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Odlo High Trail Vanoise 2017

13/07/2017

Comme vous le savez sans doute déjà, j’ai couru mon tout premier trail ce week-end ! Aujourd’hui, je vous propose de re-vivre avec moi le Odlo High Trail Vanoise ! Vous êtes prêt(e)s ?

Odlo High Trail Vanoise, quésako ?

Le Odlo High Trail Vanoise* est une épreuve unique en son genre ! Organisé à Val d’Isère, cet évènement offre à ses participants la possibilité d’évoluer dans un environnement naturel exceptionnel, en traversant les plus beaux panoramas de Haute Tarentaise et de Maurienne. Le charme et l’authenticité de ce village de montagne, le dénivelé, les panoramas sur les sommets des Alpes, font du Odlo High Trail Vanoise une expérience hors normes ! 🙂 Il paraît même qu’il s’agit de « la plus haute course d’Europe et la plus difficile de France » (sur le long format) !
Pour cette deuxième édition, l’Odlo High Trail Vanoise était composé de 5 courses au choix : le High Trail 70km, le Trail des 6 cols 39km, Les balcons de Val d’Isère 19km, le Kilomètre (Km) vertical et le mini trail pour les jeunes.

Lorsqu’Odlo m’a proposé de relever ce « défi de taille », j’ai longuement hésité…
En ce moment, je voyage beaucoup, par envie et par choix.  Et ces déplacements me fatiguent drôlement mine de rien : je n’ai pas le temps de m’entraîner comme je le voudrais, j’enchaîne les activités et autres découvertes sportives sans récupération, je passe mes journées dans les transports, et je ne dors clairement pas assez, etc. Bref, je suis f-a-t-i-g-u-é-e !
Je savais que cette course serait difficile mentalement et physiquement, et j’avais peur de ne pas être à la hauteur et/ou de me blesser. Et puis, j’ai repensé à la Spartan Race de Valmorel, au plaisir que j’avais pris pendant cette course… Encore une fois, je me suis dit qu’il était temps d’élargir mes horizons sportifs, et de vivre une expérience inoubliable avec mon chéri Mehdi Têtard ! J’ai donc accepté de participer à la course Les balcons de Val d’Isère !

*Le High Trail Vanoise compte pour l’UTMB® (Ultra Trail du Mont-Blanc). Il est aussi pour 2017, la seule étape française des championnats d’Europe de skyrunning et de la coupe du monde de skyrunning.

La préparation ?

Comme je vous la disais plus haut, je n’ai pas eu le temps de me préparer correctement pour cette course. J’ai  été dans l’obligation décidé « d’y aller au talent », comme on dit dans le milieu. J’ai couru un peu, j’ai programmé quelques séances en côte, j’ai fait du vélo (indoor cycling avec une grosse résistance), j’ai travaillé les qualités d’intelligence du pied… Je suis coach, et je sais comment préparer un trail. En revanche, je n’ai pas eu le temps d’être rigoureuse, de m’appliquer à simuler les conditions dans lesquelles je m’apprêtais à courir.
Néanmoins, ne faites pas ce que j’ai fait ! Sachez qu’un trail ne s’improvise pas (peu importe la distance d’ailleurs) ! Courir en nature, sur des sols sans cesse différents, avec du dénivelé et des durées d’effort très importantes, suppose un entraînement spécifique. C’est une erreur que je ne suis pas prête de refaire ! 😉

Notre séjour ?

Le Odlo High Trail Vanoise a eu lieu tout le weekend à Val d’Isère (le samedi et dimanche). Notre course, Les balcons de Val d’Isère, été programmée le dimanche matin.
Le samedi, après quelques heures de train, nous sommes arrivées dans les Alpes pour retrouver la Team Odlo. Les participants du High Trail 70km et du Trail des 6 cols 39km étaient partis tôt le matin pour affronter la Montagne.
Après une déjeuner rapide en terrasse, nous avons rejoint le village de la course pour accueillir les premiers finishers ! Ils et elles venaient du glacier de la Grande Motte (3 650m), avaient enchaîné par 1 000 mètres de dénivelé jusqu’à l’aiguille Perse (3 300m), etc., et ils/elles étaient là, aussi frais que la rosée, le visage très peu marqué, et le sourire aux lèvres !
Puis, nous avons décidé de monter jusqu’au Col de l’Iseran, pour aller encourager les autres coureurs. En haut, il faisait froid. Le ciel -chargé de gros nuages gris- semblait bas. On pouvait lire sur le visage des participants que la Nature peut parfois être aussi belle que brutale. D’ailleurs, il s’est mis à grêler quelques minutes après notre arrivée…
Nous sommes redescendus pour nous détendre un peu. Après un dîner « gourmet », mais pas assez copieux -à mon goût pour une veille de course-, nous sommes allés rejoindre les bras de Morphée ! :-
Le lendemain, après le petit-déjeuner, nous avons enfilé nos tenues*, baskets crantées, sacs d’hydratation… Et à 9h, nous partions -enfin- pour la ligne de départ !

