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Les 20km Genève Aéroport 2017

03/11/2017

Le week-end dernier, j’ai eu la chance de participer à la première édition des 20km de Genève by Genève Aéroport ! Lorsqu’on m’a demandé si je voulais participer à cette course, j’ai dit OUI sans hésiter, car j’avais vraiment envie de découvrir Genève de cette façon : en faisant du sport !
En revanche, j’ai préféré opter pour la course en duo, car j’ai beaucoup couru « de manière officielle » ces derniers temps, et cela faisait beaucoup trop*. D’ailleurs, je trouve cela vraiment cool ce « format duo » : il permet à chacun de trouver son bonheur !

Nous sommes arrivés le vendredi à Genève. Après une bonne nuit de sommeil, nous sommes partis pour un petit run touristique-papotage le long du Lac Léman. Le ciel était d’un bleu !
Puis, nous avons déjeuné au soleil à la buvette des Bains de Pâquis. Après cette pause gourmande bien méritée, nous avons rejoint l’aéroport (à 5 minutes en partant de la gare de Genève Cornavin) pour récupérer nos dossards. J’ai adoré le village de la course en plein aéroport. C’était comme si on partait en voyage ! 🙂
Enfin, nous avons participé à un cours de yoga assez doux -toujours dans l’aéroport-, pour nous libérer de nos tensions avant le Jour J.

J’ai vraiment adoré l’ambiance et l’organisation de cette course ! Je vous la conseille vivement pour un week-end sportif à deux ou entre amis. C’est une belle expérience !

Je vous laisse découvrir mon compte-rendu des 20km de Genève by Genève aéroport plus bas. J’espère qu’il vous plaira !

A très vite, Christelle ♥


*En tant que coach, je pense qu’il est aussi de mon devoir de montrer l’exemple. Courir de « manière officielle » des courses de longue distance chaque semaine n’est pas « sain ». Le corps a besoin de se reposer, au risque de se blesser. Et puis, vous le savez autant que moi, lorsque le départ est donné personne n’arrive à se raisonner en respectant une allure « régénération » ou « footing ». J’ai préféré partager ma course avec Mehdi pour être sûre de courir « bien » et avec plaisir !

Photos : Mehdi Têtard et moi

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Les 20km de Genève by Genève Aéroport

 Départ
Le départ de la course était prévu à 9h30. Notre hôtel* étant à deux pas, nous avons pu prendre le temps de  petit-déjeuner et de nous préparer sans avoir à nous lever à l’aube. Au passage, merci le passage à l’heure d’hiver ! 😉
Vers 9h, Mehdi et moi avons retrouvé toute l’équipe dans le hall de l’hôtel pour rejoindre la ligne de départ sur le Quai du Mont-Blanc. Il faisait gris avec un temps sec et une température clémente : la météo propice aux belles performances ! J’avais enfilé mon équipement fétiche (Flipbelt, leggings ultra-léger, montre de running, etc.), et l’ambiance semblait au rendez-vous.
Mehdi -avec qui j’ai partagé cette course- s’échauffait doucement en musique. J’ai attendu que le coup d’envoi soit donné, pour filer à la Gare et prendre le train qui devait me conduire au point de relais à Genthod.

♥ La course
Pour être honnête avec vous, j’avais vraiment peur de râter mon relais ! Deux trains étaient prévus depuis la Gare de Cornavin (9h13 et 10h13) : le premier me faisait louper le départ de Mehdi et le deuxième était « juste juste ». Après avoir stressé pendant tout le trajet (compter 15 minutes), je suis arrivée in extremis dans mon SAS de départ. Mehdi me cherchait du regard, j’hurlais son nom tout en enclenchant ma montre. Après avoir parcouru 11,5km avec un joli dénivelé jusqu’à Genthod, il m’a transmis le témoin (= un dossard avec puce) et je suis partie pour les 8,5km restant.
Mon parcours a commencé par une descente le long des vignes et avec vue sur le lac Léman. Le soleil en a profité pour pointé le bout de son nez… Et puis les km se sont enchaînés le long de l’autoroute, pour finir au bord du fameux lac ! Il y a eu un ravitaillement pendant ma partie, très bien fourni, mais je ne me suis pas arrêtée ! J’ai couru avec le coeur et le sourire. Je voulais effectuer un beau chrono pour Mehdi. 🙂
D’ailleurs, il m’attendait à la ligne d’arrivée, atteinte en 1h36. Nous étions heureux d’avoir participé à une si belle course, et qui nous a permis de découvrir les charmes de la magnifique campagne genevoise et la gentillesse de ses riverains. 

Photos, brunch, départ
Après avoir fait les traditionnelles photos devant le jet d’eau, nous avons filé à l’hôtel pour prendre notre douche. La veille, j’avais repéré de jolies adresses « sans gluten » pour bruncher… Au final, nous avons bien marché 8km avant d’en trouver une ouverte ! 🙁 Il faut savoir que presque TOUT est fermé le dimanche à Genève. Nous avons petit-déjeuner chez Birdie Food & Coffee : j’ai pris un porridge pomme-miel et Mehdi une salade de lentilles.
Puis, nous avons rejoint tout le monde pour un dernier café à la gare. Le reste, vous vous en rappelez sûrement ! Notre TGV a heurté un sanglier. Nous avons dû prendre un TER pour Lyon où un autre TGV vous attendait. Puis, ce dernier a été contraint de s’arrêter à cause d’un accident grave voyageur. Nous sommes arrivés à Paris à 3h du matin, fatigués, morts de faim… Mais cela n’a pas entaché le souvenir de ce merveilleux jour en Suisse ! 🙂

*Nous avons logé à l’hôtel Novotel Genève Centre, situé à 800m de la Gare de Cornavin. Très pratique pour les déplacements professionnels, cet hôtel 4 étoiles est proche de tous les lieux de curiosités de la ville. Les chambres sont spacieuse, épurées et le petit déjeuner est assez copieux -avec un coin sans gluten-.
Hôtel Novotel Genève Centre, 19 rue de Zurich, 1201 Genève, Suisse – Tél : 0041 229 099 000.


