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GR20 Sud avec Salomon et GR20 Expérience GORE-TEX

23/09/2019

En juin dernier, vous avez toutes/tous pu suivre sur Instagram mon aventure « GR20 Sud » en Corse.  😉 Je vais être honnête, il s’agit de l’une des plus belles expériences que j’ai pu vivre grâce à ce blog ! Pourquoi ? Parce qu’il y avait un peu tout ce que j’aime : du voyage, du sport, de l’aventure, des paysages incroyables, de belles rencontres, et la Nature, grandiose et omniprésente !

En mai dernier, Salomon et GR20 Expérience GORE-TEX m’ont proposé de constituer une équipe 100% féminine pour parcourir quelques étapes du « GR20 Sud », dans le cadre de la campagne Salomon Women (#SalomonWMN). L’objectif était de faire sauter quelques clichés féminins, et de montrer que les femmes sont libres d’être elles-mêmes, fortes, sportives, audacieuses, courageuses, et je m’arrête là car le liste serait trop longue ! 😀

Nous avons donc organisé un concours sur Instagram pour faire remporter à 4 d’entre vous un trek de 4 jours dans les montagnes corses… C’est sûrement le plus beau concours que j’ai pu organiser pour vous; Une vraie belle expérience, à partager ensemble !


J’ai déjà posté une vidéo IGTV de 9 minutes sur Instagram. Vous pouvez la retrouver ici, et je vous conseille vraiment de la regarder pour vous imprégner de l’ambiance de notre séjour.


Dans cet article, je ne vais pas vous re-parler de ce séjour qui est très bien dépeint dans la vidéo que je viens de citer, mais je vais plutôt vous donner quelques éléments de réponse, au cas où vous souhaiteriez VOUS AUSSI tenter l’expérience GR20. 😉

LE GR20

Le GR20, c’est une « Grande Randonnée » d’environ 180 kilomètres pour un peu plus de 10 000 mètres de dénivelé, sur un terrain escarpé à travers des montagnes sauvages et odorantes, avec de nombreuses variantes et des paysages incroyables ! C’était un rêve pour moi, et après ces 4 jours, je ne songe qu’à y retourner pour le parcourir dans son intégralité.

Le GR20 -de son véritable nom Fra Li Monti– est une diagonale tracée à travers la Corse, qui permet de rejoindre Calenzana à Conca, un petit village au-dessus de Porto-Vecchio. Il est souvent divisé en deux parties distinctes : Corse du Nord et Corse du Sud, séparées au niveau du col de Vizzavone, à peu près à mi-chemin de l’itinéraire. La Corse du Nord est la plus redoutée car vous y trouvez les sections alpines les plus engagées. La Corse du Sud est beaucoup plus « roulante », car vous vous y faites plus de distance que de dénivelé, même si celui-ci demeure bien présent. 

Quel itinéraire choisir ?

Si vous voulez avoir le temps de vous « mettre en jambes », vous pouvez démarrer par le Sud. Si vous préférez en finir tout-de-suite avec les difficultés, commencez par le Nord. Néanmoins, notez que le sens sud-nord permet de marcher avec le soleil dans le dos, et ainsi de bénéficier d’une meilleure lumière pour vous et vos photos. Et oui, je ne pense qu’à ça ! Hahah!

Combien de temps faut-il pour parcourir le GR20 ?

Le GR20, sans variante, sans doubler les étapes, sans courir, sans sommet, c’est 16 étapes et un peu plus de 10000 mètres de dénivelé. Notez, qu’assez régulièrement, des variantes à l’itinéraire standard sont proposées. Ces dernières n’offrent pas l’opportunité de raccourcir le parcours, mais plutôt d’explorer les déclinaisons alpines (= plus de dénivelé et de difficulté) de la montagne corse -comme nous l’avons fait le dernier jour-. 
Vous pouvez également opter pour quelques étapes, comme nous l’avons fait. Par ailleurs, les agences de randonnée proposent également des séjours à la carte et adaptés à votre niveau, dont des combinés étapes du GR avec nuit en refuge et visite de villages avec nuit en hôtel.

Quel est le niveau sportif requis ?

