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Mon Training Diary #6

21/03/2016

Trois mois se sont écoulés depuis le dernier épisode #MonTrainingDiary !!! Déjà ? Mais qu’a-t-il bien pu se passer ? Je dois dire que je ne sais pas moi-même pourquoi… Le temps est passé si vite, et j’ai eu tellement de choses à faire, à apprendre !

J’ai essayé -tant bien que mal- de pallier à mon absence avec des petits concours, des plus gros, le lancement du challenge #FitYourStyleWith, et de jolies photos « inspirantes » postées sur Instagram chaque jour, mais j’ai quand même l’impression d’avoir échoué quelque part. Je me rappelle de la rentrée, de mon ambition trop ambitieuse (poster 3 articles par semaine 😀 ), de mes projets pour 2016… Tout me semble si loin, et l’échéance si proche !

Cette année est la plus DIFFICILE de ma vie ! Le rythme (se lever à 5h et finir ses journées à 22h), la quantité de travail à fournir, le sport encore et toujours, les blessures, l’ingratitude parfois, la répétition, les critiques, l’accumulation de la fatigue, les échecs… Toutes ces choses sont compliquées à gérer et à accepter. La semaine dernière, je suis tombée malade; Une petite poussée de maladie de Crohn*, comme pour me rappeler d’arrêter de jouer à la Wonder Woman que je ne suis pas. C’est vrai, cette année je cumule une formation en alternance**, un travail dans la communication pour une entreprise du secteur sportif, mon blog… C’est beaucoup trop ! Et puis, je prépare déjà l’après diplôme, avec l’organisation de rencontres, des projets fous, et beaucoup d’autres surprises 😀 . Il faut que je me résonne, que j’apprenne à lâcher prise. Ce n’est pas si grave de ne pas arriver à tout conjuguer, tant que la qualité est au rendez-vous ! J’ai tellement de choses à vous dire, tellement de réponses à apporter à vos questions, tellement de conseils à vous donner. Tout cela devra malheureusement attendre la fin de ma formation. D’ailleurs, cette fin est proche. Si tout se passe bien, je peux être libre dès le mois de juin ! #YEAH

Alors, je m’excuse de ne plus être là autant que je le souhaiterais pour vous. Les deux prochains mois vont être intenses. Je pense que les publications vont êtres encore plus rares. Et oui ! J’ai enfin pris la décision de faire ce qui est bien pour moi et pour mon futur ! Je préfère me consacrer entièrement à mon diplôme pour être sûre de le valider. Je veux être une bonne coach, compétente, et soucieuse du bien de mes coachés. Je veux me donner à 100% pour pouvoir vous transmettre à 100%. Et ce n’est plus qu’une question de temps ! J’espère que vous aurez la patience de attendre jusque là ! <3

Bien évidemment, je continuerai à poster sur Instagram (pour les photos), sur Facebook (pour les bons plans et les recettes « express ») et sur Snapchat (pour la folie ! 🙂 )… Je vous ferai un petit « coucou » par ici aussi ! Bref, je ne serai pas loin.

Je vous embrasse très fort mes chatons ! ♥ ◊ Christelle ◊

* »Maladie inflammatoire chronique du système digestif, qui évolue par poussées (ou crises) et phases de rémission. Fatigue, perte de poids et même dénutrition peuvent survenir si aucun traitement n’est entrepris. Dans certains cas, des symptômes non digestifs, qui touchent la peau, les articulations ou les yeux peuvent être associés à la maladie. »

**Piqûre de rappel pour ceux/celles qui nous rejoignent… 😉 Cette année, j’ai décidé de reprendre mes études, et de suivre une formation de 11 mois (BPJEPS AGFF = brevêt Professionnel des activités gymniques de la forme et de la force) pour devenir coach sportif. À la clé, un diplôme me permettant de dispenser/d’encadrer/d’animer des cours collectifs et de coacher sur un plateau de musculation/en extérieur, etc. En somme, il s’agit d’une petite parenthèse « sportive » de 11 mois, et dont vous pouvez découvrir les détails ici !

Photos: Mtoncoach.

Photos prises dans la salle de Cross Training de Re-corps. 😉

Je porte: Brassière Hero Strength 2.0 Reebok – Collant de Training Running Bare – Chaussures de Training Nike Lunar Sculpt.

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30/11/2015

J-1 avant décembre et ses festivités… Cette année, j’ai envie de remonter le temps, chasser les secondes, recycler les minutes, et revivre ces dernières semaines. Je coure après ce temps que j’ai n’ai manifestement plus… J’ai l’impression d’engloutir une tonne de connaissances, sans avoir le temps de les digérer. J’ai l’impression d’être submergée par le travail et les échéances. Mon corps est fatigué; Il tiraille de partout, et se rebelle dès que je lui en demande un peu trop. D’ailleurs, j’ai considérablement augmenté mes heures de sommeil. Je dors tous les après-midis (lorsque je le peux) avant de retourner travailler en club. Je me colle des patchs chauffants et décontractants un peu partout, pour soulager les douleurs musculaires/articulaires. Je me supplémente en vitamines D, etc. Je mange plus… Bref, l’hiver est bel est bien là !

