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2014

Sports

La Spartan Race: On l’a fait!

19/09/2014

Samedi dernier, j’ai retrouvé Anne, Camille, Claire et Florence (le #dubndiducrew, que j’ai rejoint en août!), pour relever le challenge de la Reebok Spartan Race! J’avais eu l’occasion d’en discuter avec Anne, et lorsque j’ai appris qu’il restait une petite place, je n’ai pas/plus hésité; J’allais me mesurer à la Spartan Race.
Maintenant que cette course est loin derrière moi (une semaine déjà), je suis fière, mais surtout heureuse de l’avoir affrontée en team. Je me rends compte que je n’aurais pas pu et voulu la faire seule. Nous nous sommes dépassées, aidées, motivées les unes les autres… C’était un moment un peu dingue, où tout se bouscule, et où l’on comprend vraiment le sens du mot « spartiate ». C’était dur, intense, parfois comique, épuisant, long, excitant… Mais au final,  on l’a toutes su à la fin (« You will know at the finish line » est la devise de la Spartan Race); On l’a fait, on a relevé le défi ensemble!

J’attendais les photos officielles pour vous rédiger un compte-rendu illustré. Je n’aurais peut-être pas dû… Il y en a très peu, et de mauvaise qualité!

La Spartan Race, quésako?

La Reebok Spartan Race est une course à obstacles assez intense, complètement « folle », et un brin « primitive »! D’ailleurs l’appellation « Spartan » a été choisie pour rappeler les « spartiates », ces guerriers aguerris de la Grèce Antique.
Elle est présente partout dans le monde (en 2013, 60 évènements ont rassemblé plus d’un million de participants aux États-Unis, en Australie, en Corée du Sud…), et est destinée à tester la détermination-force-résistance-ingéniosité-instinct animal! Pour résumer, la Spartan Race est un « évènement d’endurance complet qui procure une bonne dose d’adrénaline »!

Il existe plusieurs formats de courses selon les niveaux ou les styles de course. SPRINT, BEAST, JUNIOR… Ou SUPER (13 km + 21 obstacles).

Qui sont les Spartiates?

Les spartiates sont -pour la plupart- de vrais athlètes! Il faut être entraîné à la course, et pratiquer une activité physique régulière. Je ne vois pas d’autre alternative pour finir cette course! D’ailleurs la plupart des personnes que l’on a pu croiser étaient sur-entraînées! Les hommes (95% des participants) avaient le profil « pompier réserviste » sportif et macho, et les femmes ne ressemblaient plus à des femmes! Je grossis volontairement les traits, hein! 

Le parcours?

Lors de l’inscription, on nous avait annoncé un parcours de 13 km, semé de 21 obstacles. Mais au final, on a dû franchir plus de 26 obstacles sur je-ne-sais-combien de kilomètres!

Pour s’échauffer, on a dû enjamber un premier mur en bois. Derrière, une foule de spartiates remontés comme des pendules! Le chef spartiate nous fait rouler dans la paille, puis réciter une « profession de foi » avant de partir. Le départ est donné.
On commence à courir sur le chemin accidenté (trous, boue, herbes hautes…)! Puis, le premier obstacle arrive très vite: courir dans de la vase sans tomber! Les mecs nous poussent, font exprès de nous éclabousser! Ok, c’est la guerre. Puis, un deuxième obstacle encore plus boueux… Les obstacles s’enchaînent vite. On patauge dans des piscines de boue, on hisse des poids, porte des sceaux de gravier, on escalade des murs arrosés d’eau, on s’essaye au lancer de javelot, on rampe dans la boue sous les barbelés, on nage… Entre chacun de ces défis, on continue de courir vers l’inconnu, vers le prochain challenge, toujours plus dur… Jusqu’au bouquet final, le mur de braises qui symbolise la ligne d’arrivée!

Lorsque l’obstacle n’est pas validé par le jury-volontaire, il faut faire 30 burpees! Et croyez moi, sur la fin ça tire!

L’ambiance?

Comme je le disais précédemment, l’ambiance était plutôt masculine et « spartiate ». Un poil machos les spartiates 2014! Mais pas sûre qu’ils soient si différents de ceux de l’Antiquité… Du coup, on a joué le jeu en devenant -lorsqu’il le fallait- de vraies Amazones! Mais sur notre chemin, on a quand même eu la chance de tomber sur quelques gentlemen, prêts à nous offrir leurs bras pour un peu d’aide…

Les résultats?