Je ne vais pas vous mentir, le GR20 ne s’improvise pas et nécessite -à mon sens- une bonne condition physique, une bonne endurance, et une expérience de la randonnée et/ou de la randonnée itinérante en montagne en terrain varié (chemin en forêt, sentier de montagne, rochers et dalles…). Si ce n’est pas le cas pour vous, et que vous voulez en garder un « bon souvenir », préparez-vous correctement en amont. Votre préparation doit prendre en compte l’habitude de la marche sur tout type de terrain ainsi que le cumul quotidien des distances et dénivelés.

A quelle période réaliser le GR20 ?

Notre séjour s’est déroulé du samedi 15 au mardi 18 juin, soit la haute saison. Cela implique une saturation des réservations, des campements bondés, et des files d’attente à la douche le soir ! D’ailleurs, nous n’avons pas pu nous doucher le premier jour. 🙁 Si vous craignez la chaleur, soit le vraie difficulté du GR20, optez pour l’inter-saison (mai-juin et septembre-ocotobre). Si vous n’avez pas peur de vous lever très très tôt et préférez la tranquillité, préférez l’été (juillet-août).

Où dormir ?

Deux choix s’offrent à vous : en refuges ou en autonomie. D’ailleurs, ce choix impactera aussi sur le poids de votre sac, l’équipement nécessaire et le coût de votre séjour. Si vous voulez voyager léger, optez plutôt pour des nuits en refuge. Dans ce cas, il vous faudra un budget plus conséquent. A noter que depuis juillet 2009, il est obligatoire de réserver ses nuitées en refuge ou ses emplacements de tente à l’avance. Par ailleurs, il est possible de demander en amont des repas plus ou moins adaptés à votre régime alimentaire. En effet, j’ai pu manger sans gluten pendant tout le séjour !

A quoi ressemble la vie en refuge ?

A votre arrivée, le gardien vous attribue une couchette, une tente (déjà montée) ou un emplacement pour monter la vôtre. Si vous avez aussi réservé les repas, il vous indique votre heure de dîner (fixe) et de petit déjeuner (à partir de...). Le pique-nique de midi est livré dans un sac, lors du petit­-déjeuner (Je vous conseille d’apporter une gamelle et vos couverts).
Les douches (en général froides sauf une ou deux exceptions) fonctionnent sur le mode du premier arrivé, premier servi. Par ailleurs, des éviers spécifiques sont mis à disposition pour faire votre lessive et vaisselle.
Enfin, je ne vais pas vous cacher que les nuits sont plutôt courtes et mouvementées, surtout si vous dormez en dortoir (ronflements, lumières allumées, odeurs de camphre…). J’ai vraiment préféré notre nuit passée en tente ! Attention également aux punaises de lit, omniprésentes !!!

Quel équipement pour le GR20 ?

Votre équipement dépendra du nombre d’étapes que vous avez prévu de faire, mais aussi de votre choix de séjour (en refuges ou en autonomie ?).
Notre agence Altre Cime nous avait fourni une liste très détaillée des équipements indispensables à avoir avec nous, dont voici un aperçu :
Sac de 35-40 l, duvet confort (5 °C), drap de soie, veste imperméable Gore-Tex, polaire, petite gourde souple + 1 sac d’hydratation de 1,5 l, vivres de course, frontale, bâtons de marche, batterie externe. chargée, papier toilette, gants, bonnet, sandales, pantalon, appareil photo, trousse de toilette, trousse à pharmacie…

Combien ça coûte ?

Notre séjour avec guide, hébergement en pension complète a coûté 560 €/ par personne. Pour vous donner une idée du budget qu’il vous faudra, voici un petit aperçu des prix :
→ Nuitée en refuge : 14 €/nuit/pers.
→ En tente prémontée (avec matelas) : 11 €/nuit/pers. 
→ Assiette de midi ou soir (pâtes, omelette) : 10-­12 €
→ Dîner : 12 € / Pique­nique : 8­-10 € / Petit déjeuner : 8­-10 €


Je vous laisse avec les photos de notre séjour et un récapitulatif précis de nos journées. J’espère que cela vous donnera envie de chausser vos baskets pour partir à la découverte de la Montagne corse !

Un grand merci aux 4 filles qui m’ont accompagnée pendant tout ce séjour, Camille (qui m’a vraiment aidée pour les photos), Marie-Astrid, Joanna, Erika, ainsi qu’à Caroline et Magali !

Si vous avez des questions auxquelles je n’ai pas répondu, posez-les moi en commentaire. 😉

A très vite, Christelle ♥

Voici le programme détaillé de ces 4 jours ! Il s’agit d’un circuit sur-mesure conçu par Altre Cime, de véritables artisans de la randonnée, passionnés de montagne sous toutes ses formes. 