N’allez pas croire que je suis démotivée ou que je regrette déjà de m’être engagée dans cette formation*! 😀 Je suis juste fatiguée et stressée. J’ai peur de ne pas réussir, lorsque je vois tout le chemin qu’il me reste à parcourir. En même temps, je me rends compte qu’il ne me reste plus beaucoup de temps pour apprendre et m’améliorer. Je me sens de plus en plus à l’aise lorsque je donne des cours, mais ce n’est pas parfait; Je n’ai toujours pas complètement la musique, et j’oublie encore de donner certaines informations essentielles. Pour moi, ces « posturaux obligatoires » (consignes pour bien réaliser un mouvement) me semblent logiques…, mais je me rends bien compte que la plupart des personnes qui suivent mon cours n’y pensent pas/ne savent pas.
Le Fitness n’a plus le même « goût » une fois que l’on est passé de l’autre côté; Il est moins fun… C’est la satisfaction des adhérents/clients, un sourire, un retour positif, qui le rend beau et fun. Alors, je stresse avant chaque cours ! Sera-t-il à la hauteur ? Est-ce que nous prendrons du plaisir à faire du sport ensemble ?

Je pense que vous commencez à vous rendre compte -et je l’espère- que, devenir coach sportif n’est pas aussi facile que ce que l’on s’imagine. Il faut être bon partout, être fort physiquement et psychologiquement, et se remettre en question tout le temps. Et puis, le corps parfois, décide qu’il n’a pas envie ou qu’il ne peut plus suivre…

Il y a deux semaines, je suis tombée malade…au moment même où je devais passer des épreuves physiques et théoriques ! Le mercredi matin, je commençais par mon épreuve de musculation. J’avais choisi l' »endurance de force », avec 50 répétitions à effectuer en développé couché et en squat. Pour moi, il s’agissait d’une simple « formalité », puisque j’y arrivais dès le début de l’année. Quelques jours avant, j’ai vérifié que je les « passais » encore…
Le matin de mes tests, je me suis levée avec cette sensation d’avoir veillé et bu toute la nuit. J’avais « les muscles en coton », j’étais super fatiguée et stressée. J’ai réussi à réaliser mes 50 reps. en squat, mais pas en développé couché ! Sur ce dernier mouvement, j’ai bloqué à 41 ! Vous n’imaginez pas à quel point j’étais étonnée, déçue et triste de ce résultat. Je ne comprenais pas pourquoi je ne sentais plus rien… 🙁 Je suis rentrée chez moi, les larmes aux yeux, et le lendemain je ne pouvais plus respirer ni parler. J’étais malade, et mon corps avait essayé de me le faire comprendre la veille. Autant vous dire que mes examens n’ont pas été un franc succès. Cependant, je me félicite d’y être allée, malgré la fièvre et la fatigue !

La morale ? Elle rejoint mon article sur la récupération « Combien de temps faut-il aux muscles pour récupérer ?« . Parfois, il faut savoir écouter les signaux envoyés par son corps ! Le corps est notre ami, notre allié, notre arme dans la performance, la clé de notre bien-être. Apprenons à le comprendre, et à le respecter ! Pour ma part, mon plus grand défi cette année, sera de demander à mon corps d’aller peut-être au-delà de ses capacités ou de ce qu’il a envie de faire sur le moment. Il aura des moments de faiblesses comme il y a deux semaines, mais je sais qu’il ne me lâchera pas !

Cet article peut vous paraître un peu décousu, mais je voulais simplement vous faire part de mes échecs, mes doutes, etc., pour vous montrer qu’il est tout à fait normal de ressentir des moments de faiblesse à l’arrivée de l’hiverEt puis, c’est aussi pour vous dire qu’il ne faut pas abandonner ! Ne lâchez rien ! <3 😉

Je vous embrasse très fort mes beautés, et je vous donne rendez-vous dans deux semaines, pour un nouveau volet de Mon Training Diary ! ♥

xx. ◊ Christelle

*Piqûre de rappel pour ceux/celles qui nous rejoignent… 😉 Cette année, j’ai décidé de reprendre mes études, et de suivre une formation de 11 mois (BPJEPS AGFF = brevêt Professionnel des activités gymniques de la forme et de la force) pour devenir coach sportif. À la clé, un diplôme me permettant de dispenser/d’encadrer/d’animer des cours collectifs et de coacher sur un plateau de musculation/en extérieur, etc. En somme, il s’agit d’une petite parenthèse « sportive » de 11 mois, et dont vous pouvez découvrir les détails ici !