Suite au succès de la première édition, les 20km de Genève by Genève Aéroport seront reconduits pour une deuxième année le dimanche 14 octobre 2018. Les informations et inscriptions seront disponibles prochainement sur le site de l’évènement. 😉

*Merci à toute l’équipe des 20km Genève Aéroport, et aux pétillantes Tania et Elodie pour ce merveilleux week-end ! 

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L’envie du jour ? Une ceinture de running FlipBelt

02/11/2017

Connaissez-vous FlipBelt ? La ceinture de running FlipBelt est l’alternative idéale aux brassards de course volumineux et aux sacs de course. Contrairement à toutes ces anciennes solutions, la FlipBelt est légère, ne rebondit pas et peut contenir TOUS vos objets indispensables.

Pourquoi j’aime la ceinture de running FlipBelt ?

→ La ceinture FlipBelt est conçue dans une matière stretch pour assurer un excellent maintien et un ajustement optimal à votre morphologie.

Proposée en 5 tailles (n’hésitez-pas à trouvez la vôtre ici), il est assez facile de trouver celle qui vous conviendra afin d’être portée bien près du corps et sans pour autant s’y sentir à l’étroit. Finis donc, les rebondissements à chaque fois que votre pied touche le sol ! 😉

→ Elle offre un rangement à 360° avec des accès multiples, soit 4 ouvertures de 6 cm. L’une d’elle dispose d’un mousqueton pour garder vos clefs en sécurité.

→ Les imprimés réfléchissants présents sur la totalité de la ceinture garantissent une parfaite visibilité à 360°.

→ Elle s’enfile comme un pantalon et peut se positionner sur ou sous les vêtements.

→ La ceinture FlipBelt est conçue à partir d’un tissu protégeant de l’humidité à séchage rapide et extra-doux (MicroPoly : 92 %, Lycra : 8 %). D’ailleurs, elle est lavage en machine (séchage au sèche-linge à vitesse minimale ou à l’air libre).

Depuis que j’ai commencé la course à pied, je suis toujours à la recherche de solutions pour courir avec confort, c’est-à-dire léger tout en emportant les choses indispensables avec moi (clés, carte bleue, portable, etc.). J’ai essayé les brassards de running, mais ils me coupent systématiquement la circulation sanguine. 🙁 J’ai testé certaines ceintures de running ou de trail, mais souvent elles ne tiennent pas, s’agitent de droite à gauche, et c’est franchement désagréable.
Du coup, j’étais curieuse et un peu sceptique lorsqu’on m’a parlé de la FlipBelt. Et puis, je l’ai essayé lors de mes sorties dans Paris, lors de mes séances de fractionné, lors de compétitions officielles (10k et semi-marathon)… J’ai réussi à y glisser mon i-Phone, des barres énergétiques, mes clés, une carte bancaire et même un petit bidon d’hydratation de 32cl. Une fois en place, tout ces éléments ne bougent pas. La ceinture tient bien et se fait d’ailleurs très vite oublier (on se sent juste gainé(e)). Légère, pratique, discrète (enfin du moins au ressenti) elle s’avère être un compagnon idéal pour de petites sorties running. Celle que je porte ici est la ceinture FlipBelt Réflective conçue pour les sorties de running par faible luminosité. Il existe aussi d’autres modèles avec zip, etc.

Par ailleurs, sachez qu’il est possible de porter la ceinture à l’envers pour éviter ainsi tout risque de perdre quoique ce soit en route. 😉

Quelles sont vos solutions pour courir avec confort ?

A très vite, Christelle ♥

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Palma de Majorque : Echappée Sportive & Culturelle

24/10/2017

Presque 10 jours se sont écoulés depuis notre escapade sportive (avec Anne) à Palma de Majorque. Me re-plonger dans ces photos et souvenirs est un pur bonheur ! 🙂

Cela faisait un moment que Majorque me faisait de l’oeil, mais je dois dire que j’avais un peu peur de tout ce que j’entendais à son sujet : tourisme de masse, barres d’hôtels dégradant le paysage, comportement irrespectueux de certains touristes, etc. Et puis, j’ai laissé mes a priori à Paris pour la découvrir autrement -et grâce à notre guide Nicole-.

Majorque est une destination « nature » pleine de charme lorsqu’on prend le temps de la découvrir. Entre ses majestueuses falaises calcaires qui plongent dans des eaux translucides, les vastes plaines plantées d’amandiers et d’oliviers, les criques idylliques accessibles uniquement par la mer ou à pied, et les jolis sentiers de randonnée pédestre de la Serra de Tramuntana, l’île a beaucoup à offrir aux voyageurs en quête d’une nature sauvage et d’authenticité.

Bref, voici mon récit de cette belle échappée sportive et culturelle à Palma de Majorque !