Je suis fière de dire que le #dubndiducrew a relevé « haut la main » ce challenge de la Reebok Spartan Race! Notre crew a fini 174 sur les 404 inscrits, et en individuel, environ 1130 sur sur les 5140 participants!
De mon côté, j’ai raté deux obstacles (le javelot qui s’est décroché de la cible à la dernière minute, et la corde trop boueuse pour que je puisse me hisser), mais je suis fière d’avoir franchi les Monkey Bars! Je me suis entraînée tout l’été, et je n’y arrivais toujours pas avant la course.

Mon avis

Je redoutais cette Spartan Race! Je ne savais pas trop à quoi m’attendre… J’étais fatiguée, blessée, et un poil nauséeuse le matin de la course. J’avais tout simplement peur de ne pas être à la hauteur.
Au final, j’y suis arrivée. En y repensant, ce n’était pas si dur! Bref, j’étais bien entourée, et je crois que c’est ce qui a compté! Je suis repartie avec ma médaille de finisher pleine de boue, beaucoup de jolis souvenirs, et la sensation d’être plus forte physiquement et mentalement!

#lannéeprochainejeremetsca

Quelques conseils

Former une équipe: La course est plus fun et facile en équipe! De plus, le prix exorbitant de la place (environ 82€) est divisé par le nombre de personnes du crew. C’est tout-de-suite beaucoup plus sympa!
Être véhiculé: La base de loisirs de Jablines est à plus de 400 km de Paris; Une vraie galère en transports en commun (merci Florence)!
Arriver une heure avant sa « vague de départ »: Les départs se font toutes les 15 mins. Avant de commencer, il faut récupérer son dossard, et déposer ses affaires à la consigne…
Se couvrir: Ne pas faire l’erreur de venir en mini short (ce que je voulais faire)! Lorsque l’on traverse « les barbelés », la boue contient des millions de petits cailloux qui se frottent, coupent, et font très mal. D’ailleurs les gants de protection sont aussi les bienvenus!
Porter des vêtements/chaussures en fin de vie: Impossible de récupérer mes baskets, mes chaussettes, et j’ai troué mon legging sur l’un des toboggans boueux!
Se pré-doucher sur place: Inutile de préciser pourquoi! Les photos parlent d’elles-même!
Se ramener des provisions: Il semblerait que le spartiate ne boive/mange pas; Trois verres d’eau et un morceau de banane en guise de récompense!

Pour finir, je vous invite à aller lire l’article d’Anne sur le sujet! Il est très complet, et son copain Mathieu, du blog Frenchfuel, a réalisé une petite vidéo très sympa (on nous voit à un moment)!

xx. Et bon week-end sportif les Beautés. ◊ Ceedjay ◊

Êtes vous tenté(e)s par ce genre de course?
Si oui, vous pouvez toujours vous inscrire aux prochaines Spartan Races!

Goody/Bady Le bloc-notes Voyages

S U M M E R…

07/08/2014

OUP’S! Il semblerait que mes vacances soient plus longues que prévues! Mais c’est tellement bon… De ne rien faire! De lézarder au soleil, de s’entraîner sans pression, de respirer l’air marin, de voir sa famille, et de dooorrmir… Je profite encore et encore, en attendant la rentrée. Et j’espère que vous profitez un max, de votre côté aussi!

Tout ça pour vous dire, que Le canard ivre revient lundi (pour de bon, mais toujours dans sa version estivale)!

Je vous embrasse bien fort!
Ceedjay.

Goody/Bady

En Février, je n’ai pas aimé…

28/02/2014

Mes Chatons!
Je sais qu’il vous avait manqué… Le « Je n’ai pas aimé »… Ce billet, qui ne tourne pas sept fois sa langue dans sa bouche. Celui, qui dit ce qui doit être dit… Sans ambages et avec cette douce ironie… Je crois que ce billet d’humeur est, de loin, mon préféré! Parce que les mauvaises choses méritent, elles aussi, d’être soulignées!
Alors, c’est en toute subjectivité, que je vous livre mes 5 coups de gueule du mois de février!

J’attend, bien entendu, vos retours et/ou réclamations!
Je vous embrasse fort et bon week-end. J’ai hâte de vous retrouver lundi! xx. Ceedjay.