Photos: MTC.

Photos prises au « Miroir d’eau » lors de mon week-end bordelais ! 😉

Je porte: Sweat à Capuche de Training Nike Pro Hyperwarm LimitlessCollant de Training Nike ProChaussures de Training Nike Air Zoom Fit Agility 2.

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01/11/2015

Avant de commencer ma formation*, je ne pensais pas que l’enseignement et/ou l’apprentissage étaient aussi étroitement liés aux ÉMOTIONS. Je me rappelais vaguement avoir eu le béguin pour mon professeur d’Histoire-Géo., d’avoir détesté celui de Mathématiques, et d’avoir admiré ma prof. de Littérature… Mais je ne me doutais pas que ma relation à l’autre (ici au professeur) pouvait être aussi impactante sur la matière que j’allais aimer ou pas, et sur mes choix d’orientation ! J’ai opté pour un Bac Littéraire et un Master de Lettres Modernes, parce que « je me sentais plus Sartre qu’Einstein« . Je n’aimais et ne comprenais pas les Sciences… Ou plutôt, je pensais ne pas les aimer !

La semaine dernière, nous avons parlé des rapports humains dans un cours de Fitness. Parce que oui, le cours collectif -au même titre qu’un cours de Mathématiques- est un échange humain entre un coach/professeur et des adhérents/élèves ! En effet, le coach transmet son savoir, son énergie et un peu de lui lorsqu’il donne un cours, et l’adhérent répond/s’engage en fonction de ce qui lui a été donné. Mais il arrive parfois que le courant ne passe tout simplement pas !! Je suis sûre qu’il vous est déjà arrivé de ne pas aimer quelqu’un dès le premier regard…, n’est-ce pas ? Ou de vous dire que vous n’aviez pas eu de « feeling » ! Et bien dans un cours collectif, il arrive souvent d’être confronté(e) à ce genre de situation; Vous n’aimez pas la façon dont le coach s’exprime, les exercices qu’il propose, sa « manière » de faire les choses… C’est difficile à expliquer, mais vous ressentez à ce moment-là une émotion négative qui vous gène, et qui vous pèse. Du coup, vous n’allez plus à son cours, ou vous lui faites comprendre que ce dernier n’était pas à votre goût ! Tout ce que je viens de vous décrire, toutes ses émotions, influent sur votre façon d’appréhender le sport. Si le coach ne vous « parle » pas, il est certain que vous détesterez l’activité qu’il vous enseignera ! C’est un peu comme à l’école…

Bref, je dois vous avouer que la pilule a eu du mal a passer pour moi ! J’ai tellement envie d’apporter un peu de je-ne-sais-quoi à tous les adhérents qui franchissent le seuil de ma salle de cours ! Je n’arrivais pas à me dire qu’il était fort probable que certains n’aiment pas ma façon d’être… Et puis cette semaine, j’ai été confrontée à cette situation. Une dame a voulu partir du cours dès l’échauffement. J’ai essayé de la retenir, mais elle m’a répondu : « non, je n’aime pas ce genre de cours » ! Je ne comprenais pas… J’ai réussi à la retenir et à trouver la raison de son refus de communiquer. Cette dame avait un gros gros problème de coordination; Elle se sentait en échec face à des mouvements qu’elle n’arrivait pas à reproduire… J’ai donc décidé d’improviser une nouvelle trame de cours, mais les autres se sont ennuyés ! J’ai gagné la confiance d’une personne, et perdu celles de plusieurs autres. Qu’aurais-je dû faire ? Fallait-il la retenir à tous prix comme je l’ai fait ce jour-là ?

Si je devais re-vivre cet instant, je pense que je l’aurais laissée partir. Malheureusement, on ne peut pas plaire à tout le monde ! J’ai été submergée par mes émotions, et je les ai laissées me gouverner. J’avais vraiment envie de pleurer, j’avais peur d’échouer, de ne pas réussir à finir ce cours. J’ai transmis toutes ces émotions négatives aux autres personnes présentes à mon cours, et je n’ai pas réussi à remplir ma mission; Ma peur d’échouer m’a condamnée à l’échec. À la fin de ce cours de Power Sculpt*, je suis allée m’excuser auprès des personnes présentes. Entendre des phrases comme « je me suis vraiment ennuyé(e) », fait vraiment mal sur le moment. Mais cette expérience m’a permis de comprendre ce qu’avait essayé de nous dire Céline*: Un cours collectif est avant tout une histoire de rapports humains dans un temps donné. Vous devez apprendre à vous connaître et à contrôler vos émotions pour enseigner et vous adapter aux émotions des autres.