Connaissez-vous Majorque ?
Avez-vous déjà couru une course à l’étranger ?

A très vite, Christelle ♥

Jour 1 / Visite de villages pittoresques et retrait des dossards

Après un check-in rapide à notre hôtel, nous avons filé avec notre guide Nicole (Une super mamie de 74 ans, à l’énergie débordante et aussi passionnée que passionnante !) vers la Serra de Tramuntana, une petite chaîne montagneuse classée au Pratrimoine mondial de l’UNESCO en 2011. Cette partie de Majorque offre une riche variété de paysages : cimes de montagnes, précipices sur la mer, grottes, etc.
Sur le chemin, nous avons pu apprécier les amandiers alignés, les troncs tordus des oliviers millénaires, et une vue époustouflante sur le bleu de la  Méditerranée !  Sachez qu’il y a des GRs ou sentiers de longue distance, des circuits pour pratiquer le nordic walking et des routes de cyclotourisme. Par ailleurs, les évènements de cyclotourisme sont nombreux toute l’année ! 😉

Visite du village de Valldemossa
Valldemossa est un petit village de montagne pittoresque et accueillant, blotti dans les plis de la Serra de Tramuntana. Nous avons déambulé dans ses ruelles en lacet, avec ses maisons de couleur ocre et ses allées charmantes ornées de pots de fleurs, tout en écoutant Nicole nous compter les amours de Chopin Georges Sand. Un must do !

♥ Déjeuner à Port Sóller
Nous avons déjeuné au Port de Sóller, une agréable petite station balnéaire en forme de coquille et à l’ambiance plutôt familiale. Notre restaurant était à quelques pas seulement de la plage, si bien que nous n’avons pas résisté à nous baigner en attendant notre paëlla végétarienne. Elle était délicieuse, et servie dans les règles de l’art !
> Restaurant Es Canyis  – 21 Paseo Platja d’en Repic, 07108 Port De Soller – Tél : 0034 971 631 406

Puis, nous avons pris l’ancien tramway reliant le port au village de Sóller. La promenade était agréable, et elle nous a permis d’apprécier les paysages de la vallée ainsi que les montagnes qui l’entourent. La Serra de Tramuntana est une des destinations préférées des vacanciers, surtout des amateurs de randonnée, de nature, de culture, de sports aquatiques, de gastronomie ou simplement pour se reposer, loin de l ‘affluence touristique d’autres endroits plus connus.

Retrait des dossards
A notre retour à Palma, notre chauffeur nous a déposé au village de la course, en contrebas de la splendide Cathédrale. Pendant un instant, j’ai eu l’impression d’être de retour au lycée : nous avons cherché notre nom sur un panneau d’affichage pour trouver notre numéro de dossard et récupérer notre race bag. À noter quand même, qu’en plus du prix du dossard on nous a demandé 5 euros pour la puce. Essayez d’avoir de l’espèce sur vous, car les DAB sont assez éloignés du village ! 😉
Sachez aussi que le même jour, vous pouvez courir le marathon, le semi-marathon et le 10km de la ville. J’ai hésité avec le 10km, mais Anne m’a assuré que le parcours était plutôt facile (Mais ouiii !) !
Pour les fan de triathlon, sachez aussi que le même weekend a lieu le Triathlon challenge Peguera-Mallorca ! 😉

Sunset et dîner
Vers 18h30, après une petite pause dans nos chambres respectives, nous sommes allées contempler le coucher de soleil depuis la superbe piscine-rooftop de l’hôtel !
Puis, place au dîner chez Ola del Mar, un restaurant de fruits de mers proposant de jolies options sans gluten.
> Ola del Mar – 1 Calle Vicario Joaquín Fuster, Palma de Mallorca – Tél : 0034 971 274 275

Jour 2 / Semi-Marathon de Palma

Départ
Le départ du marathon et semi-marathon était prévu à 9h. Du coup, j’ai retrouvé Anne au petit-déjeuner de l’hôtel à 7h. Nous avons déjeuné léger et avec regret, car le buffet était fastueux tant sur la qualité que sur la quantité : pain sans gluten (à la demande), gaufres, fruits exotiques, assiettes salées à composer, etc., j’aurais vraiment voulu en profiter plus ! 🙁
Après un détour à la chambre pour nous préparer, nous sommes parties pour la ligne de départ (à seulement 1,5km de notre hôtel). Il faisait beau, j’avais enfilé mon équipement fétiche (Flipbelt, short à imprimé palmiers, lunettes de soleil, etc.), et l’ambiance semblait au rendez-vous.
Et puis, sans s’en rendre compte, le départ était donné… J’ai enclenché ma montre en commençant à courir et rangé mon téléphone au plus vite. C’est parti !