Jour 1

→ Arrivée à l’aéroport d’Ajaccio et transfert au gîte du col de Verde chez Jean-Marc (2h de route).
→ Dîner -très copieux- au restaurant de Jean-Marc : salade composée, grillades et gratin de courgettes, mousse au chocolat.
→ Installation dans un chalet en bois privatisé pour notre groupe. Douche chaude !

Jour 2

Bocca di Verdi – Refuge d’Usciolu / 18 km – 1525 D+ – 1065 D-

→ Réveil très très matinal (3h du matin) pour atteindre Bocca d’Oru au lever du jour. De là, la vue est sur la Plaine Orientale et l’Italie est à couper le souffle.
→ Petit-déjeuner au soleil -l’occasion de goûter des spécialités locales ramenées par Christelle- et traversée facile pour rejoindre le refuge de Prati. Petit café, plein d’eau, et départ pour la deuxième montée du jour.
→ Itinéraire tout en crêtes avec des vues saisissantes sur la montagne et la mer pour rejoindre la Punta Capella (2041 m). Petite pause au sommet pour prendre des photos.
→ Pause déjeuner aux pieds de la Furmicula; L’occasion de retirer les chaussures, manger, papoter, et reprendre des force pour la dernière étape de la journée.
→ Balade en forêt et dans les nuages au joli col de Laparo.
→ Ascension de la Furmicula (= LE MUR !) pour rejoindre le refuge d’Usciolu chez Francis.
→ Goûter et repos avant le dîner. 
→ Installation dans une tente de 2 personnes. Douche froide + 1-2h d’attente !

Jour 3

Usciolu – Bergeries de Croci / 15 km – 549 D+ – 759 D-

→ Traversée en crêtes par l’arête des statues et des vues splendides sur les côtes Est et Ouest de l’Italie.
→ Petit-déjeuner au soleil transformée en « session réseau », car il n’est pas. possible de capter la 4G au refuge d’Usciolu.
→ Découverte du bucolique Plateau du Cuscione -qui ressemble beaucoup à la Contrée de Frodon Sacquet-, avec ses forêts d’aulnes nains, sa belle hêtraie, et ses pozzines (= pelouses spongieuses et verdoyantes traversées par des ruisseaux qui les gorgent d’eau).
→ Pique-nique au ruisseau d’adduccia; L’occasion de se rafraichir les jambes dans les vasques fraîches.
→ Goûter chez Julien aux Bergeries de Matalza; Folle ambiance et charlotte aux fraises à tomber !
→ Dernière balade pour rejoindre les bergeries de Croci.
→ Douche et apéro-sunset avec une confiture de clémentines à tomber !
→ Excellent dîner au restaurant de Jean-Louis et Ludo : lasagnes et légumes cuisiné + riz pour la version sans gluten
→ Installation en dortoir. Douche bien chaude avec un peu d’attente.

Jour 4

Croci – Gîte de Bevalla / 17,7 km – 1159 D+ – 1518 D-

→ Réveil très très matinal (départ à 3h du matin) pour atteindre le sommet du Monte d’Alcudina (2134 m) -le dernier sommet à plus de 2000 m le plus au Sud de la Corse- au lever du jour. De là, la vue est sur l’Italie et la Plaine Orientale et est à couper le souffle. On a même réussi à voir le Monte Cintu, soit le sommet le plus haut de Corse (2706 m).
→ Petit-déjeuner au soleil mais avec bonnet et gants (merci l’altitude !)
→ Descente très technique sur le refuge d’Asinau, le temps d’une petite pause café.
→ Traversée de la forêt de pins Laricci de Bavella, où nous faisons la rencontre de deux chiens perdus, surnommés « Caramel » et « nounouille ».
→ Variante alpine du GR20 pour rejoindre les crêtes de Bavella; Un vrai MUR !
→ Déjeuner au sommet.
→ Dernière descente pour rejoindre le Col de Bavella et l’équipe GR20 Expérience GORE-TEX !
→ Soirée à Porto-Vecchio et transfert jusque l’aéroport de Figari.


*Un grand merci à Salomon, GR20 Experience GORE-TEX, Snowleader, Caroline Gonin, Autre Cime et Magali pour cette aventure incroyable sur le GR20 Sud !