*Vous pourrez retrouver les anciens billets dans la catégorie « Goody/Bady »… 

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4. Rroll, les tout petits roulés

Rroll, c’est un petit salon de thé-bakery, installé depuis décembre dernier, sur les pentes de Montmartre. Rroll, parce qu’on y on ne sert que des « rolls ». Vous savez, ces petits pains briochés roulés qui viennent de Scandinavie, et qui font fureur à New-York? Le plus souvent, ils sont aromatisés à la cannelle, et on les déguste avec du cottage cheese au petit-déjeuner… Autant vous dire que je suis hystérique lorsque j’en vois un. Je vous avais d’ailleurs donné une recette ici
Alors, lorsque j’ai vu qu’une adresse en faisait sa star, j’ai foncé.

L’endroit est minuscule mais chaleureux. Très 70’s tout de même avec ces tables-chaises en formica, et ces petites céramiques de Bruxelles. Oui, trop orange. On flirte avec le mauvais goût. À un moment, j’ai même eu l’impression de me retrouver dans un remake d’Austin Power. Bon, la dame est très gentille. Elle nous explique qu’à 16h, il ne reste que deux ou trois rolls… Mais comment fait-on, lorsqu’il n’y a que cela à la carte? Et bien on mange les entames. Ce sont des rolls, sauf qu’ils sont infiniment petits. Riquiquis. On prend un café payé au prix fort (3,80€) et une entame noix de pécan-cannelle-sirop d’érable et abricot-fleur d’oranger-pralin. C’est délicieux, vraiment! Mais c’est tellement petit pour 3€. La dame nous promet un geste… Et au moment de payer… Plus personne! Je cherche les 50 centimes qu’il me reste à donner. Off, « je vous avais promis un petit quelque chose »… Une note salée pour la sensation d’avoir mangé un macaron. Ok, Rroll se déguste uniquement à emporter.

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3. Les sous-vêtements passent au-dessus!

Connaissez-vous la nouvelle mode du moment? Très en vogue lors des goûters entre filles trentenaires, cette nouvelle tendance est notre revanche à nous, les femmes, l’affirmation de notre féminité… C’est elle aussi, qui nous donne le courage de crier dans la rue le « Girl Power » des Spice Girls… J’ai nommé, la lingerie.

Oui, désormais, ces sous-vêtements censés rester en-dessous, ont décidé de s’émanciper. Premier Insta du matin: une collègue blogueuse vêtue du nouvel ensemble coquin, de cette marque dont je ne me rappelle plus le nom. Ensuite, quelques tweets faisant l’apologie de la corbeille ou du triangle. Oh, une autre nous expose ses parures sur son lit… On parle string au déjeuner, et tanga au dîner. Oui, le tanga est tellement plus 2014!
Bref, tout ça pour vous dire que j’en ai marre. « La revanche de la lingerie » a assez duré! je ne vous dis pas que je n’aime pas cela, ou que je n’en parlerai jamais ici… C’est tellement beau, une dentelle qui s’échappe d’un chemisier… Mais en février, ce florilège d’amour et de petites dentelles m’a gavée. Et pour vous prouver ma mauvaise foi, j’ai réussi à vous montrer, l’air de rien, l’un de mes ensembles préférés!

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2. Le plus grand gag fitness du monde!

On nous avait promis la plus belle, et la plus grande salle de fitness du Monde! Vous vous souvenez? Le mois dernier, je vous avais parlé de cet évènement, le Les Mills Reebok Show; Quatre heures de fitness intensif, sous la Nef du Grand Palais. Une belle et grande fête sportive, quoi! Mais au final, j’ai été très déçue! Entre mauvaise organisation, et mauvaise organisation… L’évènement n’a pas été à la hauteur de ses promesses.

À 30 minutes de l’ouverture du Show, il y a cette énorme file d’attente qui fait le tour complet du Grand Palais. Mais ça va assez vite. On découvre la salle. La soleil se couche, et la lumière dorée se reflète sur l’estrade et les deux écrans géants. C’est splendide. On file au vestiaire. 20 minutes d’attente pour qu’un jeune homme nous demande de garder nos affaires avec nous! WTF! On a pas payé 20€ pour courir en manteau et avec un sac? On obtient finalement gain de cause.
Mais le Show ne nous a pas attendu… On file trouver une place. Il n’y en a déjà plus. Après un Haka vu du coin de l’oeil, place au sport. On s’écrase les pieds, on se donne des coups… Il n’y a pas d’espace. Il est impossible de faire quoi que ce soit… Les cours passent. Body Attack, Grit Cardio… On nous demande de former un cercle, de faire des pompes, de se mettre à terre. Comment ça? Ils n’ont pas pensé qu’il serait impossible d’effectuer ces mouvements avec tant de monde? Ils n’ont même pas aménagé les cours! Pfff! Les mains pleines de crasse, on s’arrête pour attendre le Body Combat. Enfin un peu de fun… Et puis, on a mal aux jambes. Même avec de bonnes chaussures, le sol n’est pas adapté! Aïe sur le moment, et  triple ouille les jours suivants.
Bon, on a quand même gagné une serviette et un bracelet Les Mills X Reebok… Mais ceci n’était certainement pas une salle de fitness!