La course 
Dès le troisième km, j’ai compris que la chaleur allait me faire souffrir ! Il faisait chaud, et le soleil brillait de mille feux. Fort heureusement, il y avait 5 ravitaillements en eau sur le parcours. Je crois d’ailleurs, que c’est la première fois que je me suis arrêtée à chaque fois ! 😀
La première partie de la course était plutôt cool : de longues lignes droites longeant la plage et le port bordés de palmiers. Tout allait bien jusqu’au 7ème km, où j’ai commencé à éprouver une douleur vive au niveau de mon pied droit. Je me suis arrêtée, car je sentais mon petit orteil littéralement « ronger » l’autre. J’ai dû enlever ma chaussette de compression, aérer mon pied, tout remettre… Bref, 4-5 munies plus tard, j’ai su que je finirais ma course pour la finir et non pas pour me challenger ! J’étais déçue, mais il fallait continuer et rester positive.
Les km se sont enchaînés jusqu’au « terrible » centre historique, ses pavés glissants, ses montées vertigineuses et ses virages à 360°. J’ai continué jusqu’au bout avec cette douleur au niveau du pied. Et puis, finalement la ligne d’arrivée, atteinte en 2h05. J’ai vu le bon côté des choses : j’étais incroyablement chanceuse de pouvoir courir cette course dans ces conditions, un mois d’octobre, et avec cette ambiance (Les courses espagnoles sont tellement plus décomplexées !) ! Et puis, j’ai pris beaucoup de plaisir, surtout sur les 3 derniers km. 🙂

Balade et shopping
Après un bon bain, quelques soins pour mon petit peton (Ma chaussette était pleine de sang !), et une ou deux séances photos pour Anne, nous avons rejoint le centre-ville pour un petit brunch de la victoire et une session shopping. Puis, nous sommes rentrées à l’hôtel au coucher du soleil !

Nous avons logé au tout nouveau hôtel Meliá Palma Bay, situé près de la promenade en bord de mer et à proximité du quartier de Portixol. L’ensemble des lieux a été créé par le célèbre architecte Patxi Mangado. L’hôtel dispose d’un bar sur le toit-terrasse magnifique avec piscine et des vues de 360º sur la ville de Palma, d’un Spa Wellness de 715 m2, et d’une zone fitness… Les chambres sont magnifiques, épurées et conçues pour garantir le soin personnel et le bien-être.
> Hôtel Meliá Palma Bay, 29 Paseo Ingeniero Gabriel Roca, 07014 Palma de Mallorca – Tél : 0034 912 764 747

Photos : Anne&Dubndidu et moi

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Jour 3 / Visite de Palma, shopping et départ

Palma est une ville très méditerranéenne. Elle possède ce contraste si intéressant entre l’héritage du passé et les dernières percées du monde moderne. Palma est aussi une ville artistique qui a inspirée de nombreux peintres avec sa cathédrale imposante qui domine la baie, ses patios spectaculaires, ses couvents et églises, ses ruelles embrouillées et ombragées en damier…  Pour ce dernier jour, Nicole nous a permis de visiter les rues de la vieille ville tout en écoutant les légendes du passé et en contemplant les les monuments les plus marquants de la ville.

La Cathédrale de Majorque
La Cathédrale de Palma de Majorque reçoit aussi le nom de « La Seu » (= le siège). On la connait aussi comme la cathédrale de la mer (car elle en est très proche), de la lumière (projetée dans 87 baies vitrées et 7 rosaces) et de l’espace (l’église gothique qui, avec moins de pierre, dispose de plus d’espace). Ce chef d’oeuvre est considéré comme la quatrième église la plus belle du monde ! Nous sommes restées longtemps à écouter l’histoire de sa construction, intrinsèquement  liée à celle de Majorque. 🙂

Shopping
Par manque de temps, nous n’avons pas pu explorer toutes les boutiques et échoppes de Palma. Néanmoins, s’il y en a une qui m’a vraiment marquée c’est bien Rialto Living : un concept-store vitrine de l’époque, un vrai lieu de vie voué à la mode et à la maison, et flanqué d’une cantine chic ! Il s’agit de la version majorquine de notre Merci. 😉
Nous y avons déjeuné (options végétariennes et sans gluten) avant de rejoindre l’aéroport. Ma salade était succulente ! 
> Rialto Living – 3 Carrer de Sant Feliu, 07012 Palma – Tél : 0034 912 713 331

*Merci à l’Office du Tourisme des Iles Baléares, à Francisca, à notre merveilleuse guide Nicole et à Marjolaine pour ces 3 jours magiques ! 

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Pluie : quelle veste choisir ?

12/08/2017

Si vous habitez Paris et que vous ne prévoyez pas de partir cet été, cet article est fait pour VOUS ! 😀 Trêve de plaisanterie, je ne pense pas avoir connu un été aussi tristounet depuis des années. 🙁 Je ne me plains pas, car j’ai la chance de partir assez souvent au soleil, mais quand même…! Je trouve vraiment dommage de ne pas pouvoir profiter des « beaux jours ». La saison estivale, c’est le moment où la motivation est à son paroxysme : il fait beau, on dévoile un peu plus son corps, et on a le souhait de bouger plus. Toutefois, ce mois d’août -parisien- me donne plutôt envie de boire un chocolat chaud sous la couette !

Néanmoins, cette météo capricieuse m’a inspiré quelques idées d’articles, dont celle de rédiger un billet sur les vestes de running coupe-pluie. Même si courir sous la pluie n’est pas aussi excitant que lorsqu’on avait 10 ans, il n’est pas question de renoncer à sa passion pour quelques gouttes !

Comme en hiver, courir sous la pluie nécessite un équipement adapté. Exit donc, le vieux Kway qui vous fera suffoquer en quelques foulées ou la jolie veste de running dans laquelle vous avez investi pendant les soldes, toutes les vestes ne sont pas adaptée à la lutte contre la pluie. Aujourd’hui, je vous propose donc un petit guide pour vous aider à choisir LA veste qui vous aidera à « fouler » les petites et grosses averses. 🙂

Qu’est-ce qu’une veste de pluie ?

