Youpi, nous sommes vendredi!! Ce vendredi marque, non seulement, la fin d’une folle semaine, mais aussi la fin d’un mois de mai plutôt chargé!
Je suis heureuse que tout cela se termine enfin!
Aujourd’hui je vous propose un petit récap. de ce que je n’ai pas aimé en mai… Et j’y ajoute une ou deux choses d’avril (je n’avais pas assez de matière pour rédiger un billet « Je n’ai pas aimé… » en avril).
Alors, c’est en toute subjectivité, que je vous livre mes 4 coups de gueule des mois d’avril-mai!
J’attends, bien entendu vos retours et/ou réclamations!
Bon week-end les petits Chats!
xx. Ceedjay.
4. Le brunch « no glu » d’Helmut Newcake
Il y a quelques temps de cela, je me suis fixée l’objectif de mieux manger -mais ça, vous le savez déjà-. « Mieux manger » (pour moi), c’est surtout adapter mes envies d’en-cas sucrés à mon style de vie (le sport, le sport!!). Car, le sucre est bien évidemment l’ennemi du corps… Alors j’essaie de trouver des substituts plus ou moins naturels, et meilleurs pour la santé! Et puis, j’ai décidé de freiner un peu ma consommation « délibérée » de gluten (protéine de blé sucrée)… Et je dois dire que je me sens beaucoup mieux depuis!
C’est un peu pour cette raison que j’ai voulu essayer le brunch d’Helmut Newcake. L’idée de pâtisseries sans blé, meilleures que des « vraies », me faisait plutôt saliver… Et puis, je me suis rendue compte, à quel point il était difficile de remplacer cette protéine de blé! Tellement difficile, qu’il faut presque le double de sucre pour compenser!
Pour tout vous dire, j’ai été déçue de constater les limites de ce concept « sans gluten ». Le brunch était assez léger pour le prix, les pancakes raplaplas, les toasts secs, le café amer… En revanche les pains et le dessert (fondant coco et sa boule de glace choco) étaient succulents. Quoiqu’un peu sucrés! Oui, il y a toujours ce sucre… Il y a aussi ces confitures Bonne Maman qui ne sont que sucre (on s’en serait bien passé)! À croire que les allergiques au gluten sont destinés à devenir les diabétiques de demain!
3. Maha’Café; Pas si mal…
Lorsque je suis passée devant le Maha’ Café -« Grand Café » en hindi-, je n’ai pas pu m’empêcher de pousser la porte de ce petit salon de thé indien. Quelle fabuleuse idée! S’accorder une petite pause gourmande et épicée, dans un mini Taj Mahal coloré!
Une banquette moelleuse par là, des tables aux tons pastel ici, des sièges-trônes, et des dizaines de petits coussins… L’endroit est splendide; Une vraie maison de poupées! Et puis, il y a tous ces sirops, qui forment un arc-en-ciel le long du bar… Et ces lanternes en papier, qui semblent tomber du ciel!
Malgré le concept, le « bon goût » évident, le sourire du jeune serveur, et les prix très abordables, je ne suis pas convaincue… Je n’arrive pas à me détendre. Le petit biscuit que j’ai pris est trop sec, et le milk-shake kulfi (crème glacée indienne à base de lait, parfumé à la pistaches, à la mangue, à la cardamome ou d’autres fruits et épices) est vraiment trop sucré! Un peu écoeurant…
Il s’agit là, d’un avis complètement personnel, et donc subjectif… Mais voilà! La magie du Lassi Bar n’a pas opérée (sur moi)!
2. Adilette; Les sandales très laides!
La mode a « ses raisons, que la raison n’explique pas »! C’est ce que je me suis dit, lorsque j’ai vu les sandalettes Adilette.
Et puis, j’ai essayé de comprendre… Mais pourquoi avoir envie de porter ces sandales (si on peut appeler ça des sandales)?
Pour leur confort? Parce que le sportswear est à la mode? Pour l’amour de la natation? … Et surtout, pourquoi avoir envie de les porter en ville? Je croyais qu’elles étaient réservées aux sorties de bain, aux « beaufs », et aux Maîtres-Nageurs? Je ne comprends plus rien… Bon, disons plutôt que ce coup-ci, je n’ai pas envie de comprendre!
1. Foodistas; Les Satanas de la Food
Tout a commencé par la lecture du magazine Stylist (n°49 daté du 22 mai 2014). Je suis tombée sur un article intitulé « Quoi t’as pas encore goûté ça? »; Une phrase qui me semblait familière!
Il faut dire qu’à Paris, la course aux « bonnes adresses » fait de plus en plus rage. Il faut tester, goûter, sortir dans le DERNIER resto à la mode, et pas l’avant-dernier! Il faut prendre en photo son repas, le partager sur Instagram, réserver sa table un mois à l’avance, trinquer avec le cuisinier, manger des frites « version chic »… Les codes du resto sont désormais régis par une armée de foodistas, qu’il conviendrait mieux d’appeler « Satanas »*.
Et là, je me suis posée LA question: Est-ce que je suis l’une de ces foodistas? OMG, la réponse est en partie vraie! Oui, je fais partie de cette bande de filles, « prêtes à tout pour parler d’une adresse la première« ! Quitte à ne plus être objective? Certainement pas!
La lecture de cet article m’a permis de comprendre qu’un restaurant ne devrait pas être un produit de consommation que l’on jette et délaisse à l’ouverture du prochain. Je compte bien quitter le « club des foodistas » pour ne parler que de lieux que j’aime vraiment, qu’ils soient anciens ou nouveaux! J’ai commencé par enlever quelques adresses de mon petit guide de Paris! Et je dois dire, que je suis fière de moi!
* Dans Les Fous du volant (dessin animé)