La morale ? En fait, il y en a deux. La première est, qu’on ne peut pas plaire à tout le monde. Et, être coach sportif, c’est aussi inhiber ses émotions pour écouter celles des autres ! Je pense qu’avec ça, il est possible de devenir un BON éducateur sportif, même si cela ne suffit pas ! Parfois, le courant ne passe vraiment pas… Et il faut s’y résoudre ! 😀 En revanche, je vous encourage vraiment à essayer des méthodes d’apprentissages différentes; Parfois on croit ne pas aimer quelque chose (un cours, etc.) alors qu’il s’agit simplement de quelqu’un (une pédagogie, etc.).

Je vous embrasse très fort mes beautés, et je vous donne rendez-vous dans deux semaines, pour un nouveau volet de Mon Training Diary ! ♥

xx. ◊ Christelle

*Piqûre de rappel pour ceux/celles qui nous rejoignent… 😉 Cette année, j’ai décidé de reprendre mes études, et de suivre une formation de 11 mois (BPJEPS AGFF = brevêt Professionnel des activités gymniques de la forme et de la force) pour devenir coach sportif. À la clé, un diplôme me permettant de dispenser/d’encadrer/d’animer des cours collectifs et de coacher sur un plateau de musculation/en extérieur, etc. En somme, il s’agit d’une petite parenthèse « sportive » de 11 mois, et dont vous pouvez découvrir les détails ici !
* Cours de renforcement musculaire plutôt cardio.
* Directrice de l’IMF (mon école deformation).

Photos: MTC

Je porte: Brassière Nike Pro Classic –  Top Elastika Solid Nike (P/É15) – Collant Gris Casall – Chaussures de Running ZPump Fusion Reebok.

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18/10/2015

Ma formation* bat son plein. Aujourd’hui, la rentrée me semble si loin ! J’ai l’impression de courir après le temps que je n’ai plus, et que je n’aurai définitivement pas. Les jours s’envolent, l’hiver approche, les examens aussi, les devoirs s’accumulent, la routine s’installe… Le passage de l’été indien à l’automne est assez difficile à gérer. C’est le moment où le corps doit faire face et s’adapter à de nombreux changements; Il est plus fragile, moins réceptif, moins résistant à l’effort. J’ai pu m’en rendre compte lors des 10KM Paris Centre (cf mon article Les 10KM Paris Centre 2015)… Après une semaine bien remplie -et surtout très sportive-, je n’arrivais plus à mobiliser mon corps/ce qu’il me restait d’énergie ! Bref, depuis 2 semaines, le rythme de la formation s’intensifie.

Le matin, je suis toujours à l’école… Pour 4 heures de théorie (physiologie, méthodologie de l’entraînement, anatomie, etc.), ou de pratique (renforcement musculaire, stretching, musculation, etc.). J’aime beaucoup cette façon de penser l’enseignement. Chaque semaine, je vois un petit bout de quelque chose qui ne me dit rien au début, et ce « petit bout » imbriqué aux autres savoirs/matières, devient logique. Cela me pousse à me poser les bonnes questions, à éveiller ma curiosité, etc. Et puis, je me rends bien compte désormais, que tout est relié. Établir un programme d’entraînement, c’est connaître le rôle, mais aussi le fonctionnement et l’organisation mécanique du corps lors de l’effort (l’adaptation du corps à l’exercice). En revanche, je dois passer énormément de temps à revoir mes cours, et à réviser en « live » (répéter un cours que je vais donner par exemple). Mais le jeu en vaut la chandelle ! Le corps est une machine parfaitement imparfaite, tellement passionnante ! C’est un vrai plaisir d’apprendre à se comprendre; Parce qu’en perçant les secrets de mon corps, je comprends mieux ce qu’il veut me dire parfois (coup de mou, blessure, etc.).

L’après-midi, je rejoins ma salle de sport, pour donner des cours et -toujours- mettre en pratique le savoir qui m’a été transmis le matin. Lorsque je franchis le seuil de mon club, j’ai l’impression de rentrer sur scène ! Je mets de côté ma fatigue, mes problèmes, mes besoins, pour prendre soin des mes adhérents « chéris ». C’est tellement gratifiant d’apporter du bien-être aux autres, et de lire l’euphorie/le plaisir/la joie sur les visages à la fin d’un cours ! Je suis fan de ce métier ! C’est vrai quoi… C’est l’un des seuls métiers, dont le but est d’apporter de la motivation, du bien-être, de l’énergie. La salle de sport, c’est une « parenthèse positive » où l’on apprend à s’aimer et à prendre soin de soi. Et je suis vraiment fière de pouvoir aider les autres à se sentir bien !