Imperméable et coupe-vent, la veste de pluie protège de la pluie et évite les déperditions de chaleur dues au vent. Elle doit aussi évacuer la transpiration sous forme de vapeur d’eau. Néanmoins, la protection thermique d’une veste de pluie étant très faible, il faudra -par temps frais- vous équiper d’une polaire.
Le choix d’une veste imperméable se fait en fonction de 3 critères : le niveau d’imperméabilité souhaité, la température extérieure (hiver ou été) et l’intensité de votre effort (court ou long).

L’imperméabilité
Certains produits affichent leurs caractéristiques d’imperméabilité et de respirabilité sur leur étiquette. Les autres les détaillent généralement sur leur site Internet. L’imperméabilité se mesure en Schmerber (ou mm), unité définie par la norme EN 20811 (ISO 811). En fonction du niveau de protection dont vous aurez besoin, vous avez le choix entre différents types d’imperméabilité. Certaines marques comme Décathlon on fait le choix de faciliter le notre en notant chaque veste sur une échelle de 1 à 5 : plus la note est élevée plus la veste est imperméable. N’hésitez pas à  consulter les sites avant de craquer ! 😉

L’intensité de l’effort
Plus l’intensité est forte, plus vous allez transpirer… Dans ce cas, vous aurez besoin d’une veste ventilée. On parle de ventilation mécanique, lorsqu’il y a un zip de ventilation. Ces derniers sont généralement placés sous les bras, mais certaines poches ont également un filet qui facilite l’évacuation de la transpiration.

Quelles différences entre Softshell et Hardshell ?

« Hardshell » et « Softshell » désignent deux grandes catégories de veste de protection.

Veste Softshell
Sous cet anglicisme que l’on peut traduire par « coquille douce », se dessine un type de veste censé remplacer le duo polaire et veste de pluie. Ainsi, les softshells offrent à la fois une protection coupe-vent et déperlante résistant à une pluie fine pendant 30 à 40 minutes, doublée d’une polaire intérieure pour fournir un petit apport thermique. Certaines renferment tout-de-même une membrane les rendant imperméables !

Veste Hardshell
Une Hardshell est une veste de protection imper-respirante, c’est-à-dire imperméable et respirante. Elle est conçue pour vous protéger des intempéries ! Littéralement « carapace dure » en français, elle offre une protection renforcée contre la pluie, la neige, la grêle et le vent.

Si vous voulez mon avis,  privilégiez la Hardshell; Prenez-la une taille au dessus de manière à la porter en dernière couche ! 😉

En résumé, privilégiez une veste light (= légère), imperméable plutôt que déperlante (La pluie finit par passer !), coupe-vent et respirante.

Pour finir, je vous propose de découvrir mes vestes 3 coups de coeur, testées et approuvées en situation. 🙂 Attention je vous préviens, une veste de pluie est un investissement ! Fort heureusement, 2 vestes sur 3 sont soldées ! 😉

Photos : Mehdi Têtard

Je porte : Veste Softshell 3L Vision L0 Odlo (soldée !)

Mon avis :
Il s’agit d’une veste Softshell, donc très douce, confortable et avec quelques grammes de plus que ces consoeurs. Je l’ai portée pendant le Odlo High Trail Vanoise 2017. Bien pensée jusqu’au bout des manches, elle m’a apporté une bonne isolation thermique et une protection contre le vent de haute montagne !


Les détails qui comptent au moment de l’achat

Le poids
Partant du principe qu’il est toujours possible d’enfiler une polaire sous votre veste par temps frais si cette dernière est un poil légère, je vous assure que « le poids plume » est un atout de taille, surtout lorsqu’il pleut beaucoup et que votre sortie est longue !

Le col et la capuche
Les col est -selon moi- LE point à surveiller, car c’est une source de frottement sur une zone de peau assez sensible et une voie d’entrée privilégiée pour l’eau de pluie. La capuche est également un détail important… Privilégiez la capuche « cagoule » assez large, détachable ou fixe, mais qui peut être rangée dans le col, qui remonte bien jusqu’au nez, et ajustable par des liens de serrage. Un bon réglage permet à la capuche de suivre les mouvements de la tête. N’oubliez pas de penser à tous ces détails lors de l’essayage. 😉

Les poignets
A mon avis, il vaut mieux privilégier les poignets réglables à l’aide d’un velcro (qui permet de bien serrer les manches) ou d’élastiques.

Les poches
Ah les poches ! Trop petites, elles deviennent inaccessibles aux mains gantées. Mal placées, elles se révèlent inutiles, etc. Le mieux est de partir de l’usage que vous ferez de votre veste : des poches au niveau des bras pour les clés, de grandes poches à portée de main pour un téléphone… Par ailleurs, veillez bien à ce que les fermetures de vos poches soient étanches. 😉

Courrez-vous lorsqu’il pleut ?
Est-ce que cet article vous a aidé ?

A très vite, Christelle ♥

Je porte : Veste One Lady Gore-Tex Shakedry™ Running

Mon avis :
LA veste de running PARFAITE à avoir dans son dressing ! Il s’agit d’une veste de running révolutionnaire, réalisée en laminé GORE-TEX® Active ultra-léger et respirant. Lorsqu’il pleut, l’eau perle à la surface et il suffit de secouer légèrement le vêtement pour qu’il redevienne sec, c’est pour vous dire !