*La météo annonçait des orages pendant notre course. Jusqu’à la dernière minute, je ne savais pas vraiment comment m’habiller. En leggings ? En short ? J’ai privilégié le confort en optant pour la jupe (avec short intégré) que je vous avais proposé de remporter sur mon compte Instagram. Au final, il n’a plu qu’à la fin ! #luckyus 😉

Photos : Mehdi Têtard, Amélie Tauziede & Pixalpes Photographie

Sur cette photo : Débardeur TEBE Odlo – Veste Sans Manche ZEPTO Odlo – Short de Course à Pied SÀMARA Odlo – Chaussures de Trail Caldorado II Columbia – Sac Nano 3L Ronhill – Visière Fast & Light Odlo – Ecouteurs STADION Urbanears – Crème Solaire SPF30 EQ.

Le parcours ?

Nous avons pris le départ de la course Les balcons de Val d’Isère : 19 Km et 1100 D+ !
Autant être honnête tout-de-suite avec vous : j’ai beaucoup beaucoup souffert pendant toute cette course !
La faute à l’altitude, au manque de préparation, à « la peur viscérale » de me blesser, au manque de sommeil… 🙁
Lorsque le coup d’envoi a été donné, ma montre annonçait 113 pulsations par minute ! J’avais peur, j’étais essoufflée. Après les 3 premiers kilomètres de faux plat, j’ai vu tout là-haut, la montagne que l’on devait gravir ! J’ai été prise d’une crise de panique : impossible de respirer, impossible de continuer…, et Mehdi m’a finalement convaincu de ne pas m’arrêter. Il faut dire que les conditions météorologiques nous imposait une barrière horaire assez serrée. J’étais stressée !
Après une ascension interminable durant laquelle j’ai regretté de na pas avoir de bâtons de marche, nous sommes arrivés au Lac de L’ouillette avant les 2 heures imparties. Des bénévoles tout sourires nous tendaient des boissons et en-cas, pendant qu’un orchestre donnait le ton ! 🙂
Nous sommes repartis assez vite pour les premières descentes : un pur moment de bonheur pour les quadriceps largement sollicités précédemment, ainsi que pour le moral. La vue était magique ! Puis, une participante se blesse à la cheville devant nous. Nous nous arrêtons quelque minutes pour l’aider, avant de repartir au plus vite, pour tenter de rattraper notre retard.
Le reste de la course semble si long, si lointain. J’avais des hauts et des bas, je changeais d’humeur en quelques secondes. J’ai eu envie d’arrêter des dizaines de fois, j’ai senti mes chevilles « vriller » peut-être autant de fois, j’ai demandé de l’aide à Mehdi pour me motiver une bonne centaine de fois… C’était dur mentalement et physiquement : je ne sais plus trop.
Enfin, un bénévole nous annonce les derniers 900m. Je suis heureuse, puisque nous traversons le village… Et puis, je vois cette dernière montée ! J’ai cru mourir. Mehdi m’a tenue à bout de bras et d’encouragements.
Nous sommes arrivés main dans la main, heureux, plus amoureux que jamais, et bénis par la pluie ! 😀 A notre montre, 3h22 d’effort intense ! #mercimonamour

L’ambiance?

Quelle solidarité ! J’ai trouvé les coureurs de trail généreux, courageux, solidaires, tout en restant compétiteurs. Et oui, il est possible de chercher la performance sans pour autant « pousser » et « écraser » ses camarades de course ! 😉 Je tiens à souligner ce point, car le comportement de certains coureurs, lors des grosses courses officielles sur route, est tout simplement déplorable.
Un grand merci aussi à l’Organisation et à l’équipe de bénévoles ! Les photos souvenir imprimées minute, les encouragements et blagounettes tout au long du parcours, le bon pour profiter d’un massage et du complexe aquatique… Tout était parfait !