En revanche, le chemin est long pour apprendre à « faire apprendre » ! Il faut passer par des étapes plus ou moins difficiles, échouer -à de nombreuses reprises-, recommencer, et savoir accepter les critiques, pour recommencer et s’améliorer. Je me rappellerai toujours de mon premiers cours ! Il s’agissait d’un cycling (= cours de vélo en salle)… J’étais tellement stressée, que je n’arrivais pas placer mon micro. D’ailleurs, je n’ai pas réussi à allumer la sono ! 😀 J’ai dû appeler ma responsable pour qu’elle me montre, et je sentais tous ces regards tournés vers moi. « Elle est nouvelle, et ça se voit ! », « On vient de perdre 5 minutes de cours », etc. J‘avais peur de ne pas être à la hauteur, d’être essoufflée, de les décevoir, de ne pas arriver à tenir l’effort tout en parlant. Et puis, je m’en suis remise à mes points forts. J’ai enchaîné les blagues (j’adore les jeux de mots et autres), j’ai ri toute seule, j’ai « imposé mon style » comme disent certains. Une fois le cours fini, j’étais à la fois apeurée et fière de mon travail; J’avais bossé sur la playlist et les chorégraphies pendant des heures (D’ailleurs, n’hésitez pas à me dire si vous voulez que je publie mes playlists « cycling » !). En rentrant chez moi, l’adrénaline est redescendue; j’avais mal partout et j’étais éreintée… 😀 Aujourd’hui, je commence à avoir mes « habitués ». Ils savent que mon cours est très très très 😀 cardio, et il viennent se dépasser en pédalant avec moi.

La morale ? En fait, il y en a deux. La première est, qu’être coach sportif, c’est faire passer les autres avant soi. Aujourd’hui, je suis plus heureuse de voir mes adhérents réussir un handstand, que lorsque je bats l’un des mes records personnels ! Et, être coach sportif, c’est aussi se remettre en question chaque jour ! Je pense qu’avec ces deux qualités, il est possible de devenir un BON éductateur sportif, même si cela ne suffit pas !

Je vous embrasse très fort mes beautés, et je vous donne rendez-vous dans deux semaines, pour un nouveau volet de Mon Training Diary ! ♥

xx. ◊ Christelle

*Piqûre de rappel pour ceux/celles qui nous rejoignent… 😉 Cette année, j’ai décidé de reprendre mes études, et de suivre une formation de 11 mois (BPJEPS AGFF = brevêt Professionnel des activités gymniques de la forme et de la force) pour devenir coach sportif. À la clé, un diplôme me permettant de dispenser/d’encadrer/d’animer des cours collectifs et de coacher sur un plateau de musculation/en extérieur, etc. En somme, il s’agit d’une petite parenthèse « sportive » de 11 mois, et dont vous pouvez découvrir les détails ici !

Je porte: Sweat à Capuche BodyTalkMaillot de Running Dri-Fit Cool Breeze Nike – Collant Casall SculptureChaussures de Training Free TR Breathe Nike.

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Mon Parcours + Comment devenir Animateur Sportif en France ?

16/09/2015

Vous avez été nombreux(ses) à me demander un article explicatif, résumant mon parcours professionnel, et les étapes pour devenir coach sportif en France. Je m’excuse d’avance pour la forme « didactique » et peut-être trop scolaire de ce billet, mais j’avais vraiment envie de formuler des propos clairs pour tous/toutes ! Je vous laisse avec un gros pavé indigeste… Hihi ! 😀

Mon parcours professionnel

Après un Bac Littéraire -obtenu en Nouvelle-Calédonie (mon pays de naissance ♥)-, je suis venue m’installer à Paris. J’ai commencé par une licence d’Histoire, puis un master de Lettres Modernes Appliquées. Pendant ces 4 ans, j’ai appris à manier les Sciences du Langage, et j’ai « touché du doigt » ce qui allait devenir une véritable passion: le journalisme. À la fin de mon cursus universitaire, j’ai décidé d’intégrer une école de journalisme pour apprendre les « rudiments » du métier, et me spécialiser dans l’audiovisuel; Je voulais devenir Journaliste -d’investigation- Reporter d’Images. Et puis, c’est avec mon diplôme de journaliste en main, que je me suis lancée sur le marché du travail; Un marché « saturé » et difficile d’accès ! J’ai enchaîné les stages et contrats (piges) mal payés ou inhumains (travailler 7j/7 et 24h/24, et je ne blague pas !), j’ai accepté de mettre ma vie personnelle et ma santé entre parenthèses pour le compte de personnes malhonnêtes, je me suis faite voler des enquêtes qui étaient le fruit de plusieurs mois d’investigation, etc. Bref, j’ai découvert ce que le terme « violence psychologique » (et même physique) voulait dire ! En parallèle, j’ai ouvert Le Canard Ivre: mon exutoire, ma bouffée d’air du quotidien ! J’ai continué de travailler tout en développant ce blog qui me tient tant à coeur (mon bébé ! ♥)… Et un jour, il m’a paru tout naturel de penser à une reconversion professionnelle dans le milieu de sport et du bien-être.