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Running Sports

Pluie : quelle veste choisir ?

12/08/2017

Si vous habitez Paris et que vous ne prévoyez pas de partir cet été, cet article est fait pour VOUS ! 😀 Trêve de plaisanterie, je ne pense pas avoir connu un été aussi tristounet depuis des années. 🙁 Je ne me plains pas, car j’ai la chance de partir assez souvent au soleil, mais quand même…! Je trouve vraiment dommage de ne pas pouvoir profiter des « beaux jours ». La saison estivale, c’est le moment où la motivation est à son paroxysme : il fait beau, on dévoile un peu plus son corps, et on a le souhait de bouger plus. Toutefois, ce mois d’août -parisien- me donne plutôt envie de boire un chocolat chaud sous la couette !

Néanmoins, cette météo capricieuse m’a inspiré quelques idées d’articles, dont celle de rédiger un billet sur les vestes de running coupe-pluie. Même si courir sous la pluie n’est pas aussi excitant que lorsqu’on avait 10 ans, il n’est pas question de renoncer à sa passion pour quelques gouttes !

Comme en hiver, courir sous la pluie nécessite un équipement adapté. Exit donc, le vieux Kway qui vous fera suffoquer en quelques foulées ou la jolie veste de running dans laquelle vous avez investi pendant les soldes, toutes les vestes ne sont pas adaptée à la lutte contre la pluie. Aujourd’hui, je vous propose donc un petit guide pour vous aider à choisir LA veste qui vous aidera à « fouler » les petites et grosses averses. 🙂

Qu’est-ce qu’une veste de pluie ?

Imperméable et coupe-vent, la veste de pluie protège de la pluie et évite les déperditions de chaleur dues au vent. Elle doit aussi évacuer la transpiration sous forme de vapeur d’eau. Néanmoins, la protection thermique d’une veste de pluie étant très faible, il faudra -par temps frais- vous équiper d’une polaire.
Le choix d’une veste imperméable se fait en fonction de 3 critères : le niveau d’imperméabilité souhaité, la température extérieure (hiver ou été) et l’intensité de votre effort (court ou long).

L’imperméabilité
Certains produits affichent leurs caractéristiques d’imperméabilité et de respirabilité sur leur étiquette. Les autres les détaillent généralement sur leur site Internet. L’imperméabilité se mesure en Schmerber (ou mm), unité définie par la norme EN 20811 (ISO 811). En fonction du niveau de protection dont vous aurez besoin, vous avez le choix entre différents types d’imperméabilité. Certaines marques comme Décathlon on fait le choix de faciliter le notre en notant chaque veste sur une échelle de 1 à 5 : plus la note est élevée plus la veste est imperméable. N’hésitez pas à  consulter les sites avant de craquer ! 😉

L’intensité de l’effort
Plus l’intensité est forte, plus vous allez transpirer… Dans ce cas, vous aurez besoin d’une veste ventilée. On parle de ventilation mécanique, lorsqu’il y a un zip de ventilation. Ces derniers sont généralement placés sous les bras, mais certaines poches ont également un filet qui facilite l’évacuation de la transpiration.

Quelles différences entre Softshell et Hardshell ?

« Hardshell » et « Softshell » désignent deux grandes catégories de veste de protection.

Veste Softshell
Sous cet anglicisme que l’on peut traduire par « coquille douce », se dessine un type de veste censé remplacer le duo polaire et veste de pluie. Ainsi, les softshells offrent à la fois une protection coupe-vent et déperlante résistant à une pluie fine pendant 30 à 40 minutes, doublée d’une polaire intérieure pour fournir un petit apport thermique. Certaines renferment tout-de-même une membrane les rendant imperméables !

Veste Hardshell
Une Hardshell est une veste de protection imper-respirante, c’est-à-dire imperméable et respirante. Elle est conçue pour vous protéger des intempéries ! Littéralement « carapace dure » en français, elle offre une protection renforcée contre la pluie, la neige, la grêle et le vent.

Si vous voulez mon avis,  privilégiez la Hardshell; Prenez-la une taille au dessus de manière à la porter en dernière couche ! 😉

En résumé, privilégiez une veste light (= légère), imperméable plutôt que déperlante (La pluie finit par passer !), coupe-vent et respirante.