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1. Le café Suédois

Le Café Suédois! Longtemps, je suis passée devant sans m’y attarder plus. On le dépeint comme un petit havre de paix niché en plein Marais, avec sa petite cour pavée, ses gâteaux de grand-mère, et ses petites tables d’extérieur blanches… Dimanche dernier, j’ai voulu y faire une petite pause gourmande, pour voir… Et catastrophe! Je suis ressortie de cet endroit déçue et avec un ulcère à l’estomac. Je vous raconte…

On passe au comptoir pour commander. Il y a des gâteaux maison pas trop mal fichus dans des moules à tarte. Derrière ces fameuses machines à café, comme on les voit aux États-Unis… On prend un café et une part de gâteau noisette-banane. Et on s’installe dans cette « cour d’Eden ». Pour le Paradis, on repassera en été. Aujourd’hui on aperçoit uniquement la mousse verte sur les grosses pierres de l’édifice. Côté food, le gâteau est gras, lourd et écoeurant… Une bouchée, avant de se réconforter avec un bon café… Ah non, il est 16h45. Le petit noir a dû rester toute la journée sur le feu. Il est brûlé, et tellement acide! Bon, en fait Le Café Suédois, c’est un campement de fortune dans les tranchées de la 1ère Guerre Mondiale? (Je sais cette blague n’est pas drôle. Désolée si je choque certaines personnes). Finalement, on ramène notre vaisselle au comptoir en s’excusant d’avoir payé pour ne pas manger.

Le bloc-notes Mode

Printemps 2014: En mode Arty

25/02/2014

Hello les Beautés!
Qui se souvient de la peinture par pliage? Vous savez, c’est cette méthode inventée par le peintre français Simon Hantaï...? On plie une feuille, on verse un peu de peinture sur l’un des côtés, on la replie, on la déplie… Et la magie opère! On s’amuse à imaginer un objet, ou un animal…
Lorsque j’étais gamine, j’adorais interpréter mes pliages. Je me sentais artiste, très Picasso!

Cette saison, la mode joue aussi avec la peinture. C’est frais, ça pep’s, et ça fait réviser ses Classiques…
Chez American Vintage, on donne de grands coups de pinceau, on dépasse, tandis que chez Kookaï, on applique la couleur par petites touches… Enfin, Céline nous rappelle qu’en 2014, le Graffiti reste so cool!

Pinceaux, bombe aérosol ou craie, l’été prochain sera résolument Arty (pour moi).
Et vous? Ça vous inspire?

Je vous laisse avec quelques photographies choisies*. Et je vous donne rendez-vous mardi prochain, pour une autre tendance et d’autres lookbooks!

Des baisers les Amours! xx. Ceedjay.

*Je me suis amusée à leur donner des petits noms!

American Vintage – Spring-Summer 2014 – « Marouflage »

Valentine Gauthier – Collection Printemps/Été 2014 – « Impressionnisme »

Samsoe & Samsoe – Lookbook Printemps 14.01 – « Op Art »

Whistles – Campagne Printemps/Été 2014 – « Pliage »

Kookaï – Lookbook Été 2014 – « Pointillisme »

Céline – Campagne Été 2014 – « Pop Art »

Arty Dress code

Mille et Une Orchidées

20/02/2014

Lundi dernier, je suis allée me réfugier dans l’atmosphère chaude et humide de la Grande serre du Jardin des Plantes… L’occasion idéale, pour toucher du doigt l’été qui nous manque tant!