Qu’est-ce qui m’a donné envie de devenir coach sportif ?

Je tiens tout d’abord à clarifier un pont essentiel: j’ai toujours été sportive ! J’insiste vraiment sur ce point, parce qu’il m’arrive souvent de voir des phrases du type: « Un jour elle a décidé de se mettre au sport ». Certes, j’ai eu un déclic à l’adolescence (l’envie d’avoir de bons résultats au bac 😉 ), mais mes parents m’ont toujours encouragée et même poussée à pratiquer une activité physique régulière (danse, natation, yoga, full contact karaté, etc.). Du coup, j’ai « découvert » le sport dans le sens de  » j’ai appris à aimer » le sport, vers l’âge de 16 ans. Je peux donc légitimement dire que j’ai toujours été sportive. Pour ce qui est de mon rapport au Fitness, je suis inscrite en salle de sport depuis mes 17 ans (en Nouvelle-Calédonie). À l’époque, j’essayais de ne pas trop l’ébruiter; Le Fitness n’avait pas le succès qu’on lui connaît aujourd’hui. Toujours est-il que je suis tombée sous le charme de ce concept de remise en forme. J’ai pu essayer les premières chorégraphies Body Pump™, Body Attack™ (pour ceux qui sont fans ! 😉 ) Les Mills, je me suis intéressée à la musculation… 10 ans après, j’étais toujours abonnée à une salle de sport, et j’étais toujours aussi fan de cette ambiance Fitness!

Je pense que ces petites explications vous ont permis de faire le lien, n’est-ce pas ? Oui, j’étais malheureuse d’exercer un métier où le bien-être, le partage et l’authenticité n’ont pas/plus leur place. J’avais envie de transmettre le bonheur/l’énergie qu’on a pu me donner lorsque j’allais à la salle. Bref, l’envie d’être animateur sportif ne m’est pas apparue du jour au lendemain. J’y ai songé pendant mes études, j’y ai repensé après, et puis, l’envie a été plus forte que tout ! Aujourd’hui, à 28 ans, je reprends le chemin de l’école pour apprendre un métier dont le but est d’apprendre à s’aimer ! Et cela n’a pas de prix !

Comment devenir coach sportif ?

Cette partie est la plus délicate de toutes, et sûrement celle qui vous intéresse le plus. La législation française encadre fortement -et fort HEUREUSEMENT- le métier de coach sportif. Comme je l’avais dit dans mes précédents articles (cf My Training Diary #2), ON NE S’IMPROVISE PAS ÉDUCATEUR SPORTIF ! Ce métier nécessite des compétences en anatomie, physiologie, pédagogie, etc. Et je peux vous assurer que même lorsque l’on est passionné, le parcours est compliqué et semé d’embûches !
En France, pour devenir animateur sportif, il FAUT absolument être en possession d’un diplôme d’État ! D’ailleurs, si vous faites appel à un coach sportif à l’extérieur d’une structure, je vous conseille fortement de lui demander de vous présenter sa carte professionnelle. Cette dernière vous assure d’avoir à faire à un professionnel du métier ! Malheureusement, le métier de coach sportif souffre trop souvent d’abus (personnes qui s’improvisent coachs sans diplôme, ou avec des formations assez sommaires). Il faut dire que le terme de « coach » y est pour beaucoup… Je vous laisse lire cet article très bien conçu, pour que vous compreniez bien les différences qu’il peut y avoir entre les appellations « coach sportif » et « animateur sportif ».

Il existe plusieurs formations « légales » (donc, reconnues par l’État français) pour exercer le métier de coach sportif. Mais avant d’en choisir une, il faut vraiment avoir une idée précise de votre projet professionnel. En somme, il faut vous posez les bonnes questions dès le début: entraîneur sportif, animateur, ou plutôt professeur de fitness ? Pour vous donner une idée, je vous renvoie vers le site du Pôle Emploi. Vous y trouverez toutes informations dont vous avez besoin.

Le BPJEPS spécialité Activités Gymniques, de la Forme et de la Force*

De mon côté, j’ai opté pour le BPJEPS AGFF (Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Éducation Populaire et du Sport) spécialité Activités Gymniques, de la Forme et de la Force, mention C (cours collectifs) et D (musculation)**. À mon avis, il s’agit du diplôme indispensable pour exercer le métier d’animateur, de moniteur, et d’éducateur sportif. Il donne la possibilité de travailler dans des lieux très variés, tels que les associations, les clubs sportifs, les entreprises, ou encore les collectivités territoriales.

