou 50 mn- sur son effort, motive énormément).
5. Il est fédérateur (autrefois activité solo, il se pratique désormais à plusieurs).
6. Il muscle les jambes et le coeur (l’idéal pour les filles).
7. Il est fun.

Le running est devenu fun. Aujourd’hui, on ne court plus seul. On se fixe des objectifs, on s’améliore grâce à des applications ou accessoires intelligents (Nike+ Running, Nike+ FuelBand SE…), on court pour la bonne cause (La Parisienne…), on se challenge avec les courses à obstacles (The Mud Day, La Reebok Spartan Race…)… Le running a pris le meilleur du fitness pour fédérer et motiver…

Alors moi aussi, j’ai décidé de me remettre à courir, et de prendre part à l’un de ces « running fun »! Bon, j’ai été aidée par la jolie Marie du blog Graine de Sportive… Elle m’a offert l’un des derniers dossards, pour la première édition parisienne de la Color Run by Lipton Ice Tea.

La Color Run, c’est la course de 5km la plus colorée au monde! Le concept est simple: on se fait asperger de poudre colorée 100% naturelle à base de fécule de maïs, à chaque kilomètre (« COLOR ZONE »). Le but étant de franchir la ligne d’arrivée avec le plus de couleurs possible. Nul besoin d’être rapide et d’arriver premier, l’essentiel est d’être coloré et de s’amuser. Cette course sportive et caritative* se finira en apothéose avec le « Festival Finisher » organisé par Lipton Ice Tea: de la couleur, du fun, et de la musique non stop!

 *Les gains de la course parisienne seront en partie reversés à l’association Les Chevaliers du ciel qui offre à des enfants atteints par le handicap, la maladie, ou socialement défavorisés, la réalisation d’un baptême de l’air avec d’autres enfants dits «ordinaires». 

Vous l’avez compris! Pour se (re)mettre à courir, il faut aussi que cela soit un plaisir. La Color Run sera l’occasion, pour moi, de me m’entraîner « façon course » dans la joie et la bonne humeur! 5km, c’est court, mais assez pour attraper le virus running! Et depuis ces deux dernières semaines -à raison de 4 entraînements par semaine-, j’ai littéralement fondu…

Je m’arrête ici pour ce post. Il est plus un prétexte à vous présenter ces nouvelles méthodes de « running fun », et de vous prouver, que oui, il est possible de prendre du plaisir à courir! Pour ceux qui ont raté la Color Run, la saison des courses est loin d’être achevée! Avant la We Own The Night de juin, à laquelle je prendrai également part, il y a d’autres événements assez sympas pour se (re)mettre à courir! Je vous conseille d’acheter le dernier Vital Mag: il contient un dossier complet sur le running (comment se préparer aux courses, comment adapter son entraînement…).

Et pour les oiseaux de nuit, il y a aussi la Flash Run! Le samedi 26 avril, les runners-clubbers pourront partager un moment alliant course à pied, jeux de lumière et musique. Après avoir couru 5 km en musique et en lumière, une soirée attendra les sportifs à l’arrivée… Il y a de quoi se motiver!

Des baisers sportifs les Chéris! Bonne journée. xx. Ceedjay.

Photos: The Color Run™ France & Le canard ivre.

Sports

Run in the city

24/05/2013

Le sport! Une passion depuis plus de huit ans maintenant. J’ai essayé à peu près tous les sports. Obligée par ma mère, je me suis d’abord ridiculisée en tutu. Puis, j’ai appris à nager. Étant donné que je coulais plus qu’autre chose, je me suis dit que quitte à courir après un sport, autant courir tout court. Courir apporte un sentiment de liberté qu’aucun autre sport ne peut le faire. Fouler le bitume encore et encore, en quête de vitesse, de performance. Désespérer, puis retrouver confiance. Attendre le refrain, pour accélérer sa foulée. Toutes ses choses donnent une dimension à part à la course.

Alors, lorsqu’il s’agit de courir dans les rues de Paris, et entre filles, je ne peux que dire « oui ». Nike organise depuis quelque temps des séances de training d’1h30 dans plusieurs lieux parisiens, afin de préparer les filles à la course We Own The Night. En compagnie de coachs, les participantes ont pu s’essayer à des parcours inédits, et se préparer pour le jour J. Cours de cuisine avec Thierry Marx, shopping entre filles, Nike a vraiment pensé à tout. Demain matin, à 10 heures pétantes, 5000 filles vont arpenter les rues du 13ème arrondissement de Paris, dans le but de s’évader pendant 10km.

Bon ok. S’évader sur 10 km, c’est énorme lorsqu’on est pas habituée. Alors, voici mes quelques conseils, pour apprécier un peu plus le challenge:

1. Être équipée: la qualité des chaussures joue pour beaucoup dans la fatigue. Il faut des chaussures souples et qui amortissent les chocs.

2. Bien manger, mais pas trop, le matin. Surtout, ne pas manger acide (jus, fruits…).

3. Bien s’hydrater.

4. Aller à son rythme. L’important c’est de participer.

Vous pouvez retrouver les informations concernant la course sur le site et la page facebook. Et s’il est trop tard pour vous inscrire, n’hésitez pas à venir nous soutenir!