Il y avait cette exposition sur les orchidées que je voulais voir. Ma mère les collectionne depuis ma plus tendre enfance. Dès que l’une d’entre elles fleurit, elle la pose sur sa table d’extérieur, la prend en photo, et veille tout particulièrement à son bien-être…

Je voulais donc voir ces quelques mille espèces sauvages, sélectionnées pour leur beauté et leur exotisme. Et puis, je me suis rendue compte que cette année, la Nouvelle-Calédonie était à l’honneur!* On parle du maquis minier, de fougères arborescentes… J’entend un scientifique expliquer à son groupe que sur « l’Île aux Pins »… « Euh non Monsieur, c’est l’Île DES Pins »!!! C’est fou le nombre de bêtises que l’on peut entendre sur son pays, lorsqu’on le connaît de l’intérieur…

Avec son élégante scénographie, la Grande serre cantŭs animalis nous plonge dans une grande forêt tropicale. C’est beau et reposant. On hume avec bonheur cet air humide, et l’odeur délicates de ces belles fleurs. L’illusion tropicale est renforcée par un système sonore simulant la faune… Quel bonheur!

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Mille et Une Orchidées
Du 13 février au 10 mars 2014
Muséum national d’Histoire Naturelle – Jardin des Plantes
Dans les Grandes serres
57, rue Cuvier 75005 Paris
Tous les jours de 10h à 17h (sauf le mardi)

Tarif: 6€ ou 4€ (réduit)

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Cette belle parenthèse, m’a permis de prendre la pause en tenue légère. Et cela fait tellement de bien! L’occasion aussi de vous montrer un petit look au passage*…

J’espère que cette petite visite vous plaira autant qu’à moi!

Des Baisers. Ceedjay.

 * Je vous le promets, je ne l’ai pas fait exprès!
* Les détails de la tenue sont -comme d’ordinaire- à la fin du billet.

Top Imprimé - Samsoe & Samsoe (soldes H13)
Gilet Long - American Vintage - (ancien)
Jean DEBRA - Samsoe & Samsoe
Soutien-gorge Bandeau - Princesse tam.tam - (ancien)
Bottines Camel - Zara - (soldes H13)
Collier "Number One Love" - Mimilamour
Bagues Fines - Zara

 

Goody/Bady

En Janvier, je n’ai pas aimé…

28/01/2014

Mes Chatons! Il y a quelques temps, j’ai décidé qu’il était temps de reprendre mes petits billets incendiaires intitulés « Je n’ai pas aimé…* Tous les mois, je partagerai mes déceptions, mes coups de gueule, et mes interrogations sur des tendances, des adresses, et d’autres choses encore… Parce que ces petits « détails » méritent eux aussi d’être soulignés! Et parque cela fait vraiment du bien de vider son sac (de temps en temps)…
Alors, c’est en toute subjectivité, que je vous livre mes 5 coups de gueule du mois de janvier!

J’attend, bien entendu, vos retours et/ou réclamations!
Je vous embrasse fort. xx. Ceedjay.

*Vous pourrez retrouver les anciens billets dans la catégorie « Goody/Bady »… 

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5. Trop de galette tue la Galette!

La galette, c’est mon petit plaisir d’après fêtes! Chaque année, j’attend le jour de l’Épiphanie avec impatience. Je prépare ma pâte feuilletée à l’avance, je la fourre d’une crème frangipane onctueuse et parfumée, et je la fais lentement dorer au four*… Mmmhm! Je la déguste encore tiède… Oui, j’adore la galette! Mais ce que j’aime le plus chez la demoiselle, c’est sa rareté! Une ou deux, aller! Mais cinq, six, dix galettes! C’est trop pour moi! Je suis écoeurée!
Cette année, j’ai eu un trop plein de galette. Trop de photos postées sur Instagram, trop de galettes mangées, trop rosaces dans la pâtisserie du coin (et ça continue encore!), trop de mot « galette »! Alors, vive février et sa farandole de crêpes!

* ma recette est à retrouver ici (Sait-on jamais!)

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4. La guerre des Stan Smith

Vous le savez déjà, l’iconique chaussure d’Adidas est de retour! Disparue des rayons des magasins en mai 2011, le modèle Stan Smith était devenu l’un de ces sésames fashionque l’on ne trouvait plus que d’occasion sur la Toile. Aujourd’hui la basket blanche unisexe fait son grand retour… Et fait couler beaucoup d’encre au passage!
Pour ma part, j’ai tout-de-suite craqué! Il me faut le modèle blanc et vert! Je me précipite sur l’e-shop… Mince, il n’y a plus ma taille! Tant pis, j’attendrai patiemment…
Et puis, j’ai assisté à une véritable guerre des Stan Smith! Dans la rue, on crie au « mouton », lorsqu’une personne ose porter la basket. Sur le Net, les commentaires se déchaînent, les blogueuses se justifient… D’autres jurent ne jamais avoir aimé le modèle. Tout le monde se jalouse, tout le monde se déchire. Tout ça, pour une paire de chaussures!
Euh, suis-je la seule à être dégoûtée? Bon, pour les Stan Smith je repasserai plus tard, hein! Du coup, j’ai acheté Reebok!