Pour finir, je vous propose de découvrir mes vestes 3 coups de coeur, testées et approuvées en situation. 🙂 Attention je vous préviens, une veste de pluie est un investissement ! Fort heureusement, 2 vestes sur 3 sont soldées ! 😉

Photos : Mehdi Têtard

Je porte : Veste Softshell 3L Vision L0 Odlo (soldée !)

Mon avis :
Il s’agit d’une veste Softshell, donc très douce, confortable et avec quelques grammes de plus que ces consoeurs. Je l’ai portée pendant le Odlo High Trail Vanoise 2017. Bien pensée jusqu’au bout des manches, elle m’a apporté une bonne isolation thermique et une protection contre le vent de haute montagne !


Les détails qui comptent au moment de l’achat

Le poids
Partant du principe qu’il est toujours possible d’enfiler une polaire sous votre veste par temps frais si cette dernière est un poil légère, je vous assure que « le poids plume » est un atout de taille, surtout lorsqu’il pleut beaucoup et que votre sortie est longue !

Le col et la capuche
Les col est -selon moi- LE point à surveiller, car c’est une source de frottement sur une zone de peau assez sensible et une voie d’entrée privilégiée pour l’eau de pluie. La capuche est également un détail important… Privilégiez la capuche « cagoule » assez large, détachable ou fixe, mais qui peut être rangée dans le col, qui remonte bien jusqu’au nez, et ajustable par des liens de serrage. Un bon réglage permet à la capuche de suivre les mouvements de la tête. N’oubliez pas de penser à tous ces détails lors de l’essayage. 😉

Les poignets
A mon avis, il vaut mieux privilégier les poignets réglables à l’aide d’un velcro (qui permet de bien serrer les manches) ou d’élastiques.

Les poches
Ah les poches ! Trop petites, elles deviennent inaccessibles aux mains gantées. Mal placées, elles se révèlent inutiles, etc. Le mieux est de partir de l’usage que vous ferez de votre veste : des poches au niveau des bras pour les clés, de grandes poches à portée de main pour un téléphone… Par ailleurs, veillez bien à ce que les fermetures de vos poches soient étanches. 😉

Courrez-vous lorsqu’il pleut ?
Est-ce que cet article vous a aidé ?

A très vite, Christelle ♥

Je porte : Veste One Lady Gore-Tex Shakedry™ Running

Mon avis :
LA veste de running PARFAITE à avoir dans son dressing ! Il s’agit d’une veste de running révolutionnaire, réalisée en laminé GORE-TEX® Active ultra-léger et respirant. Lorsqu’il pleut, l’eau perle à la surface et il suffit de secouer légèrement le vêtement pour qu’il redevienne sec, c’est pour vous dire !

Petite sélection :

Je porte : Veste Outdry Ex Gold Tech Shell (soldée !)

Mon avis :
Il s’agit d’une veste Hardshell, donc 100 % imperméable et résistante aux intempéries (pluie, neige, grêle et vent). La capuche tempête intégrée réglable, les coutures étanches, le galon sur les coutures externes et la base et les poignets contrecollés garantissent une protection maximale. Je la porte pour courir, mais aussi lorsque je pars en randonnée ! 😉

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Quelle est ma Nature (sportive) ?

01/05/2017

Le sport n’a pas toujours été « une seconde nature ». J’ai passé ma jeunesse à chercher LE sport qui me ferait vibrer. J’ai commencé par la danse classique, puis j’ai tenté la natation, et le power yoga…, mais rien n’y faisait; Au bout de quelques temps de pratique, dès que les choses me paraissaient plus simples, j’abandonnais. L’abandon peut sembler « antisportif » ou du moins contraire aux valeurs (excellence, amitié, respect, etc.) du Sport, mais ne vous fiez pas aux apparences : être sportif c’est d’abord trouver sa véritable nature ! Aussi, lorsque Merrell m’a proposé de partager ma nature sportive avec vous, j’ai tout-de-suite dit OUI. 🙂

Comment trouver sa nature sportive ?

L’expérience m’a montré que nous comprenons -véritablement- notre nature en lui résistant ! Etre sportif, c’est avant tout trouver ce que l’on n’est pas venu chercher. Parfois, il faut savoir sortir de sa zone de confort, affronter ses peurs et angoisses, tout donner. D’autres fois, il faut être patient, arriver à dompter ses qualités et travailler ce qui nous fait défaut. Pour trouver sa nature sportive, il faut essayer, échouer, re-tenter, tout changer, se diversifier. Oscar Wilde disait que le « but de la vie est le développement personnel. Parvenir à une parfaite réalisation de sa nature, c’est pour cela que nous sommes tous ici ». Trouver sa nature (sportive), c’est tout simplement apprendre à se connaître.