Comment obtenir ce diplôme ? Par la voie d’une formation professionnelle avec un stage en structure d’alternance. Ce dernier, permet de proposer des situations de travail développant les compétences attendues d’un animateur, d’un éducateur sportif selon le domaine d’intervention choisi. Pour accéder à l’une de ces formations, il faut:

Être titulaire du PSC1: Diplôme de Prévention et Sécurité civile 1
Satisfaire aux exigences préalables TEP. En effet, avant toute inscription pour une formation BPJEPS AGFF en France, vous devez avoir passé et réussi les (tests d’exigence préalable) en mention C (cours collectifs) et/ou D (musculation). En Ile de France, le seul centre habilité à vous les faire passer est le CREPS d’Ile de France : http://www.creps-idf.fr/Formation/InscriptionsTEPAGFF.aspx. Si vous envisagez cette formation, je vous conseille de vous inscrire dès maintenant !!!! Les places sont chères, et les tests assez difficiles. Et il n’est pas rare de devoir les repasser !
Fournir 1 certificat médical de non contre indication à la pratique sportive datant de moins de 3 mois à la date des TEP.

Une fois que toutes ces étapes ont été validées, il faut trouver un organisme de formation: je vous laisse trouver la formation qui vous correspond, parmi la liste des organismes de formation BPJEPS AGFF par spécialité proposée.
Lorsque votre choix est fait, il vous faut encore trouver un mode de financement. Il peut être personnel, ou tous frais payés, par le biais d’un contrat de professionnalisation, ou si vous êtes demandeurs d’emploi, etc. Ici encore, je vous laisse faire vos propres recherches. Mais sachez que c’est vraiment la partie la plus délicate à régler. Encore une fois, il faut s’y prendre tôt (dès janvier 2016) !

Enfin, arrive l’étape décisive: les tests de sélection de l’école/des écoles que vous avez choisie(s). Il est préférable de se présenter à plusieurs organismes, pour être sûr(e) d’avoir le choix !
Pour ma part, j’ai choisi lIMF (l’Institut des Métiers de la Forme). Cette école privée, faisant partie du Groupe CMG Sports Club, m’a été fortement recommandée par tous les coachs sportifs que j’ai pu rencontrer. De plus, elle dispose de la certification Europe Active reconnue dans les 28 pays de l’Union Européenne. Après un mois de cours, je ne regrette pas du tout ce choix !
Les tests sont composés d’épreuves physiques et écrites et dépendent de chaque école. Pour ce qui est de l’IMF, je vous laisse regarder le barème des épreuves ! Comme vous pouvez le voir, le exigences sont assez élevées. Personnellement, je trouve que c’est une bonne chose. On ne peut tout de même pas envisager une telle formation sans s’être entraîné un minimum auparavant ! Là aussi, je vous conseille vraiment de vous y prendre tôt, en vous entraînant régulièrement !

___________________________________

Voilà j’espère que cet article vous a aidé/vous aidera dans vos futures démarches !

Des bisous. ◊ Christelle

* Le BPJEPS AGFF est en pleine mutation, et va être réformer l’année prochaine. En ce sens, je ne peux que vous conseiller de vous tenir informé(e) des modifications et autres changement au cours de l’année.
** En réalité, la mention C et la mention D sont deux diplômes bien distincts. Il est tout à fait possible de valider le premier, et pas le second. Néanmoins, je vous conseille fortement d’essayer de vous présenter aux deux mentions: l’une vous permettra de donner des cours collectif, et l’autre de coacher sur plateau de musculation ou individuellement. Ils sont donc complémentaires !

Photos: MTC.

Je porte: Brassière Reebok (P/É 15) – Débardeur de Training Nike Dri-FIT Loose – Corsaire de Training Nike ProChaussures de Running Nike Free 5.0.

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Mon Training Diary #2

02/09/2015

Il y a deux semaines, je vous annonçais ma rentrée pédagogique*, après 15 jours d’observation en structure d’accueil (un CMG Sports Club pour moi !). Vous vous souvenez ? J’étais toute excitée, et -surtout- stressée de découvrir ce qui m’attendais…

Lundi matin; C’est Céline, la directrice de l’école qui nous a accueilli: « Bonjour ! Vous n’êtes-pas en tenue de sport ??? » Ah, il fallait directement venir en tenue ! Nous n’avions pas été prévenus, et avions tous fait un effort vestimentaire pour cette rentrée; Dommage. C’est à ce moment là que j’ai compris que ma vie ne serait que gymwear pendant un an… 😀 Après un tour de table pour faire connaissance, Céline nous a parlé d’un examen qu’il nous faudrait valider pour commencer l’année. Au fond de moi, je me disais: « ENCORE ! Après les TEP (Tests d’Exigences Préalables du BPJEPS AGFF des mentions C « Forme en cours collectif » et D « Haltères, musculation et Forme sur plateau »), et les différents tests -écrits et physiques- de sélection des écoles, les dossiers et contrats à remplir, signer, et les multiples réunions de rentrée, ils veulent encore nous tester ! » Sauf que cette fois-ci, nous avons été notés sur notre capacité à prendre en charge et conseiller un pratiquant en cours collectif et sur un plateau de musculation; Nous avons découvert le métier d’éducateur sportif !