Mon avis

Que dire à part, « c’était aussi dur que grandiose, aussi beau que sportif, aussi dingue… » ! Ce « mini » trail presqu’improvisé m’a permis de me recentrer, de re-placer mes priorités ! J’ai découvert un sport que l’on adore détester, une activité qui met la Nature à l’honneur, celle-là même qui me manque tant à Paris.
J’ai hâte de recommencer, de prendre ma revanche sur ce parcours que j’ai plus subi qu’apprécié !

Je voulais aussi dire un GRAND M-E-R-C-I à Odlo de m’avoir permis de vivre cette expérience incroyable ! Merci pour le soutien avant, pendant et après la course, ainsi que pour ces souvenirs précieux. Ce premier trail restera l’une de mes plus belles victoires -en tant que sportive-. 🙂

Êtes vous tenté(e)s par le trail, les « courses nature » en 2017 ?

A très vite, Christelle ♥

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Sport en Été : mes conseils pour éviter le coup de chaleur

07/07/2017

L’été est l’OCCASION de profiter du beau temps pour faire du sport en extérieur. 🙂 Néanmoins, lorsque les températures grimpent trop, la chaleur rend la tâche plutôt difficile…

Je sais que cet article est un « marronnier » de la saison estivale, et que vous en avez sûrement déjà lu des dizaines sur le sujet. Toutefois, je n’ai pas encore eu l’occasion de vous parler de mon expérience, et vous êtes nombreux(ses) à me poser des questions.
Ce billet est l’occasion de mettre à plat tout ce que je sais, mes conseils, astuces, etc. 😉


Lorsque les fortes chaleurs s’abattent sur vos pistes, terrains ou parcours de sport préférés, n’essayez pas de battre à tous prix votre meilleur temps ! Pour votre organisme, une température élevée et un exercice soutenu constituent une double peine. En effet, ce dernier doit se battre en permanence pour essayer de maintenir sa température intérieure. Car, lorsqu’il fait chaud dehors et qu’on fait du sport, le corps peut atteindre les 38, 39 voire 40°. A 40°, c’est le coup de chaleur assuré ! Autrement dit, l’organisme ne parvient plus à se réguler.
Un coup de chaleur entraîne des symptômes qui ne trompent pas : on a le visage rouge, la peau sèche, brûlante et on commence à divaguer, à avoir des nausées, des vomissements, des malaises. Pour l’éviter, il est important de prendre quelques précautions avant de faire du sport par temps chaud.

1/ CHOISIR UNE TENUE ADAPTEE
Investissez dans une tenue d’été qui offre une grande liberté de mouvement : short et débardeur pas trop moulant ! Privilégiez les matières légères et respirantes qui laissent s’évacuer la transpiration, et qui possèdent un indice de protection UV.

N’hésitez pas à re-lire mon article sur la technologie Ceramicool d’Odlo : un vêtement rafraîchissant pour « trouver LE degré de performance supplémentaire » lorsque les températures grimpent !

Enfin, pensez à protéger votre tête et vos yeux, avec une casquette et des lunettes de soleil. Je vous conseille d’opter pour une visière (Bien plus cool et qui laisse passer l’air.) et les lunettes Décathlon (Elles ne bougent pas !)


2/ S’ENTRAÎNER A LA BONNE HEURE
Evitez le sport en début d’après-midi (entre midi et 16h). A Paris, je vois beaucoup de personnes courir/s’entraîner sur les Quais de Seine lorsque « le soleil est au plus haut »… Sachez que courir/s’entraîner en pleine chaleur ne fait pas maigrir plus vite, car la quantité d’énergie dépensée pendant l’effort reste la même. Vous ne perdez pas du poids/de la graisse, mais de l’eau. D’ailleurs, c’est plutôt lorsqu’il fait froid que vous aurez tendance à perdre du poids. En effet, lorsque les températures grimpent, le corps cherche à maintenir sa température interne à 37,2 degrés; Pour cela, il doit transpirer un maximum !
Dans la mesure du possible, privilégiez donc votre entraînement tôt le matin (avant 9h) ou en fin de journée (à partir de 18h), les lieux ombragés et bien aérés.