Pourquoi je fais du sport ?

Pour moi, le sport est devenu une nécessité. Il me permet de jouir de l’association saine d’un corps, d’un esprit et d’une volonté solides. Toutefois, comme je le mentionnais plus haut, je n’ai pas toujours aimé le sport. Au début, je l’ai subi. Et puis, je ne sais plus pour quelle raison, j’ai eu envie d’essayer le Kick-boxing. Ce sport m’a permis de découvrir ma vraie nature !
Lorsque j’ai commencé, je cru mourir. L’entraînement d’1h30 mêlait cardio (beaucoup de cardio !), entraînement technico-tactique, et renforcement musculaire façon Boot Camp. A chaque fois, je laissais ma sueur, mon coeur et mon corps entier dans la salle. Je me sentais faible au point de ne plus pouvoir bouger, je perdais constamment. Le Kick-boxing m’a donné le goût de l’effort, m’a appris la patience et a conforté ma soif d’apprendre. Lorsque je suis fatiguée ou un peu moins motivée j’aime me rappeler pourquoi je fais du sport.

♥ Je fais du sport pour DECOUVRIR. Il n’y a rien de plus stimulant -pour moi- que l’apprentissage. D’ailleurs, j’ai toujours choisi des métiers (journaliste, blogueuse et coach sportif) de curiosité et découverte du monde, des autres, du corps humain, etc. L’apprentissage d’une activité me permet de tester mes limites, ma volonté. Je suis donc de nature curieuse, humaniste (petite référence à Montaigne et sa quête de l’Absolu 😉 ); J’aime apprendre le plus possible des autres et de moi-même. Dans le sport et dans la vie, ce n’est pas la finalité d’une chose qui est importante, mais plutôt les étapes.

Je fais du sport pour REVER. Faire du sport au quotidien c’est aussi « se prouver jour après jour » que TOUT est possible. La seule limite, c’est celle que l’on veut bien s’imposer. Aujourd’hui, après avoir connu la maladie (j’ai la Maladie de Crohn), après une reconversion professionnelle pas évidente, après avoir affronté pas mal de peurs, j’ose -enfin- rêver grand. J’ai envie de vivre de nouvelles aventures sportives épiques ! Cette année, j’aimerais bien m’essayer au trail, bien plus stimulant que la course à pied en milieu urbain. Je rêve d’océans, je rêve de montagnes, de beaux paysages avec lesquels je peux être en communion le temps d’une épreuve sportive.

♥ Je fais du sport pour EXPLORER. Je crois que le sport est un révélateur de personnalité. Il m’a permis de comprendre que j’étais de nature plutôt généreuse; J’aime donner, transmettre, partager. A chaque entraînement j’explore mes limites, je me prépare physiquement et mentalement à sortir des sentiers battus le jour J.

Quelle est ma nature sportive ?

Aristote disait que « le spectacle de la Nature est toujours beau » ! Aujourd’hui, à l’aube de la trentaine, j’adhère totalement à cette idée. A Paris, la Nature me manque cruellement et de plus en plus. Il faut dire que j’ai passé les 18 premières années de ma vie dans un « petit paradis sur pilotis » (Nouvelle-Calédonie). Aussi, dès que j’en ai l’occasion, je m’évade. En ville, je cherche constamment à me mettre au vert le temps d’un run ou d’une pause goûter. Et lorsque je voyage, j’aspire à l’authenticité simple et pure. Il peut s’agir d’une longue balade en bord de mer pour chasser les premiers/derniers rayons du soleil, ou d’une randonnée « sportive »pour trouver un point d’eau/un point de vue, etc. Je peux faire toutes ces choses grâce au sport, car le sport est dans ma nature  !

Et vous ? Pourquoi faites-vous du sport ?
Quelle est votre nature sportive ? #HerNature

Bonne Fête du travail et à très vite !

Christelle ♥

Photos : Mehdi Têtard

Je porte : Chaussures de Randonnée Moab FST Gore-Tex Merrell

Je porteChaussures de Trail Running Agility Peak Flex Merrell

Je porte : Sandales Terran Lattice II Merrell

*Article sponsorisé.

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