Cette première quinzaine de cours a été consacrée à la préparation des EPMSP: les Exigences Minimales Préalables à la Mise en Situation Pédagogique. Ce dernier test, et tout premier d’une longue série 🙂 , permet d’obtenir l’autorisation d’exercer le métier de coach -le temps de valider son diplôme- pendant 1 an ! Autrement dit, il est indispensable pour continuer la formation ! Grâce à ce « Graal », les coachs stagiaires peuvent faire une demande de carte professionnelle provisoire auprès de la DRJSCS (Direction Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale), et exercer légalement contre rémunération.

Alors, comment ont-été organisées ces deux semaines de tests ? Nous avions cours tous les matins. Le premier lundi, nous avons suivi et décortiqué un cours d’abdos-fessiers, puis nous avons donné ce même cours à nos camarades-cobayes. Le mardi, nous avons travaillé sur la musique fitness à l’aide d’une trame de renforcement musculaire; Comment compter les blocs musicaux (= tempo), quand, comment et où parler ? Cette étape a été particulièrement difficile pour moi… Après 10 ans de fitness, je me suis rendue compte que je m’en remettais souvent, si ce n’est tout le temps, aux indications données par le prof. C’est vrai ! La musique est entraînante et les mouvements se combinent si facilement dessus. Ça paraît logique, tellement naturel que l’on oublie parfois tout le travail qu’il y a derrière. Si vous n’êtes pas convaincu(e)s, je vous encourage à faire l’essai; Essayez-de faire des squats ou autre mouvements sur la musique en 2 temps, puis en single, ou même en 4 temps, etc… Le mercredi, nous avons découvert le plateau de musculation et toutes ses « machines de torture » ! Nous avons appris à utiliser ces appareils de musculation, à les régler et à citer tous les muscles engagés. En gros, il m’a fallu faire le deuil de l’anatomie « vulgarisée » et simplifiée. Ainsi, les « lombaires » sont devenues les spinaux profonds et les « épaules », les deltoïdes, etc.

Pendant la semaine qui a suivi, nous avons travaillé sur nos trames de cours, appris les muscles et les faisceaux qui les composent par ♥, répété les mêmes mouvements des centaines de fois, devant nos camarades, devant les profs… Nous nous sommes préparés à donner notre premier cours collectif (AF, renforcement musculaire, musculaire, stretching tirés au sort), et notre premier coaching en plateau de musculation (appareil de musculation tiré au sort) ! Je suis tombée sur le cours de stretching, et la chaise romaine; Le sort a été plutôt clément avec moi ! 😀 Ces journées ont été très stressantes et épuisantes. Il a fallu tenir les passages de tous les élèves, apprendre tout un tas de termes nouveaux en très peu de temps, et continuer à travailler en club les après-midis.

La morale ?  Un bon pratiquant ne fait pas un BON coach. Pratiquer et aimer le Fitness ne suffit pas pour l’enseigner correctement, et même l’enseigner tout court ! Il est vraiment difficile -du moins au début- de penser à tout: la musique, les consignes de sécurité, les astuces, les placements… Toutes ces prérogatives au métier de coach sportif ne sont pas innées. Il faut apprendre, répéter sans cesse, être à l’écoute de tout le monde au même moment, tout en effectuant les mouvements avec précision et justesse. Certains disent qu’il faut être une femme pour être un bon coach (= faire plusieurs choses en même temps). Mois, je pense plutôt qu’il faut être un sportif studieux généreux et passionné ! 😉

Je vous embrasse très fort mes beautés, et je vous donne rendez-vous dans deux semaines, pour un nouveau volet de Mon Training Diary ! ♥

Je profite de cet article pour vous remercier une nouvelle fois de votre soutien et de vos encouragements au quotidien ! #LOVEYOU

xx. ◊ Christelle

*Piqûre de rappel pour ceux/celles qui nous rejoignent… 😉 Cette année, j’ai décidé de reprendre mes études, et de suivre une formation de 11 mois (BPJEPS AGFF = brevêt Professionnel des activités gymniques de la forme et de la force) pour devenir coach sportif. À la clé, un diplôme me permettant de dispenser/d’encadrer/d’animer des cours collectifs et de coacher sur un plateau de musculation/en extérieur, etc. En somme, il s’agit d’une petite parenthèse « sportive » de 11 mois, et dont vous pouvez découvrir les détails ici !

Photos: MTC.

Je porte: Brassière Hero Power 2.0 ReebokDébardeur de Running Dri-Fit Cool Strappy NikePantalon de Training Nike Legend 2.0 Mega Liquid TightChaussures de Training Flyknit Zoom Agility Nike.

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