3/ PENSER À BIEN S’HYDRATER
Quand le symptôme de la soif apparaît, cela veut dire que que vous êtes déshydraté(e) depuis au moins 2h. Le corps est composé de 65 % d’eau; Si l’eau s’évapore en quantité trop importante, tout le fonctionnement de l’organisme est mis en danger. N’hésitez pas à boire régulièrement tout au long de votre sortie/entraînement, et à vous asperger d’eau (particulièrement sur le visage et la nuque) pour faire redescendre la température de votre corps.
De plus, il est indispensable de vous hydratez correctement avant votre séance de sport; Il est recommandé de boire entre 40cl et 60cl d’eau environ 30 minutes avant l’exercice effectué à la chaleur.
Enfin, ma petite astuce pour savoir où vous en êtes : sachez que votre écart de poids relevé avant et après votre entraînement (lorsqu’il fait très chaud) vous renseigne avec précision sur votre déficit en eau !


4/ SE PROTÉGER DU SOLEIL
Les coups de soleil diminuent la capacité du corps à se refroidir, et augmentent les risques d’insolation ! Il est donc indispensable de protéger votre peau, en appliquant de la crème solaire sur votre visage/corps. Je reviendrez plus précisément sur ce point dans un prochain article beauté ! 😉


5/ RALENTIR LE RYTHME
Les chaleurs extrêmes ne sont pas l’idéal pour réaliser des exploitsQuand il fait très chaud, les muscles sont moins efficaces. En effet, pour se réguler, le corps doit transpirer un maximum. Le sang -riche en oxygène- est donc acheminé en priorité vers la peau et non les muscles ! De plus, votre cœur va travailler beaucoup plus…
Il faut prendre conscience de votre propre capacité à supporter la chaleur. N’hésitez pas à ralentir le rythme, à réduire l’intensité des exercices, ou  à écourter votre séance. 😉


6/ S’ETIRER EN EXTERIEUR À L’OMBRE
Les étirements sont aussi importants que l’échauffement (compter 5 minutes en été) pour récupérer mieux, plus vite, et ne pas se blesser à la prochaine séance. Ne les oubliez pas !
Lorsque votre séance est terminée, trouvez un coin à l’ombre pour vous étirer correctement (5 minutes, pas plus et 15 secondes par muscle), vous ré-hydrater et laisser le temps au corps de se refroidir.

J’espère que cet article vous a plu, et que mes petits conseils vont vous aider à rester #ACTIVRE cet été ! 🙂

Quelles sont vos astuces anti-chaleur ?

A très vite, Christelle ♥

Photos : Mehdi Têtard

Je porte : Fitness Soutien-Gorge de Sport Odlo – Débardeur Ceramicool Seamless Odlo – Short de Course à Pied SÀMARA Odlo – Chaussures de Running Ultra Boost X Adidas.

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Fitness Running Sports

Ceramicool : rester au frais pendant l’effort

24/04/2017

Dans le sport, le succès et l’échec tiennent à peu de choses : une fraction de seconde, un millimètre ou un degré peuvent vous empêcher d’atteindre votre objectif ou de vous faire échouer sur le fil. Avec les beaux jours qui reviennent, les températures qui s’adoucissent et l’envie de re-chausser vos baskets, il est important de « bien » vous équiper pour « trouver LE degré de performance supplémentaire ».

Personnellement, je trouve qu’il n’y a rien de pire que d’avoir trop chaud pendant un entraînement ! Vous connaissez sûrement déjà cette sensation : votre visage est brûlant, vos vêtements complètement trempés, et la sueur dégouline sur votre peau. 🙁 J’ai conscience que la sueur fait partie intégrante de la vie d’un(e) sportif/ve, et j’adore transpirer (la transpiration permet de thermoréguler* et de détoxifier** le corps), mais parfois c’est un peu trop ! Parfois, un vêtement rafraîchissant peut vraiment faire toute la différence. 🙂

Il y a quelques semaines, Odlo m’a proposé de découvrir sa nouvelle technologie de rafraîchissement actif : le Ceramicool ! Le Ceramicool c’est une matière textile antibactérienne douce et respirante qui permet de rafraichir la peau de 1 degré grâce à l’intégration de microparticules de céramique. J’ai couru avec au Maroc (souvenez-vous !), je l’ai porté pendant mes entraînements cardio, et aussi pour faire du yoga au soleil, etc., et je n’ai vraiment pas été déçue ! La matière est douce et légère comme une seconde peau, la chaleur est évacuée plus vite, la transpiration est « aspirée ».