Petite sélection :

Je porte : Veste Outdry Ex Gold Tech Shell (soldée !)

Mon avis :
Il s’agit d’une veste Hardshell, donc 100 % imperméable et résistante aux intempéries (pluie, neige, grêle et vent). La capuche tempête intégrée réglable, les coutures étanches, le galon sur les coutures externes et la base et les poignets contrecollés garantissent une protection maximale. Je la porte pour courir, mais aussi lorsque je pars en randonnée ! 😉

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Odlo High Trail Vanoise 2017

13/07/2017

Comme vous le savez sans doute déjà, j’ai couru mon tout premier trail ce week-end ! Aujourd’hui, je vous propose de re-vivre avec moi le Odlo High Trail Vanoise ! Vous êtes prêt(e)s ?

Odlo High Trail Vanoise, quésako ?

Le Odlo High Trail Vanoise* est une épreuve unique en son genre ! Organisé à Val d’Isère, cet évènement offre à ses participants la possibilité d’évoluer dans un environnement naturel exceptionnel, en traversant les plus beaux panoramas de Haute Tarentaise et de Maurienne. Le charme et l’authenticité de ce village de montagne, le dénivelé, les panoramas sur les sommets des Alpes, font du Odlo High Trail Vanoise une expérience hors normes ! 🙂 Il paraît même qu’il s’agit de « la plus haute course d’Europe et la plus difficile de France » (sur le long format) !
Pour cette deuxième édition, l’Odlo High Trail Vanoise était composé de 5 courses au choix : le High Trail 70km, le Trail des 6 cols 39km, Les balcons de Val d’Isère 19km, le Kilomètre (Km) vertical et le mini trail pour les jeunes.

Lorsqu’Odlo m’a proposé de relever ce « défi de taille », j’ai longuement hésité…
En ce moment, je voyage beaucoup, par envie et par choix.  Et ces déplacements me fatiguent drôlement mine de rien : je n’ai pas le temps de m’entraîner comme je le voudrais, j’enchaîne les activités et autres découvertes sportives sans récupération, je passe mes journées dans les transports, et je ne dors clairement pas assez, etc. Bref, je suis f-a-t-i-g-u-é-e !
Je savais que cette course serait difficile mentalement et physiquement, et j’avais peur de ne pas être à la hauteur et/ou de me blesser. Et puis, j’ai repensé à la Spartan Race de Valmorel, au plaisir que j’avais pris pendant cette course… Encore une fois, je me suis dit qu’il était temps d’élargir mes horizons sportifs, et de vivre une expérience inoubliable avec mon chéri Mehdi Têtard ! J’ai donc accepté de participer à la course Les balcons de Val d’Isère !

*Le High Trail Vanoise compte pour l’UTMB® (Ultra Trail du Mont-Blanc). Il est aussi pour 2017, la seule étape française des championnats d’Europe de skyrunning et de la coupe du monde de skyrunning.

La préparation ?

Comme je vous la disais plus haut, je n’ai pas eu le temps de me préparer correctement pour cette course. J’ai  été dans l’obligation décidé « d’y aller au talent », comme on dit dans le milieu. J’ai couru un peu, j’ai programmé quelques séances en côte, j’ai fait du vélo (indoor cycling avec une grosse résistance), j’ai travaillé les qualités d’intelligence du pied… Je suis coach, et je sais comment préparer un trail. En revanche, je n’ai pas eu le temps d’être rigoureuse, de m’appliquer à simuler les conditions dans lesquelles je m’apprêtais à courir.
Néanmoins, ne faites pas ce que j’ai fait ! Sachez qu’un trail ne s’improvise pas (peu importe la distance d’ailleurs) ! Courir en nature, sur des sols sans cesse différents, avec du dénivelé et des durées d’effort très importantes, suppose un entraînement spécifique. C’est une erreur que je ne suis pas prête de refaire ! 😉

Notre séjour ?

Le Odlo High Trail Vanoise a eu lieu tout le weekend à Val d’Isère (le samedi et dimanche). Notre course, Les balcons de Val d’Isère, été programmée le dimanche matin.
Le samedi, après quelques heures de train, nous sommes arrivées dans les Alpes pour retrouver la Team Odlo. Les participants du High Trail 70km et du Trail des 6 cols 39km étaient partis tôt le matin pour affronter la Montagne.
Après une déjeuner rapide en terrasse, nous avons rejoint le village de la course pour accueillir les premiers finishers ! Ils et elles venaient du glacier de la Grande Motte (3 650m), avaient enchaîné par 1 000 mètres de dénivelé jusqu’à l’aiguille Perse (3 300m), etc., et ils/elles étaient là, aussi frais que la rosée, le visage très peu marqué, et le sourire aux lèvres !
Puis, nous avons décidé de monter jusqu’au Col de l’Iseran, pour aller encourager les autres coureurs. En haut, il faisait froid. Le ciel -chargé de gros nuages gris- semblait bas. On pouvait lire sur le visage des participants que la Nature peut parfois être aussi belle que brutale. D’ailleurs, il s’est mis à grêler quelques minutes après notre arrivée…
Nous sommes redescendus pour nous détendre un peu. Après un dîner « gourmet », mais pas assez copieux -à mon goût pour une veille de course-, nous sommes allés rejoindre les bras de Morphée ! :-
Le lendemain, après le petit-déjeuner, nous avons enfilé nos tenues*, baskets crantées, sacs d’hydratation… Et à 9h, nous partions -enfin- pour la ligne de départ !