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3. Black Beans

Depuis mon voyage au Mexique, je regrette souvent la nourriture « muy caliente » de là-bas. C’est coloré, épicé, et tellement convivial! Alors, je fais le tour de Paris, à la recherche de petites taquérias typiquement mexicaines.
Lorsque j’ai entendu parler du Black Beans, j’en ai eu l’eau à la bouche. Une authentique cantine mexicaine! Miam!
Dès l’entrée, on se plonge directement dans le folklore mexicain; Sombreros au plafond, pimientos pendus, et déco kitsch un peu partout… Sauf qu’au Mexique, ce genre d’endroits, on les appelle « attrapes-touristes »; Ils sont censés épater la galerie à Playa del Carmen.
La demoiselle au service a ce doux accent chantant… On attend en sirotant une bière Sol. On commande un guacamole; On l’attendIl est sans saveur et plein de crème. Et j’ai vu la serveuse verser les tortillas « premier prix » dans notre bol… On attend encore pour la suite… Cinquante minutes plus tard (je ne plaisante pas), nos tacos arrivent. Les tortillas de maïs souples sont exquises, mais la garniture est sèche et sans saveur! Encore 20 minutes pour demander l’addition à la jeune femme… 2h30 après, on repart repus mais très déçus!

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 2. Croinut, le Cronut français

C’est avec la même frénésie que les new-yorkais, que j’ai accueilli l’arrivée du Cronut en France. Le Cronut, c’est une friandise US mi-croissant mi-donut, généralement fourrée, inventée par le chef pâtissier français Dominique Ansel. À New-York, il est adulé; Au point qu’on n’hésite pas à faire la queue pendant 4h, pour goûter à la friandise hybride.
Depuis mi-décembre, nous autres parisiens avons notre propre déclinaison. Saupoudré de sucre glace, il se mange nature, se fait appeler Croinut et, est uniquement disponible chez The Hot Dog Corner. Autant vous dire que je me suis empressée d’y goûter!
Et… Déception! C’est gras, très gras, trop gras!  Feuilleté comme un croissant, il possède néanmoins ce léger parfum de friture, propre au donut. Ouais… Je ne suis pas convaincue. La demoiselle de la boutique s’empresse de me raconter la petite histoire de son gâteau rond…« Notre fournisseur serait le véritable inventeur du Cronut. Ce petit artisan pâtissier espagnol regrette tellement de ne pas avoir déposé l’idée! » Ouais… Non madame, toujours pas convaincue!

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1. Clint

Au pays des hipsters, je demande l’attrape-bobo…
Clint, c’est ce nouvel endroit tellement cool, niché aux pieds du Père Lachaise. Tellement cool, qu’il fait partie du cercle très fermé des adresses Fooding! Oh God! On y croise du barbu, on y boit du café signés Belleville Brûlerie, on y shoppe des t-shirts « Clint » griffés Newstalk, et on y mange la cuisine d’un ancien du Royal Monceau.
Sauf qu’à mon passage, la réalité m’a semblée un brin différente.
Accueil glacial avec un « fermez la porte, il y a un bébé! » « Ok, mais on ne peut pas rentrer! » On s’assied à la table qu’on nous attribue. Le décor est sympa… C’est un mélange de Claus, et de Wood, avec son grand comptoir à pâtisseries, et du bois un peu partout. On vient prendre notre commande… Ah, il n’y a plus de salade. Pas de légumes à la carte donc… Bon il est 13h30, on arrive un peu tard! Le serveur semble « blasé » du temps que l’on met à choisir. Ce sera oeufs Bénédicte, puis pancakes…
Tout arrive en même temps, 3 minutes plus tard, montre en main. Et, on nous apporte des verres sans la carafe d’eau (sinon ce ne serait pas drôle).
C’est beau, et ça à l’air bon. Sauf, que tout est froid! Enfin glacé! Le muffin est trempé, la sauce est glaciale. Et bizarrement, la salade est réapparue! Les pancakes ne sont guère meilleurs: tout raplaplas et compacts! On nous demande si l’on désire un dessert. What?
Je crois qu’il est temps d’y aller… Que j’aille boire un bon café pour me réchauffer de cette expérience glacée chez Clint!