Pour être honnête avec vous, je ne me suis pas rendue compte de l’effet Ceramicool tout-de-suite (c’est-à-dire pendant l’activité); C’est plutôt en voyant mon Chéri ou les autres souffrir de la chaleur que j’ai fait le rapprochement. Lorsqu’il fait chaud ou que je m’entraîne en extérieur, j’opte pour les sous-vêtements sans-coutures CeramiCool. D’ailleurs, je suis particulièrement fan du panty que j’enfile sous mes shorts de running. Sa grosse ceinture apporte un bon maintien de la sangle abdominale, il possède un indice de protection UV 30, et sa matière toute douce permet d’éviter les frottements. Bref, Ceramicool est un véritable allié contre la chaleur !

Alors ? Convaincu(e)s par le Ceramicool ?

A très vite, Christelle ♥

*Le rôle premier de la sudation est de maintenir la température du corps humain à 37°C. L’organisme se charge alors de trouver l’équilibre entre les gains et les pertes de chaleur. On parle dans ce cas de thermorégulation. Autrement dit, transpirer est une chose tout à fait normale et nécessaire lorsque l’on effectue un effort physique.
**Les déchets produits par le métabolisme cellulaire, la digestion ou le stress s’évacuent aussi par le mécanisme de la transpiration. Non seulement, les pores de la peau sont vidés des impuretés du quotidien (pollution, etc…), mais l’organisme rejette aussi les molécules toxiques du corps humain.


Du 15 février au 30 juin 2017, Odlo vous rembourse votre textile Ceramicool Seamless ou Pro si vous n’en n’êtes pas pleinement satisfait(e)s ! Pour découvrir les modalités de cette offre, c’est par ici !

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Photos : Mehdi Têtard

Je porte : T-Shirt Seamless Ceramicool Odlo – Soutien-Gorge Feminine Soft Odlo – Short de Course à Pied Sàmara Odlo – Slip Seamless Ceramicool Odlo – Collant Trevo Odlo – Chaussures de Running Ultra Boost X Adidas.

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Courir en Hiver : mes conseils pour prendre du plaisir

09/02/2017

Il semblerait que le froid soit de retour !!! 🙁 En même temps, l’hiver n’est pas encore fini; Il nous reste encore un bon mois avant l’arrivée du printemps.

Comme je le disais dans cet article,  il n’est jamais évident de trouver la motivation pour continuer à  courir pendant la saison hivernale ; La météo n’est pas souvent pas de la partie, il pleut, il neige, et surtout IL FAIT FROID. Néanmoins, l’arrivée de l’hiver ne doit pas marquer la fin de vos sorties running, ni le plaisir d’être dehors. Mardi matin, il pleuvait… Pourtant, j’ai décidé de maintenir ma sortie initialement prévue la veille. Certes, ce n’était pas les conditions que je m’étais imaginée… Mais j’étais au chaud, capuche sur la tête, et j’ai pris beaucoup de PLAISIR !

Je sais que cet article est un « marronnier » de la saison hivernale, et que vous en avez sûrement déjà lu des dizaines sur le sujet. Toutefois, je n’ai pas encore eu l’occasion de vous parler de mon expérience, et vous êtes nombreux(ses) à me poser des questions.
Ce billet est l’occasion de mettre à plat tout ce que je sais, mes conseils, astuces, etc. 😉


Pour continuer à rester actif durant les mois d’hiver, il faut juste veiller à adopter les bons réflexes afin de préserver sa santé (rhume, claquage, etc.). Dès que les températures sont en-dessous de 8-5 degrés -voire négatives-, tout le corps doit s’adapter pour lutter contre le froid. De la même manière que lorsqu’il fait chaud, le corps doit produire un effort plus important pour réguler sa température et se maintenir à environ 37 degrés, d’où l’importance de prendre quelques précautions avant de faire du sport par temps froid.