*La météo annonçait des orages pendant notre course. Jusqu’à la dernière minute, je ne savais pas vraiment comment m’habiller. En leggings ? En short ? J’ai privilégié le confort en optant pour la jupe (avec short intégré) que je vous avais proposé de remporter sur mon compte Instagram. Au final, il n’a plu qu’à la fin ! #luckyus 😉

Photos : Mehdi Têtard, Amélie Tauziede & Pixalpes Photographie

Sur cette photo : Débardeur TEBE Odlo – Veste Sans Manche ZEPTO Odlo – Short de Course à Pied SÀMARA Odlo – Chaussures de Trail Caldorado II Columbia – Sac Nano 3L Ronhill – Visière Fast & Light Odlo – Ecouteurs STADION Urbanears – Crème Solaire SPF30 EQ.

Le parcours ?

Nous avons pris le départ de la course Les balcons de Val d’Isère : 19 Km et 1100 D+ !
Autant être honnête tout-de-suite avec vous : j’ai beaucoup beaucoup souffert pendant toute cette course !
La faute à l’altitude, au manque de préparation, à « la peur viscérale » de me blesser, au manque de sommeil… 🙁
Lorsque le coup d’envoi a été donné, ma montre annonçait 113 pulsations par minute ! J’avais peur, j’étais essoufflée. Après les 3 premiers kilomètres de faux plat, j’ai vu tout là-haut, la montagne que l’on devait gravir ! J’ai été prise d’une crise de panique : impossible de respirer, impossible de continuer…, et Mehdi m’a finalement convaincu de ne pas m’arrêter. Il faut dire que les conditions météorologiques nous imposait une barrière horaire assez serrée. J’étais stressée !
Après une ascension interminable durant laquelle j’ai regretté de na pas avoir de bâtons de marche, nous sommes arrivés au Lac de L’ouillette avant les 2 heures imparties. Des bénévoles tout sourires nous tendaient des boissons et en-cas, pendant qu’un orchestre donnait le ton ! 🙂
Nous sommes repartis assez vite pour les premières descentes : un pur moment de bonheur pour les quadriceps largement sollicités précédemment, ainsi que pour le moral. La vue était magique ! Puis, une participante se blesse à la cheville devant nous. Nous nous arrêtons quelque minutes pour l’aider, avant de repartir au plus vite, pour tenter de rattraper notre retard.
Le reste de la course semble si long, si lointain. J’avais des hauts et des bas, je changeais d’humeur en quelques secondes. J’ai eu envie d’arrêter des dizaines de fois, j’ai senti mes chevilles « vriller » peut-être autant de fois, j’ai demandé de l’aide à Mehdi pour me motiver une bonne centaine de fois… C’était dur mentalement et physiquement : je ne sais plus trop.
Enfin, un bénévole nous annonce les derniers 900m. Je suis heureuse, puisque nous traversons le village… Et puis, je vois cette dernière montée ! J’ai cru mourir. Mehdi m’a tenue à bout de bras et d’encouragements.
Nous sommes arrivés main dans la main, heureux, plus amoureux que jamais, et bénis par la pluie ! 😀 A notre montre, 3h22 d’effort intense ! #mercimonamour

L’ambiance?

Quelle solidarité ! J’ai trouvé les coureurs de trail généreux, courageux, solidaires, tout en restant compétiteurs. Et oui, il est possible de chercher la performance sans pour autant « pousser » et « écraser » ses camarades de course ! 😉 Je tiens à souligner ce point, car le comportement de certains coureurs, lors des grosses courses officielles sur route, est tout simplement déplorable.
Un grand merci aussi à l’Organisation et à l’équipe de bénévoles ! Les photos souvenir imprimées minute, les encouragements et blagounettes tout au long du parcours, le bon pour profiter d’un massage et du complexe aquatique… Tout était parfait !

Mon avis

Que dire à part, « c’était aussi dur que grandiose, aussi beau que sportif, aussi dingue… » ! Ce « mini » trail presqu’improvisé m’a permis de me recentrer, de re-placer mes priorités ! J’ai découvert un sport que l’on adore détester, une activité qui met la Nature à l’honneur, celle-là même qui me manque tant à Paris.
J’ai hâte de recommencer, de prendre ma revanche sur ce parcours que j’ai plus subi qu’apprécié !

Je voulais aussi dire un GRAND M-E-R-C-I à Odlo de m’avoir permis de vivre cette expérience incroyable ! Merci pour le soutien avant, pendant et après la course, ainsi que pour ces souvenirs précieux. Ce premier trail restera l’une de mes plus belles victoires -en tant que sportive-. 🙂

Êtes vous tenté(e)s par le trail, les « courses nature » en 2017 ?

A très vite, Christelle ♥

*Article Sponsorisé.

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Sport en Été : mes conseils pour éviter le coup de chaleur

07/07/2017

L’été est l’OCCASION de profiter du beau temps pour faire du sport en extérieur. 🙂 Néanmoins, lorsque les températures grimpent trop, la chaleur rend la tâche plutôt difficile…

Je sais que cet article est un « marronnier » de la saison estivale, et que vous en avez sûrement déjà lu des dizaines sur le sujet. Toutefois, je n’ai pas encore eu l’occasion de vous parler de mon expérience, et vous êtes nombreux(ses) à me poser des questions.
Ce billet est l’occasion de mettre à plat tout ce que je sais, mes conseils, astuces, etc. 😉


Lorsque les fortes chaleurs s’abattent sur vos pistes, terrains ou parcours de sport préférés, n’essayez pas de battre à tous prix votre meilleur temps ! Pour votre organisme, une température élevée et un exercice soutenu constituent une double peine. En effet, ce dernier doit se battre en permanence pour essayer de maintenir sa température intérieure. Car, lorsqu’il fait chaud dehors et qu’on fait du sport, le corps peut atteindre les 38, 39 voire 40°. A 40°, c’est le coup de chaleur assuré ! Autrement dit, l’organisme ne parvient plus à se réguler.
Un coup de chaleur entraîne des symptômes qui ne trompent pas : on a le visage rouge, la peau sèche, brûlante et on commence à divaguer, à avoir des nausées, des vomissements, des malaises. Pour l’éviter, il est important de prendre quelques précautions avant de faire du sport par temps chaud.

1/ CHOISIR UNE TENUE ADAPTEE
Investissez dans une tenue d’été qui offre une grande liberté de mouvement : short et débardeur pas trop moulant ! Privilégiez les matières légères et respirantes qui laissent s’évacuer la transpiration, et qui possèdent un indice de protection UV.

N’hésitez pas à re-lire mon article sur la technologie Ceramicool d’Odlo : un vêtement rafraîchissant pour « trouver LE degré de performance supplémentaire » lorsque les températures grimpent !

Enfin, pensez à protéger votre tête et vos yeux, avec une casquette et des lunettes de soleil. Je vous conseille d’opter pour une visière (Bien plus cool et qui laisse passer l’air.) et les lunettes Décathlon (Elles ne bougent pas !)


2/ S’ENTRAÎNER A LA BONNE HEURE
Evitez le sport en début d’après-midi (entre midi et 16h). A Paris, je vois beaucoup de personnes courir/s’entraîner sur les Quais de Seine lorsque « le soleil est au plus haut »… Sachez que courir/s’entraîner en pleine chaleur ne fait pas maigrir plus vite, car la quantité d’énergie dépensée pendant l’effort reste la même. Vous ne perdez pas du poids/de la graisse, mais de l’eau. D’ailleurs, c’est plutôt lorsqu’il fait froid que vous aurez tendance à perdre du poids. En effet, lorsque les températures grimpent, le corps cherche à maintenir sa température interne à 37,2 degrés; Pour cela, il doit transpirer un maximum !
Dans la mesure du possible, privilégiez donc votre entraînement tôt le matin (avant 9h) ou en fin de journée (à partir de 18h), les lieux ombragés et bien aérés.


3/ PENSER À BIEN S’HYDRATER
Quand le symptôme de la soif apparaît, cela veut dire que que vous êtes déshydraté(e) depuis au moins 2h. Le corps est composé de 65 % d’eau; Si l’eau s’évapore en quantité trop importante, tout le fonctionnement de l’organisme est mis en danger. N’hésitez pas à boire régulièrement tout au long de votre sortie/entraînement, et à vous asperger d’eau (particulièrement sur le visage et la nuque) pour faire redescendre la température de votre corps.
De plus, il est indispensable de vous hydratez correctement avant votre séance de sport; Il est recommandé de boire entre 40cl et 60cl d’eau environ 30 minutes avant l’exercice effectué à la chaleur.
Enfin, ma petite astuce pour savoir où vous en êtes : sachez que votre écart de poids relevé avant et après votre entraînement (lorsqu’il fait très chaud) vous renseigne avec précision sur votre déficit en eau !


4/ SE PROTÉGER DU SOLEIL
Les coups de soleil diminuent la capacité du corps à se refroidir, et augmentent les risques d’insolation ! Il est donc indispensable de protéger votre peau, en appliquant de la crème solaire sur votre visage/corps. Je reviendrez plus précisément sur ce point dans un prochain article beauté ! 😉


5/ RALENTIR LE RYTHME
Les chaleurs extrêmes ne sont pas l’idéal pour réaliser des exploitsQuand il fait très chaud, les muscles sont moins efficaces. En effet, pour se réguler, le corps doit transpirer un maximum. Le sang -riche en oxygène- est donc acheminé en priorité vers la peau et non les muscles ! De plus, votre cœur va travailler beaucoup plus…
Il faut prendre conscience de votre propre capacité à supporter la chaleur. N’hésitez pas à ralentir le rythme, à réduire l’intensité des exercices, ou  à écourter votre séance. 😉


6/ S’ETIRER EN EXTERIEUR À L’OMBRE
Les étirements sont aussi importants que l’échauffement (compter 5 minutes en été) pour récupérer mieux, plus vite, et ne pas se blesser à la prochaine séance. Ne les oubliez pas !
Lorsque votre séance est terminée, trouvez un coin à l’ombre pour vous étirer correctement (5 minutes, pas plus et 15 secondes par muscle), vous ré-hydrater et laisser le temps au corps de se refroidir.

J’espère que cet article vous a plu, et que mes petits conseils vont vous aider à rester #ACTIVRE cet été ! 🙂

Quelles sont vos astuces anti-chaleur ?

A très vite, Christelle ♥

Photos : Mehdi Têtard

Je porte : Fitness Soutien-Gorge de Sport Odlo – Débardeur Ceramicool Seamless Odlo – Short de Course à Pied SÀMARA Odlo – Chaussures de Running Ultra Boost X Adidas.

*Article sponsorisé.

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