1/ CHOISIR UNE TENUE ADAPTEE
Souvent, on ne sait plut trop comment s’habiller pour s’entraîner en extérieur l’hiver. Soit on sort avec trop d’épaisseurs, résultat après l’échauffement, on a trop chaud, soit on ne sort pas assez couvert, et on attrape froid à la première pause.

– Avant de vous lancer, penchez-vous par la fenêtre pour sentir ce qu’il vous attend à l’extérieur. Vent, pluie, froid, neige…, les conditions climatiques détermineront votre tenue de la tête aux pieds.

– Pour courir en toute sécurité (= éviter le rhume ou l’angine !), il est important de choisir une tenue de sport qui protège du froid tout en garantissant une bonne évacuation de la transpiration.
Pour ce faire, appliquez (selon la température extérieure et/ou si vous êtes douille(te) au froid 😀 la règle des trois couches. Cette dernière permet d’isoler le corps des basses températures sans pour autant étouffer de chaud. Dans l’ordre, il faut porter une brassière (pour les filles), un t-shirt manches courtes ou manches longues qui épouse bien les formes du corps et d’une fibre thermo-chauffante, anti-transpirante, et une veste ou un coupe vent.
Encore une fois, restez à l’écoute de votre corps et de la météo : s’il fait « doux », enlevez une couche, s’il pleut (il fait généralement moins froid), optez plutôt pour un coupe vent imperméable avec capuche, etc.

Comment savoir si vous êtes habillé(e) trop chaudement, malgré le froid ambiant ?
Il faut vous habiller comme s’il faisait à peu près 15 degrés de plus ; En mouvement, vous ne devez pas avoir trop chaud; Et croyez-moi, au bout de quelques minutes d’activité vous aurez chaud !

– D’autre part, n’oubliez pas de protéger les extrémités de votre corps ! En effet, c’est par les « extrémités », oreilles, nez, mains et tête, que le corps se refroidit le plus… 40% de la chaleur corporelle est perdue par les extrémités de votre corps, et par la tête tout particulièrement.
Du coup, quand les températures sont proches de zéro, n’hésitez pas à porter des gants respirants, en soie ou en polaire légère, un bonnet, un bandeau, ou des caches-oreilles.

– Enfin, pensez à votre cou ! J’ai attrapé froid à Valmorel (J’ai participé à la Spartan Race d’Hiver organisée à Valmorel en janvier 2017) en ne me protégeant pas assez la gorge. 🙁
Si votre modèle de coupe-vent / veste de running ne remonte pas assez sur le cou, équipez-vous d’un « cache cou » pour vous protéger  la gorge.


2/ S’ECHAUFFER CORRECTEMENT

En été comme en hiver, l’échauffement n’est jamais à prendre à la légère. Si l’échauffement n’est pas pratiqué correctement, les risques de blessure sont accrus. Pourquoi ? Parce que les muscles sont froids et qu’ils doivent se réchauffer pour gagner en élasticité avant de faire une séance de sport intensive. L’échauffement hivernal est exactement le même que celui de l’été ; Seule la durée change. L’objectif est de s’échauffer jusqu’à atteindre la même température corporelle que d’habitude. Cela peut prendre 5 à 10 minutes supplémentaires. De manière générale, il faut compter environ 15-20 minutes d’échauffement pour être au top de sa forme.

Prenez le temps de débuter votre course crescendo, pour monter en cadence et courir plus rapidement ensuite. Pour ma part, je préfère réchauffer 2-3 minutes dans le hall de mon immeuble avec des « montées de genoux », etc.


3/ S’ETIRER A LA MAISON
Les étirements sont aussi importants que l’échauffement pour récupérer mieux, plus vite, et ne pas se blesser à la prochaine séance.
Néanmoins, en hiver essayez de privilégier la séance d’étirements une fois rentré(e) à la maison. En effet, avec le froid, les muscles se refroidissent plus vite et les déchirures musculaires sont plus fréquentes. Rentrez donc chez vous, prenez votre douche, et profitez de la chaleur de votre appartement pour pratiquer des étirements au calme. Cinq minutes, pas plus et 15 secondes par muscle !
Si vous n’avez pas de place chez vous, pensez à vous étirer à l’abri du vent… Un rhume est vite arrivé !


4/ CONCLUSION
Le running en hiver, ce n’est pas si mal que ça…, et vous verrez qu’on y prend vite goût ! Il faut juste être t-r-è-s b-i-e-n é-q-u-i-p-é-(e) ! J’insiste vraiment sur ce point, car la technicité des vêtements fait toute la différence. Profitez des soldes, d’un vide-dressing, etc., pour vous acheter une veste de running de qualité. Une fois que l’on a oublié le froid, le plaisir est immédiat.

Personnellement, je fais confiance à des marques comme Odlo, Columbia, Under Armour et Kari Traa -découverte dernièrement- pour me garder au chaud. D’ailleurs, n’hésitez pas à re-lire cet article sur les sous-vêtements de sport. Vous verrez, c’est magique ! 😉

Quelles sont vos astuces anti-froid ?

A très vite, Christelle ♥

Photos : Mehdi Têtard

Je porte Maillot de Corps Blackbomb Evolution Warm Odlo – Gilet d’Endurance en Primaloft® Odlo – Collant de Course à Pied ZeroWeight Odlo – Chaussures de Running ZPrint 3D Reebok.

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Les sous-vêtements de sport : l’astuce anti-froid

09/01/2017

Il n’est jamais évident de trouver la motivation pour continuer à courir pendant la saison hivernale ; La météo n’est pas souvent pas de la partie, il pleut, il neige, et surtout IL FAIT FROID !

Alors, je sais que je ne suis pas censée être la bonne personne pour vous parler de froid en ce moment (j’ai élu domicile sur une petite île du Pacifique depuis presque 3 semaines 😀 ), mais je pense déjà à mon retour et à mes futures sorties… Bref, l’arrivée de l’hiver ne doit pas marquer la fin des sorties en extérieur, ni le plaisir d’être dehors. Pour continuer à rester #ACTIVRE durant les mois d’hiver, il faut juste « bien s’équiper » et choisir une tenue adaptée !

Dès que les températures sont en-dessous de 8-5 degrés -voire négatives-, tout le corps doit s’adapter pour lutter contre le froid. De la même manière que lorsqu’il fait chaud, le corps doit produire un effort plus important pour réguler sa température et se maintenir à environ 37 degrés, d’où l’importance de « bien s’équiper » avant de faire du sport par temps froid.

Pour ma part, j’opte pour la technique des trois couches, que vous connaissez sûrement déjà et dont je reparlerai très vite ! Pour résumer, il s’agit d’isoler le corps des basses températures sans pour autant étouffer de chaud. Dans l’ordre, il faut porter un vêtement « seconde peau » (1ère couche), un vêtement isolant (2ème couche), et une veste de protection (3ème couche).

Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler un peu plus de cette 1ère couche. De quoi s’agit-il vraiment ? Où trouver ces vêtements « seconde peau » qui protègent du froid tout en garantissant une bonne évacuation de la transpiration ?

La 1ère couche est -pour moi- la plus importante des 3, car elle permet d’évacuer la transpiration pour ensuite garder la chaleur et maintenir le corps au sec. Il s’agit la plupart du temps d‘un vêtement « seconde peau » qui épouse bien les formes du corps et d’une fibre thermo-chauffante et anti-transpirante. Chez certaines marques techniques, on appelle cela des sous-vêtements de sport, tout simplement !

Je vous conseille vraiment d’investir dans l’un de ces maillots « seconde peau »; En hiver ils permettent de profiter pleinement du plaisir de courir en extérieur. Je suis particulièrement fan de ceux de la marque Odlo, car leur tissu contient une technologie de tricot sans coutures… Ils sont confortables, élégants, multi-fonctionnels, et également partiellement fabriqués à partir de matériaux recyclés ! C’est vraiment le top pour courir en hiver ! 🙂
Néanmoins, il est totalement possible d’en trouver à moindre coup (Et oui ! La technologie et le confort ont un prix !) chez Décathlon par exemple. 😉

Alors ? Convaincu(e)s par les sous-vêtements de sport en hiver ?

Belle semaine #ACTIVRE et n’oubliez pas d’être #happylelundi !

A très vite,
Christelle ♥

Photos : Mehdi Têtard

Je porte : Maillot de Corps Blackbomb Evolution Warm Odlo – Veste d’Endurance en Primaloft® Odlo – Collant Evolution Warm Blackbomb Odlo – Chaussures de Running Ride 9 Reflex Saucony.

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